L'auteur se remémore ses années d'enfant, puis d'adolescente, passées dans une vieille demeure du Téhéran de l'après-guerre à une époque où religion, tolérance et art de vivre s'accordaient encore au rythme oriental des fêtes et des saisons. Un récit au parfum de paradis perdu (couronné en 1996 par le Prix des Lectrices de Elle), que la presse anglo-saxonne salua comme l'oeuvre d'un nouveau Tchekhov.

Un jardin à Téhéran - Une enfance dans la Perse d'avant-hier

Un Jardin à Téhéran. Une Enfance Dans La Perse D'avant Hier

A girl in paris une persane a paris dans les annees 50

Dans la structure familiale traditionnelle de la Perse ... on ne peut tout simplement pas jeter des parents proches simplement parce que l'on ne les aime pas; Il faut plutôt les accueillir, faire des allocations et les accepter, comme le malheur.

De tous les instruments de musique, la voix humaine est la plus belle, car elle est faite par Dieu.

Le verbe «aimer» en persan est «avoir un ami». «Je t'aime» traduit littéralement est «Je t'as comme ami» et «Je ne t'ai pas» signifie simplement «Je ne vous ai pas en tant qu'ami.

Il est très important de ne pas devenir difficile. L'artiste doit toujours avoir une peau trop peu par rapport aux autres, donc vous ressentez le moindre vent.

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