Anya a l'impression d'être en permanence la petite nouvelle : fille d'immigrés, elle n'a jamais réussi à trouver complètement sa place. Mais quand elle tombe dans un puits et découvre le fantôme qui s'y trouve, elle a  l'impression de se faire son premier véritable ami. Les ennuis commencent quand ce fantôme, prénommé Emily, devient jaloux de tout ce qui remplit la vie d'Anya.

La vie hantée d'Anya

Anya a l'impression d'être en permanence la petite nouvelle : fille

 d'immigrés, elle n'a jamais réussi à trouver complètement sa place.

 Mais quand elle tombe dans un puits et découvre le fantôme qui s'y

 trouve, elle a l'impression de se faire son premier véritable ami.

 Les ennuis commencent quand ce fantôme, prénommé Emily, devient

 jaloux de tout ce qui remplit la vie d'Anya.

Arrivée de Russie, Vera veut à tout prix s'intégrer dans sa nouvelle vie à New York mais elle se rend compte très vite que ce n'est pas facile. Ses amies vivent dans des maisons luxueuses et leurs parents peuvent se permettrent beaucoup de choses comme de les envoyer dans les meilleures colonies de vacances du pays. Vera et sa mère n'ont pas les mêmes moyens et ne peuvent pas se permettre ces privilèges. Mais cette année, elle part dans une colonie de vacances russe où elle compte bien en profiter. Cependant, rien ne se passera comme Vera l'avait prévu.

Un été d'enfer !

Et si ce n’était pas si cool que ça, la colo ?Tout juste arrivée de Russie, Vera aimerait tellement que ses copines américaine la considèrent comme l’une des leurs. Mais ses multiples tentatives pour y parvenir sont rarement couronnées de succès… Son rêve : que sa maman, qui l’élève seule avec son frère et sa sœur, puisse un jour l’envoyer dans une de ces luxueuses colonies de vacances du pays. Vera sait bien que sa famille n’a pas les moyens de se permettre ce privilège. Pourtant, elle trouve une solution, et la voilà inscrite pour deux semaines et elle compte bien profiter de tout à fond !

J'adore dessiner ce que ressent le personnage, dans mes bandes dessinées, sans dialogue.

J'ai la chance de faire des livres pour vivre, alors je passe toute ma journée de travail seule dans mon studio pour faire tranquillement mon truc préféré dans le monde. Quand j'ai besoin d'une pause, c'est généralement parce que je suis désespéré de revoir d'autres êtres humains!

Dans l'animation et les bandes dessinées, le spectateur brise devant les dessins. Mais avec des livres d'images, chaque page va être regardée et touchée et lue encore et encore. Peut-être même mâché un peu. Tout doit être réfléchi et économique, trente-deux petits chefs-d'œuvre.

Je pense que parfois les personnes âgées finissent par être un peu enfantines. Ils ont fait leur temps, maintenant ils peuvent faire ce qu'ils veulent.

Je pourrais me perdre pour toujours dans ces cheveux noirs et ces poignées d'amour sucrées.

Pourquoi ne puis-je pas simplement sur Google comme tout le reste ?! Je vous déteste Système de bibliothèque publique!

Le tricot est répétitif, enrichissant et me calme comme un bain chaud. Mais cela prend Juuuust suffisamment de Brainspace pour que je ne puisse pas proposer des idées. Ce qui est dommage, car j'aime le multitâche.

Je fais partie de ces personnes aux mains agitées. J'ai besoin de griffonner, de mordir mes ongles ou de faire des chaussettes.

Vous travaillez si longtemps sur un roman graphique qu'il est facile de remettre en question vos idées ou de s'épuiser en dessin. Mais vous vous branchez et faites confiance à l'histoire que vous souhaitez raconter. C'est un marathon, mais le produit fini est vraiment satisfaisant.

Impressionner un tas d'adolescents arrogants est un objectif de vie assez boiteux à avoir.

L'animation m'a appris à dessiner rapidement et clairement et à communiquer les sentiments d'un personnage à travers son langage corporel et ses expressions faciales.

Ses oeuvres

Ses derniers livres