Mannequin et présentatrice renommée, Virginia Vallejo, 33 ans, était la coqueluche des politiciens et milliardaires colombiens. Lorsqu'elle rencontre Pablo Escobar en 1983, c'est le coup de foudre. Au fil du temps, Vallejo voit s'étendre sous ses yeux un réseau criminel qui a perduré jusqu'à la mort d'Escobar en 1993.
Ce livre est un conte explosif qui nous plonge dans les tréfonds de la guérilla colombienne, les affaires d'enlèvement, d'extorsion et de corruption, la naissance d'une colossale industrie de la cocaïne.
C'est aussi une histoire d'amour terriblement douloureuse, un récit intime qui nous guide à travers les nuances du légendaire baron de la drogue qui a marqué à jamais l'histoire de la Colombie.

Pablo, je t´aime, Escobar, je te hais

Mannequin et présentatrice renommée, Virginia Vallejo, 33 ans, était la coqueluche des politiciens et milliardaires colombiens. Lorsqu’elle rencontre Pablo Escobar en 1983, c’est le coup de foudre. Au fil du temps, Vallejo voit s’étendre sous ses yeux un réseau criminel qui a perduré jusqu’à la mort d’Escobar en 1993.Ce livre est un conte explosif qui nous plonge dans les tréfonds de la guérilla colombienne, les affaires d’enlèvement, d’extorsion et de corruption, la naissance d’une colossale industrie de la cocaïne.C’est aussi une histoire d’amour terriblement douloureuse, un récit intime qui nous guide à travers les nuances du légendaire baron de la drogue qui a marqué à jamais l’histoire de la Colombie.

Pablo, je t'aime, Escobar, je te hais

Pablo a vraiment ressenti la souffrance des gens et est donc devenu un animal politique. Mais il voulait faire tomber l'extradition parce que c'était la seule chose qu'il craignait, et c'est devenu son obsession, sa croisade, sa croix.

Je n'étais pas intéressé par le luxe parce que j'avais une vie élégante en tant qu'enfant. Ma famille, très aristocratique, l'une des plus riches de Colombie, m'a éduqué comme une princesse, dans le style anglais.

J'avais des sentiments mitigés lorsque tout le pays célébrait la mort de Pablo Escobar et même Bill Clinton félicitait le gouvernement.

Pablo m'a donné des cadeaux à tout milliardaire donne à sa petite amie: un portefeuille de crocodile, un voyage. J'imagine que Trump a donné des portefeuilles à Melania.

Je change mon numéro de téléphone, et avec mon âme rétrécie par la terreur, je prends la décision de ne plus jamais revoir Pablo Escobar dans ma vie. Du jour au lendemain, j'ai cessé de l'aimer.

Les Colombiens n'allument pas leurs téléviseurs pour me voir, mais ce que je porte.

Avec Pablo, je perds ma raison, et avec moi, il perd la tête; Et puis tout ce qui reste est un homme poursuivi par la justice et une femme poursuivie par les médias qui connaissent et s'occupent et ont besoin les uns des autres, malgré la douleur causée par toutes les absences, tous ses crimes et ses péchés.

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