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Wonderland

From a rising literary star "in the tradition of Carol Shields and A. S. Byatt" comes this luminous story of a contemporary man's metamorphosis. Andrea Barrett and Michael Cunningham have lauded Stacey D'Erasmo for the beauty of her language and her ability to create worlds that leave a lasting impression. In her new novel, D'Erasmo reaches back to Ovid for inspiration in this tale of how the mythic animates our everyday lives. At thirty-seven, Gabriel Collins works halfheartedly as an obituary writer at a fading newspaper in lower Manhattan, which, since 9/11, feels like a city of the dead. This once dreamy and appealing boy has turned from a rebellious adolescent to an adult who trades in petty crimes. His wealthy, older boyfriend is indulgent of him-to a point. But after a brush with his own mortality, Gabriel must flee to Mexico in order to put himself back together. By novel's end, we know all of Gabriel's ratty little secrets, but by dint of D'Erasmo's spectacular writing, we exult in the story of an imperfect man who-tested by a world that is often too much for him-rises to meet the challenge.

The Sky Below

J'ai été influencé par de grandes voix fortes - des écrivains comme Elizabeth Bowen, Virginia Woolf, Jane Bowles; Des écrivains gays comme Ed White, Michael Cunningham, Allen Hollinghurst; et des écrivains lesbiens contemporains, comme Dorothy Allison.

La fiction, à son meilleur, est un acte radical d'intimité. Il cherche à rejoindre, à fusionner, à connaître profondément; Et, comme avec l'intimité, il existe un moyen de truquer.

Les écrivains et les musiciens sont très similaires en ce que les chances de faire une vie dans les deux domaines sont si infinitésimaux. Et une fois que vous êtes, les chances de rester viables sont difficiles. Mais il y a quelque chose d'incroyablement différent à se produire devant un public en direct, plutôt que de s'asseoir à votre bureau.

L'une des premières fois où je suis allé dans une librairie et que j'ai vu un tas de mes livres, mon impulsion était de les mettre tous sous mon manteau et de s'enfuir pour que personne d'autre ne puisse les voir, même si, bien sûr, je voulais tout le monde pour les voir.

La visibilité est une chose délicate; Quelqu'un est-il visible lorsque vous pouvez la signaler dans une foule, ou lorsque vous comprenez à quoi sa vie ressemble à elle?

Je pense que pour certaines personnes, le vrai succès signifierait avoir tout l'argent dans le monde et que tout le monde vous aime chaque minute de la journée. Je ne sais pas si c'est vraiment mon aspiration. Je veux juste continuer à faire ça. Je veux juste continuer à trouver de nouvelles voies et de nouveaux chemins et de nouveaux territoires. Chaque fois que je le fais, c'est comme une liberté.

Un artiste a besoin et aspire à un public en direct.

La grandeur émotionnelle, rendue en langue vernaculaire, a été le fort de Mona Simpson. Dans ses romans, «n'importe où mais ici», «le père perdu» et «un gars ordinaire», Simpson a écrit large et long et haut sur les liens humains les plus profonds: les parents et les enfants se sont perdus, se sont retrouvés, se sont perdus les uns les autres Encore une fois, mais différemment.

Quant à moi, je suis amoureux des femmes et des hommes. Je comprends comment les gens tombent amoureux de différents types de gens, mais pour tomber amoureux de Dieu: je n'ai pas compris cela.

Beaucoup de premiers romans sont des histoires de passage à l'âge adulte. Beaucoup sont autobiographiques.

Je ne suis pas un parent, mais il me semble que la nature de la parentalité est contingente, pleine de défis inattendus - ce qui est l'une des choses merveilleuses et incroyables à ce sujet.

Vous pouvez conclure des surfaces brillantes du «mot L» qui est le latte ou la lexus et s'arrête là. Ou vous pouvez remarquer que dans certains de ses moments moins flashy, le spectacle a mis une réclamation sur grande - comme dans un monde imaginaire plus grand, plus dense et plus ambivalent, peuplé de citoyens imparfaits et fascinants de toutes les bandes sexuelles.

Je suis gêné de révéler que je ne suis jamais allé chez CBGB dans les années 80. Je n'ai jamais été assez cool pour être un punk, et je n'aurais pas eu l'endurance, ni la discipline, pour le bord droit.

En tant que lecteurs, nous sentons quand le jeu se joue pour de vrai et quand quelque chose d'autre se prépare : la fierté, le sens du spectacle, la poursuite du pouvoir, l'autoglorification, la vengeance, gagner de l'argent. Non pas qu'il y ait quoi que ce soit de mal à cela, mais je n'aime pas fermer un livre avec le sentiment que je me suis fait avoir.

La royauté ressemble principalement à des membres d'une foi anachronique, comme les Amish, particuliers dans les poussettes dorées.

Le nœud de l'intimité au centre de «dix mille saints» est l'amitié entre Teddy McNicholas et Jude Keffy-Horn.

The Girls" raconte l'histoire de Rose et Ruby Darlen, qui sont non seulement littéralement mais aussi spirituellement attachées pour l'éternité. Nées en 1974 d'une mère adolescente qui les abandonne, et élevées par un couple adoptif à l'esprit délicieusement ouvert, les filles Darlen sont vraiment des filles adorables.

Un groupe en tournée est à la fois une famille et un lieu de travail, et vous vivez avec des personnes que vous n'avez pas nécessairement choisies tous les jours pendant un an.

Les chansons de «Wonderland» n'ont pas de vie mélodique pour moi - je ne suis pas une personne musicale - mais ils ont une vie émotionnelle, un écho émotionnel peut-être.

Vous pouvez obtenir n'importe quoi en ligne, y compris des choses qui n'existent même pas. Nous avons inventé notre propre inconscient collectif. Les règles normales du temps et de l'espace ne s'appliquent pas. Il est maintenu ensemble par une autre force que la gravité. C'est sans fin. C'est comme un roman inimaginablement énorme et désordonné qui s'écrit à la fois avec et sans nous.

Ce qui m'intéresse, ce sont les complexités et les contradictions et les luttes et les joies des êtres humains en désordre.

Il y a plus d'horloges que jamais - des horloges sur les ordinateurs, sur les téléphones portables, sur les téléviseurs, sur n'importe quel écran disponible, en disant l'heure à la seconde numérique - mais ils semblent tous moins importants.

Quelle est la distance entre ici et là, entre maintenant et maintenant, entre le bien et le mal ? Dans le premier roman limpide de Greg Baxter, "The Apartment", il s'agit peut-être simplement de la longueur d'une journée - mais une journée au cours de laquelle on voyage étonnamment loin, au sens propre comme au sens figuré.

La deuxième fois est celle dont nous nous souvenons, où commence la mémoire. Mettre les moments dans l'ordre n'est que la moitié de l'histoire. Ce qui compte, c'est le poids des moments à mesure qu'ils s'accumulent.

Pour la Cour suprême, le droit pour tout le monde de dire «je fais» est là que l'histoire se termine, mais pour les artistes, c'est là que l'histoire commence à devenir intéressante.

The Girls, de Lori Lansens, est une ballade, une chanson mélancolique sur deux filles très étranges et enchantées qui vivent leur vie ordinaire et particulière dans une région rurale du Canada.

Je ne vais pas en ligne quand j'écris - c'est l'atelier du diable - mais en général, je suis là-bas autant que tout autre citoyen mondial.

Aussi légèrement teintés par la réalité que les femmes de "Sex and the City", les personnages audacieux et soignes de "The L Word" suggèrent que L est aussi pour la limerence, cet état ravissant d'amour précoce lorsque le monde entier est brillant et délectable.

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