William Henry Ashley, né vers 1778 et mort le 26 mars 1839, est un négociant en munitions et fourrures, et homme politique américain.

Comme mes hommes pouvaient s'employer avec profit sur ces cours d'eau, je me déplaçais lentement, ne parcourant pas en moyenne cinq ou six milles par jour et restais parfois deux jours au même campement.

Nous avons donc été obligés de décharger nos bateaux de leurs cargaisons et de les passer vides sur les chutes au moyen de longues cordes que nous avions fournies à de telles fins.

Ayant maintenant atteint un point où le danger pourrait être raisonnablement appréhendé en promenant les partis de guerre des Indiens, les espions ont été maintenus à l'avance et une stricte diligence observée dans le devoir des sentinelles.

Le temps était beau, les vallées couvertes de buffles, et tout semblait promettre un mouvement sûr et rapide vers le premier bosquet de bois sur mon itinéraire, censé être environ dix jours de mars.

Ces gens étaient bien vêtus de peaux, avaient des fusils, mais armés généralement d'inclinaison et de flèches et d'autres instruments de guerre qui sont communs parmi les Indiens du Missouri.

Certains d'entre eux prétendent être bien connus avec toutes les principales eaux de la Colombie, avec lesquelles ils m'ont assuré que ces eaux n'avaient aucune connexion à moins de l'océan.

Nous sommes restés à notre campement de ce jour jusqu'au matin du 7e, lorsque nous sommes descendus dix miles plus bas et campé sur un terrain où plusieurs milliers d'Indiens avaient hivernal au cours de la saison dernière.

Il apparaît sur le récit de M. Smith qu'il n'y a pas de pénurie de buffles alors qu'il pénétrait le pays.

Ces montagnes semblent être presque entièrement composées de strates de roche de différentes couleurs (principalement rouges) et sont partiellement recouvertes d'une croissance naine de pin et de cèdre, qui sont les seules espèces de bois à être vues.

La neige est si courante que j'ai omis de noter qu'il tombait au moins deux jours sur trois.

J'ai fait explorer le Big Horn River depuis Wind River Mountain à mon lieu d'embarquement.

Plusieurs discours ont été prononcés par les chefs au cours du Conseil, tous expressifs au plus haut degré de leur disposition amicale envers notre gouvernement, et leur conduite dans chaque particulier a manifesté la sincérité de leurs déclarations.

Ils m'ont exhorté à occuper des quartiers d'hiver aux fourches du Platt, déclarant que si j'essayais d'avancer davantage jusqu'au printemps, je mettrais en danger la vie de toute ma fête.

Sur mon passage là-bas, je n'ai découvert rien de remarquable dans les caractéristiques du pays.

La partie principale ou la plus élevée de la montagne ayant changé sa direction vers l'est et l'ouest, je l'ai montée de manière à laisser ses gammes les plus élevées au sud et j'ai parcouru le nord-ouest sur un pays très rugueux et brisé généralement couvert de neige.

Nous avons continué à avancer sans perte de temps, espérant pouvoir atteindre le bois décrit par les Indiens avant que tous nos chevaux ne deviennent épuisés.

Après le départ des parties de terre, j'embarquai avec six hommes le jeudi 21 avril, à bord de mon bateau nouvellement construit et commençai la descente du fleuve.

Après un travail acharné et sévère de deux jours, nous retournâmes à notre ancien campement avec la perte de quelques-uns de mes chevaux, et mes hommes excessivement fatigués.

La rivière Yellowstone est une belle rivière à naviguer.

La seule partie très accidentée de l'itinéraire consiste à traverser la Big Horn Mountain, qui mesure environ 30 miles de large.

Beaucoup de leurs lodges sont restés aussi parfaits que lorsqu'ils sont occupés. Ils étaient faits de pôles de deux ou trois pouces de diamètre, installés sous forme circulaire et recouverts d'écorce de cèdre.

La neige continue avec des vents violents, nous restons de ce camp en jour à la suite de la météo.

https://fr.wikipedia.org/wiki/William_Henry_Ashley

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