Lampedusa

Londres, 1885. Une ombre plane sur la ville : celle d'Edward Shade, génie du crime dont l'existence est entourée de mystère. Le redoutable détective William Pinkerton a traversé l'Atlantique sur les traces de Shade. Il trouve un allié inattendu en Adam Foole, gentleman-cambrioleur qui le traque au sujet du meurtre d'une voleuse de diamants dont on vient de repêcher la tête dans la Tamise. Leur enquête nous entraîne dans un monde de brume, de fumeries d'opium, de séances de spiritisme, où sévissent espions, sectes, voleurs à la petite semaine et tueurs sans pitié.

L'homme aux deux ombres

Londres, 1885Une ombre menaçante plane comme un brouillard sur la ville : celle d’Edward Shade, génie du crime soupçonné d’être le maître d’œuvre des arnaques les plus crapuleuses du monde interlope. Or, personne n’a jamais vu l’insaisissable malfaiteur. Existe-t-il seulement ?Le légendaire détective William Pinkerton en est persuadé. Il a traversé l’Atlantique sur les traces de Shade et le recherche pour un forfait dont l’origine remonte à la guerre civile américaine. Il trouve un allié inattendu en Adam Foole, gentleman-cambrioleur qui traque aussi Shade au sujet du meurtre sordide de sa bien-aimée Charlotte, une voleuse de diamants sans scrupules dont on vient de repêcher la tête dans les eaux sombres de la Tamise.À travers les brumes mystérieuses de leur enquête commune, L’homme aux deux ombres nous entraîne dans les bas-fonds des escrocs, des maîtres chanteurs et des tueurs sans pitié, où la loi n’est qu’un faux-semblant parmi tant d’autres.

L'Homme aux deux ombres

Londres, 1885. Le corps sans vie d'une femme est découvert sur Edgware Road ; quinze kilomètres plus loin, c'est sa tête qui est repêchée dans les eaux sombres de la Tamise. Le grand détective William Pinkerton commence par suivre la piste du célèbre cambrioleur Edward Shade, mais Shade lui file sans cesse entre les doigts. Pinkerton s'engouffre alors dans les bas-fonds londoniens : réverbères dans la brume, fumeries d'opium, égouts tortueux, séances de spiritisme. Il y découvre un monde d'espions, de maîtres chanteurs, d'adeptes de sectes, de voleurs à la petite semaine et de tueurs sans pitié.
Grandiose, finement ciselé, profondément évocateur, L'Homme aux deux ombres dresse le portrait saisissant de personnages au bord de l'abîme. Plongé dans un univers de secrets et de faux-semblants, le lecteur découvre l'histoire du lien improbable entre William Pinkerton, détective de légende, et Edward Shade, l'homme le plus mystérieux de la capitale victorienne.

La prise de conscience, selon l'endroit où nous avons changé d'une note à l'autre dans une ligne mélodique, la musique pourrait subtilement influencer la signification entière d'une scène à bien des égards était comme une porte de porte à ce nouveau monde incroyable pour moi.

C'est vrai, la plupart de mes jours sont passés seuls dans une pièce sombre! Je ne veux pas vraiment que quiconque me voie essayer et de ne pas clouer la 40e prise d'un simple repère de piano.

Pour moi, je travaille très autonome. C'est littéralement juste moi assis dans une pièce en le faisant jusqu'à la toute fin du processus lorsque d'autres musiciens entrent et que les instruments sont enregistrés.

Je m'inquiète des détails techniques - ai-je mélangé le violoncelle un demi-décibel trop haut? Des choses comme ça.

Je pense qu'après tout dans tout le processus de cinéma, les scores temporaires sont excellents si vous les utilisez pour ce qu'ils sont bons, si vous les utilisez pour ce stade précoce de soutien aux choses.

Au milieu des années 2000, je suis devenu accidentellement devenu rédacteur en chef de la musique.

Avec beaucoup de scores d'action, vous êtes en concurrence avec beaucoup de bruit. Dites qu'il y a une grande explosion: la musique aurait conventionnellement beaucoup de percussions ou de laiton de style hollywoodien, car c'est la seule chose qui va traverser.

