Authors who, from today's perspective and in the face of current research, were far ahead of their time were often misunderstood or simply ignored by their contemporaries. And even if an excerpt from an extensive work is always subjective, it still offers a middle ground between subsuming under a catchphrase on the one hand, and intensive preoccupation with the author and his work on the other. If you want to deal intensively with the work, please refer to a reprint.

Instincts of the Herd in Peace and War - Extract of essential statements

The more we consider the conduct of government in warfare the clearer does it become that every act of authority produces effects in two distinct fields-that of its primary function as directed more or less immediately against the enemy, and that of its secondary action upon the morale of the nation. The first of these two constituents possesses the uncertainty of all military enterprises, and its success or failure cannot be foretold; the influence of the second constituent is susceptible of definition and foresight and need never be wholly ambiguous to any but the ignorant or the indifferent.

The relative importance of the military and the moral factors in any act or enterprise varies much, but it may be asserted that while the moral factor may sometimes be enormously the more important, it is never wholly absent. This constant and admittedly significant factor in all acts of government is usually awarded an attention so thoroughly inexpert and perfunctory, as to justify the feeling that the customary belief in its importance is no more than a conventional expression.

Instincts of the Herd in Peace and War

Il est parfois affirmé qu'une opération chirurgicale est ou devrait être une œuvre d'art ... apte à se classer avec celles du peintre ou du sculpteur. ... Cette proposition n'admet pas de discussion. C'est un produit de l'innocence intellectuelle que je pense que nous, les chirurgiens, pouvons assez prétendre posséder, et qui n'est pas heureusement incompatible avec une sagesse mondaine assez adéquate.

Le patient ordinaire se rend chez son médecin parce qu'il souffre ou un autre inconfort et veut être à nouveau à l'aise; Il n'est pas dans la poursuite de l'idéal de la santé au sens direct. Le médecin veut en revanche de découvrir la condition pathologique et de le contrôler s'il le peut. Les deux sont donc dans une certaine mesure à des fins croisées dès le premier, et à moins que l'affaire ne soit amenée à une conclusion précoce et heureuse, cette diversion des objectifs est susceptible de devenir de plus en plus grave au fur et à mesure que l'affaire s'allonge.

Ce ne sont pas des préjugés bruyants qui ont fait que le travail de Mendel est mort pendant trente ans, mais l'incapacité de l'opinion contemporaine à distinguer une nouvelle idée et un non-sens.

L'esprit aime une idée étrange aussi peu que le corps aime une protéine étrange et le résiste avec une énergie similaire. Il ne serait peut-être pas trop fantaisiste de dire qu'une nouvelle idée est l'antigène d'acteur le plus rapidement connu de la science.

Les différents systèmes de doctrine qui ont tenu la domination sur l'homme se sont révélés être vraies au-delà de toute question par des rationalistes d'un tel pouvoir de ne nommer que quelques-tant qu'Asquin et Calvin et Hegel et Marx. Guidé par ces mains maîtres, l'intellect s'est montré plus mortel que le choléra ou la peste bubonique et beaucoup plus cruel. L'incompatibilité les uns avec les autres de tous les grands systèmes de doctrine pourrait sûrement s'attendre à provoquer une certaine curiosité de leur nature.

Si nous nous surveillons honnêtement, nous constaterons souvent que nous avons commencé à discuter contre une nouvelle idée avant même qu'elle ne soit complètement indiquée.

La première [qualité] à nommer doit toujours être le pouvoir de l'attention, de donner tout son esprit au patient sans l'interposition de quoi que ce soit de soi. Cela semble simple, mais seuls les plus grands médecins l'atteignent complètement. ... La deuxième chose à faire pour être frappée est l'intuition. Cela semble impossible, car qui peut contrôler ce petit moniteur silencieux? Mais l'intuition n'est que l'interférence de l'expérience stockée et non activement rappelée. ... La dernière aptitude que je mentionnerai qui doit être atteinte par le bon médecin est celle de gérer l'esprit de l'homme malade.

Si l'humanité doit profiter librement de la petite récolte sporadique de la production héroïquement douée, elle devra cultiver l'art délicat de la gestion des idées. La psychologie est désormais en mesure de nous dire avec une assurance raisonnable que l'obstacle le plus influent à la liberté de pensée et à de nouvelles idées est la peur; et la peur qui peut avec inimitable l'art se déguiser comme de la prudence, de la santé mentale, ou du scepticisme raisonné, ou à l'occasion même de courage.

Un événement vécu est un événement perçu, digéré et assimilé dans la substance de notre être, et le rapport entre le nombre de cas vus et le nombre de cas assimilés est la mesure de l'expérience.

La deuxième chose à faire pour être frappée est l'intuition. Cela semble impossible, car qui peut contrôler ce petit moniteur silencieux? Mais l'intuition n'est que l'interférence de l'expérience stockée et non activement rappelée.

La maladie raconte souvent ses secrets dans une parenthèse occasionnelle.

L'air de caricature ne manque jamais de se montrer dans les produits de la raison appliquée sans relâche et sans correction. L'observation des faits cliniques semblerait être une poursuite du médecin aussi inoffensif que indispensable. [Mais] cela semblait irrésistiblement rationnel à certains esprits que les maladies devraient être aussi pleinement classiables que les coléoptères et les papillons. Cette doctrine ... portait peut-être ses fruits les plus riches entre les mains de Boissier de Sauvauges. Dans sa méthode Nosologia publiée en 1768 ... Cette linnaeus du chevet a groupé les maladies en dix classes, 295 genres et 2400 espèces.

Il est nécessaire de nous protéger en pensant que la pratique de la méthode scientifique élargit les pouvoirs de l'esprit humain. Rien n'est plus catégoriquement contredit par l'expérience que la croyance qu'un homme s'est distingué dans un ou même plus de départements de sciences, est plus susceptible de penser sensiblement aux affaires ordinaires que quiconque.

L'intellect impartial, l'esprit ouvert, l'observateur sans préjudice, n'existe dans un sens exact que dans une sorte de folklore intellectualiste; Les États qui s'approchent même d'eux ne peuvent être atteints sans un effort moral et émotionnel que la plupart d'entre nous ne peuvent pas ou ne feront pas.

L'activité fondamentale de la science médicale est de déterminer la causalité ultime de la maladie.

L'esprit vraiment scientifique est tout à fait sans peur du nouveau, et tout en n'ayant aucune pitié pour les idées qui ont servi leur tour ou ont montré leur inutilité, il ne rattrapera pas à une conception inconnue son moment d'attention pleine et amicale, espérant se développer plutôt qu'à Minimisez le petit noyau de l'utilité qu'il peut contenir.

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