A name synonymous with ground-breaking music, Tony Visconti has worked with the most dynamic and influential names in pop, from T. Rex and Iggy Pop to David Bowie and U2. This is the compelling life story of the man who helped shape music history, and gives a unique, first-hand insight into life in London during the late 1960s and '70s.

 This memoir takes you on a roller-coaster journey through the glory days of pop music, when men wore sequins and pop could truly rock. Featuring behind-the-scenes stories of big names such as Bowie, Visconti's unique access to the hottest talent, both on stage and off, for over five decades is complemented by unseen photographs from his own personal archive, offering a glimpse at music history that few have witnessed so intimately.

 Soon after abandoning his native New York to pursue his musical career in the UK, Visconti was soon in the thick of the emerging glam rock movement, launching T. Rex to commercial success and working with the then-unknown David Bowie.

 Since his fateful move to the land of tea and beer drunk straight from the can, Visconti has worked with such names as T. Rex, Thin Lizzy, Wings, The Boomtown Rats, Marsha Hunt, Procol Harum, and more recently Ziggy Marley, Mercury Rev, the Manic Street Preachers and Morrissey on his acclaimed new album 'Ringleader of the Tormentors'.

 Even Visconti's personal life betrays an existence utterly immersed in music. Married to first to Siegrid Berman, then to Mary Hopkin and later to May Pang, he counts many of the musicians and producers he has worked with as close friends and is himself a celebrated musician.

Tony Visconti: The Autobiography - Bowie, Bolan and the Brooklyn Boy

Né a Brooklyn, New York, Tony Visconti se passionne très tôt pour la musique. A 23 ans, après avoir multiplié les expériences avec différents orchestres de jazz ou de cabaret, il part pour Londres afin d'y percer les secrets des studios anglais. Si le nom de Tony Visconti reste attaché à celui de Marc Bolan (T.Rex) ou à David Bowie, avec lesquels il nouera une véritable amitié, il a joué un rôle crucial dans la carrière de nombreux autres chanteurs ou groupes dont il a produit les disques et, par conséquent, dans l'histoire du rock. Musicien talentueux, inventif et généreux, il est légitimement considéré comme un des meilleurs producteurs de tous les temps, à l'instar de son " maître à produire ", George Martin. Son autobiographie se lit et se vit comme un voyage fantastique à travers la musique de ces quarante dernières années. Tony Visconti, avec un réel talent de conteur, nous offre un témoignage unique, sincère et essentiel sur son métier.

Bowie, Bolan, et le gamin de Brooklyn

J'ai également mélangé l'album Young Americans de David Bowie en 5.1 plus tôt cette année et il sera disponible très bientôt. Même les mélanges stéréo originaux ont été ré-maîtres et sonnent incroyablement bien, mieux que jamais, en fait!

Ma profession s'appelle la production record.

J'adore l'audio logique et je l'utilise depuis des années. Toutes mes sorties de piste montaient sur mon ancienne carte dans le même ordre que dans l'ancien Mac G4 - 1 à 32, sont apparus comme 1 à 32, par exemple.

Je pense que toute l'obsession de l'équipement est complètement exagérée. Vous n'avez pas besoin d'équipement à l'ancienne pour faire un record à consonance. Vous n'avez même pas besoin de ruban [analogique].

Malgré quelques jours vraiment mauvais, nous avons eu beaucoup de plaisir à faire bas, surtout lorsque toutes les idées radicales avaient un sens et que les choses commençaient à cliquer.

Vous pourriez faire de grands sons avec la technologie. C'est à cela que sert l'enregistrement. Ce qui se passe en studio est très magique et devrait l'être, à mon avis.

Marc Bolan avait inspiré tant de gens à prendre une guitare et à rejoindre un groupe.

Les ordinateurs ont pratiquement remplacé les enregistreurs de bandes.

Mon père avait un brillant dossier scolaire au lycée et a reçu une bourse universitaire. Malheureusement, il a dû refuser de le refuser pour qu'il puisse continuer à soutenir sa famille.

Oh, c'était si difficile de quitter Paris, à peu près ma ville préférée du monde.

Je fais des disques avec un esprit ouvert, j'ai toujours.

Je continue de revoir mes sentiments sur le surnaturel.

En août, la majeure partie de l'Europe part en vacances.

Il est facilement négligé que ce qui est maintenant appelé vintage était autrefois neuf.

J'aime travailler avec des gens qui ont le sentiment de mettre une chanson et de chanter en phase et avec passion. Avec la technologie, vous pouvez polir uneterre, mais il n'y a toujours pas de bouton que vous pouvez appuyer pour la passion.

J'ai grandi au son de la musique live dans notre maison de Brooklyn.

Mon père aimait les gens, les enfants et les animaux de compagnie.

Tout artiste respectable a vraiment abandonné un label parce que les labels se font encore des illusions sur le fait que la seule façon de faire est de signer ces grands noms comme Lady Gaga et s'attendre à faire des milliards.

Le rock and roll a certainement essayé de me faire des ravages. Je préfère ne pas parler de mes excès passés ici, bien que certains rockers hardcore puissent affirmer que ces excès étaient responsables de certains grands disques, mais je sais de quel côté je suis sorti.

Mais de grands records sont en cours avec la technologie d'aujourd'hui et il y a encore de grands artistes parmi nous. De même, il y a des artistes aujourd'hui qui dépendent tellement de la technologie moderne, ils n'auraient pas émergé lorsque l'enregistrement était plus organique.

Je ne pourrais jamais avoir un meilleur professeur à cette époque que mon père.

Vers la fin des années 70, la pop prenait l'élan et la respectabilité était très élevée avec des groupes comme Yes et Queen qui faisaient des disques rock "classiques". Ils apportaient également de gros dollars. Les années 80 sont donc devenues la décennie de la «ligne de fond».

Enfin, je voudrais rappeler aux maisons de disques qu'elles ont la responsabilité culturelle de donner la grande musique publique d'achat. Tracer une tendance à la mort ne contribue pas à la culture et n'est finalement pas rentable.

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