Les grands compositeurs avec lesquels j'ai travaillé en cours de route, j'ai toujours senti qu'ils étaient plus des cinéastes que des compositeurs. Ils parlaient de l'histoire plutôt que de la musique.

Une grande partie du travail d'édition musicale consiste à communiquer et à déterminer ce qu'un réalisateur veut vraiment que la musique soit.

J'aime les choses expansives qui contiennent beaucoup d'espace, comme certains des premiers albums de Pink Floyd.

Personne n'est précieux sur leur musique. Ils veulent que le film soit génial. Et c'était l'énorme leçon pour moi en cours de route pour devenir cinéaste. Et oui, je dirige la chose du service de musique et cette responsabilité avec la musique est avec moi, mais vraiment ce travail est l'un des nombreux.

Avec les gens formidables avec lesquels vous travaillez, c'est qu'ils n'abandonnent jamais et qu'ils ne pensent jamais que quelque chose est fini jusqu'à ce qu'ils aient vraiment, vraiment manqué de temps. Ils continuent de pousser au cas où il y aurait une meilleure idée au coin de la rue.

Pour moi, tout peut être de la musique! Je peux obtenir un énorme plaisir et être totalement éminé par la pureté et la perfection d'une polyphonie de la Renaissance, mais tout aussi je peux ressentir l'émotion dans le bourdonnement en attente d'un grand ancien ampli de guitare juste avant que les cordes ne soient touchées.

Ma maison était pleine de musique. Mes principaux souvenirs sont du tourne-disque à la maison: tout était des Beatles et des Rolling Stones, et nous avons dansé dans le salon; Cela m'a lancé sur des instruments, et je n'ai rien fait d'autre depuis.

J'ai pu avoir une large sorte d'éducation et toutes sortes de musique différente et beaucoup de types de films et aussi différents styles et genres. Et donc, toutes ces choses m'ont influencé en cours de route et je prends un peu tout ce que je fais. J'ai eu la chance de travailler avec beaucoup de gens formidables et d'apprendre d'eux.

J'ai tendance à travailler en couches. Il y a un énorme orchestre dans le film, mais j'enregistre également beaucoup de choses avec des groupes très intimes, et j'aime pouvoir utiliser les textures de ces groupes intimes.

Quand je grandissais, j'ai adoré les films où vous les commenceriez et la partition peut sembler vraiment étrange au début et vraiment différente, puis au moment où vous terminez, vous ne pouvez pas imaginer que ce soit autrement.

Beaucoup de compositeurs que je connais détestent les scores temporaires parce que les gens s'y attachent.

C'est une chose drôle avec l'inspiration. Il y a toujours des tas de musique que j'aime absolument et des films à retourner quand j'ai commencé à faire de la musique de film au milieu des années 80.

Chacun de nous a une réponse d'une sorte de musique, donc je ne pense pas qu'il soit juste de juger ce qui est approprié et ce qui ne l'est pas.

J'ai étudié la musique tout au long de l'université, mais dès que je suis diplômé de l'université, je suis entré directement à Londres et je suis entré directement dans la musique cinématographique. Donc, vraiment mes expériences ont été autour des orchestres de Londres et étant avec les gens qui travaillent dans la musique cinématographique.

J'aime prendre mes pistes de ce que je vois plutôt que d'essayer d'imposer. J'aime cette façon de regarder les choses et de voir ce qui est à l'écran et de voir comment je peux en tirer la musique presque.

J'entre dans l'ensemble du compositeur assez ouvert pour continuer et continuer à essayer différentes choses parce que vous ne savez jamais ... la prochaine idée que vous avez pourrait être la seule.

Je suis guitariste par arrière-plan. C'est ce que je faisais pour les séances quand j'étais plus jeune et ce genre de chose. Nous avons plusieurs pianos dans la maison et j'ai tendance à m'asseoir et à jouer.

Je ne suis pas très doué pour ressembler à d'autres personnes. Lorsque vous traversez la vingtaine et que vous essayez de faire une pause et ce genre de chose, et que vous essayez de faire quelque chose qui ressemble à de la musique de film, votre idée de ce que ce serait, cela n'a jamais vraiment fonctionné pour moi et Ce n'est vraiment que lorsque j'ai appris à faire confiance au fait que je ne pouvais vraiment que me ressembler.

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