Je suis assez vieux pour mâcher mes pois et mon maïs sans s'étouffer.

Peu importe ce qui s'est passé, la musique allait toujours faire partie de ma vie. Ce qui s'est finalement passé, c'est que, sur une période de temps, j'ai juste regardé autour de moi et quand ça dit: «Wow! Je gagne ma vie en faisant cela.

Je suis perçu comme quelqu'un qui sort et cherche de la nouvelle musique, mais tout était présent dans ma maison.

Si ce dont vous parlez, c'est de voir quelqu'un jouer, alors je devrai dire que dans le côté rythme et blues des choses, voir Otis Redding en direct était-ce, tu sais?

En tant qu'interprète en solo, c'est une implication totale. Ce que je fais, c'est décomposer le mur entre le public et l'interprète.

Ma musique est une musique vraiment amusante, avec des influences panafricaines et panaméricaines.

Ma mère était américaine et mon père était des Caraïbes, et il y avait une grande porte ouverte dans le monde de l'humanité et de la musique.

Je n'ai été sur MTV qu'une seule fois comme l'un de leurs «classiques de placard», avec des images bootleg d'une tournée de 1970 que j'ai faite en Hollande. Ils ne savaient pas quoi faire de ma musique, mais ils ont finalement inventé un nom pour cela - World Beat Music.

Ma grand-mère a eu beaucoup d'enfants. Elle a le plus perdu. Alors quand nous sommes arrivés, nous étions vraiment spéciaux. J'étais le premier petit-enfant qui pouvait voir son esprit passer à une nouvelle génération.

Je cherchais toujours des preuves de ces racines musicales communes, mais j'étais trop jeune pour savoir que ce que je faisais s'appelait l'ethnomusicologie.

En particulier avec les Blues, il ne s'agit pas seulement de mauvais moments. Il s'agit de l'esprit de guérison.

La musique est comme l'âme de la planète.

En tant que jeune, mes parents m'ont fait savoir que tout ce qui était de la diaspora africaine m'appartenait. Je suis donc venu avec de la musique des Caraïbes, de la musique africaine, de la musique latine, de la musique gospel et du blues.

Toute la musique que je joue aujourd'hui, j'ai entendu à la maison ou dans mon quartier quand je grandissais dans les années 40 et 50.

Je suis venu ne comprenant pas que beaucoup de gens n'ont pas commencé à entendre de la musique jusqu'à ce qu'ils soient allés à l'université ou qu'ils aient été excités par un frère ou une sœur aîné.

En regardant dans le monde, cela n'avait pas l'air si agréable. Et qui étaient les gens sympas? Certes, le Mahatma Gandhi l'était.

Mon point de vue est culturel et basé dans le monde. Cela a toujours été une perspective mondiale.

La musique américaine est un ingrédient puissant de la musique internationale, et bien qu'elle vienne de l'intérieur, elle vient aussi de l'extérieur.

On m'a toujours appris que le latin, les Caraïbes étaient des cousins pour moi, ainsi que le blues était un cousin pour moi, ainsi que les Africains étaient des parents directs pour moi. Tout cela faisait partie de ma langue.

Je voulais continuer à pousser les idées musicales que j'avais sur le jazz, la musique d'Afrique et des Caraïbes.

Je fais exactement ce que j'ai toujours voulu faire, et j'aime toujours ce que je peux faire musicalement.

J'ai des tonnes supplémentaires à faire.

Le blues est joué partout. Il n'y a pas d'endroit où je n'ai pas été où ils n'ont pas de blues ou ne sont pas intéressés par le blues.

Au fur et à mesure que je m'impliquais davantage dans la musique, l'une des choses qui m'excitaient, depuis mon enfance, était ce lien clair entre nos ancêtres et les sons que nous entendons aujourd'hui.

Naw, ça - ça ne s'arrête jamais, mec ... tu dois faire ce que tu es censé faire - chaque fois, mais ça descend, tu sais. Si vous vous faites botter les fesses - vous devez toujours faire ce que vous devez faire.

Ses oeuvres