In the definitive biography of John Fante, English and film studies professor Stephen Cooper explores the life of a man whose muse was Los Angeles.

Full of Life

It's not every day that a writer, almost unheard of in his lifetime, emerges twenty years after his death as a voice of his generation. But then again, there aren't many writers with such irrepressible genius as John Fante. The John Fante Reader is the important next step in the reintroduction of this influential author to modern audiences. Combining excerpts from his novels and stories, as well as his never-before-published letters, this collection is the perfect primer on the work of a writer -- underappreciated in his time -- who is finally taking his place in the pantheon of twentieth-century American writers.

The John Fante Reader

Fils d'émigrés italiens échoués dans le Colorado, Dago Red n'a pas les yeux dans sa poche pour observer le petit monde qui l'entoure. Entre un père macho et colérique et une Mamma épuisée, Dago va à l'église, prend des raclées et rêve d'être une star du baseball, en « bon Américain ». Cocktail d'humour et d'amertume, ce Vin de la jeunesse distille l'ivresse des grands textes.« Sans eau de rose, sans trémolos, avec une émotion vibrante et sèche, Le Vin de la jeunesse est à coup sûr un grand classique de la littérature sur l'enfance. »Michèle Gazier, TéléramaTraduit de l'anglais parBrice Matthieusent

Le vin de la jeunesse

« Un jour j'ai sorti un livre, je l'ai ouvert et c'était ça. Je restai planté un moment, lisant et comme un homme qui a trouvé de l'or à la décharge publique. J'ai posé le livre sur la table, les phrases filaient facilement à travers les pages comme un courant. Chaque ligne avait sa propre énergie et était suivie d'une semblable et la vraie substance de chaque ligne donnait sa forme à la page, une sensation de quelque chose sculpté dans le texte. Voilà enfin un homme qui n'avait pas peur de l'émotion. L'humour et la douleur mélangés avec une superbe simplicité. Le début du livre était un gigantesque miracle pour moi. J'avais une carte de la bibliothèque. Je sortis le livre et l'emportai dans ma chambre. Je me couchai sur mon lit et le lus. Et je compris bien avant de le terminer qu'il y avait là un homme qui avait changé l'écriture. Le livre était Demande à la poussière et l'auteur, John Fante. Il allait toute ma vie m'influencer dans mon travail. » (Charles Bukowski, 1979)« Une ligne, dix lignes, une page. On ouvre un livre de John Fante et l'on se dit que c'est ça. Que la vie est là, brute, brutale, brûlante. L'émotion à l'état pur. Des mots qui mordent dans le tendre. Et toute cette souffrance qui jaillit d'un volcan jamais éteint, jamais refroidi. » (André Clavel, L'Express)

Romans - Volume 1, La Route de Los Angeles ; Bandini ; Demande à la poussière

Arturo Bandini, ein erfolgloser Schriftsteller, verdient sich seinen Lebensunterhalt als Hilfskellner. Doch als überraschend eine seiner Erzählungen von einer Zeitschrift angenommen wird, beginnt sich sein Leben mit einem Schlag zu ändern. Er bekommt neue Jobs angeboten, in denen er es nie lange aushält, und er lernt neue Frauen kennen – hinreißende, aber leider meist unnahbare Frauen. Ein Mann wie Arturo Bandini gibt allerdings niemals auf, egal wie oft er eine Abfuhr erhält. Denn er weiß: Irgendwo wartet das Paradies.

Rêves de Bunker Hill

Orgueilleux, emphatique, looser provocateur, Arturo Bandini bourlingue dans l'Amérique des années trente. Enfermé dans un placard qui lui sert de « bureau », errant de petits boulots en grosses galères, Bandini veut être écrivain. La Route de Los Angeles publiée après la mort de John Fante, marque la naissance d'un anti-héros culte et le début d'une oeuvre flamboyante.

La route de Los Angeles

Un énorme chien à tête d'ours, obsédé et très mal élevé, débarque un soir dans la famille en crise d'Henry J. Molise, auteur quinquagénaire raté et désabusé. Dans leur coquette banlieue californienne de Point Dume, ce monstre attachant s'apprête à semer un innommable chaos.

Un joyau d'humour loufoque et de provocation tapageuse.

Mon chien Stupide

Un énorme chien à tête d'ours, obsédé et très mal élevé, débarque un soir dans la famille en crise d'Henry J. Molise, auteur quinquagénaire raté et désabusé. Dans leur coquette banlieue californienne de Point Dume, ce monstre attachant s'apprête à semer un innommable chaos. Un joyau d'humour loufoque et de provocation tapageuse. Edition de poche collector avec couverture à rabats

Mon chien stupide

Ouvrir ce recueil de dix-sept nouvelles, c'est écouter la voix d'un des plus humains et touchants écrivains que l'Amérique ait comptés : celle de John Fante. 
Grosse Faim, composé de textes retrouvés bien après sa mort en 1983, aurait pu n'être qu'une compilation de feuillets surestimés à l'attention des seuls nostalgiques. Ce n'est pas le cas. Tout ce qui rend l'auteur si unique tient dans ces pages écrites entre 1932 et 1959. Les souvenirs d'enfance doux amers du fils d'immigrés italiens issu d'un foyer modeste, la tradition religieuse, l'adultère des plus grands... et les premiers élans amoureux, forcément maladroits. [...] La préface intégrale de  Demande à la poussière, ce bijou de bouquin, est l'un des meilleurs moments de cette  Grosse Faim sensible et passionnée, qui donne envie de dévorer tout entière l'oeuvre de Fante. 

 
Max Edison, Newlook Traduit de l'anglais (États-Unis) par Brice Matthieussent

Full of Life

Résumé

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