La route des forêts

Titre : Les plantes qui puent, qui pètent, qui piquent PRIX SAINT-FIACRE 2008, mention " Jeunesse et botanique " Collection : Dame nature Sortie : Mai 2009 (REV) Argumentaire : Les plantes ne sont pas toujours aussi inoffensives qu'elles en ont l'air : les unes griffent, les autres dégagent une odeur insupportable, d'autres encore brûlent ou ne vous lâchent plus ! Ce livre documentaire, écrit par deux passionnés du règne végétal, traite avec sérieux et humour de ces plantes aux vertus si désagréables pour nous mais qui leur permettent de se défendre et ainsi de survivre. Regroupées par type de comportement ou d'adaptation (mauvaise odeur, sécrétion collante ou baveuse et autres armes tranchantes...), près de trente espèces de plantes sont décrites de façon détaillée. Points forts : . Un sujet original : les différentes stratégies adoptées par les plantes pour se défendre . De nombreuses illustrations naturalistes, réalistes et humoristiques Auteurs : C'est un grand intérêt porté aux arbres fruitiers qui a fait se rencontrer Lionel HIGNARD et Alain PONTOPPPIDAN. Leur passion commune pour les plantes leur a donné envie d'écrire ensemble pour faire connaître au grand public les arbres (plusieurs titres dans la collection " Le nom de l'arbre " chez Actes Sud), puis la cuisine avec les plantes (La cuisine de Robin des Bois et La cuisine de la reine des prés chez Actes Sud Junior). Ils vivent tous les deux dans le Sud-Ouest. Illustrateur : Yann Le Bris a associé ses deux passions, la nature et le dessin, pour en faire une seule et même profession : dessinateur naturaliste. Ses réalisations sont très variées : esquisses de terrain, dessins réalistes ou humoristiques. Il vit en Bretagne, au fin fond de la campagne morbihannaise. Caractéristiques : Diffusion : Volumen Format : 21 x 27 cm, cartonné Pages : 80 Prix : 15 ? Cible : 8-10 ans ISBN : 978-2-90942-188-9

Les plantes qui puent, qui pètent, qui piquent

Arbres de Méditerranée

Arbre emblématique de l'histoire de la soie, le mûrier symbolisa longtemps la prospérité des soyeux, et sa culture a périclité au fur et à mesure du déclin de cette industrie ; les vestiges de " l'arbre d'or " qui subsistent dans le midi de la France témoignent de ce passé flamboyant. Cependant, certaines espèces de mûrier ont connu bien d'autres destinations que la soierie : en Cornouailles, le vin fabriqué avec les fruits du mûrier noir ; en Chine, le papier destiné à la calligraphie ou à la peinture ; chez les Indiens d'Amérique, les arcs pour la chasse ; et le bois du mûrier est particulièrement mis en valeur dans de nombreux instruments de la musique populaire orientale. Arbre d'or, mais aussi arbre de vie, "le mûrier est patience. Il faut du temps pour le découvrir."

Le Murier

Puissante et majestueuse, l'ample couronne arrondie de l'orme a longtemps été l'orgueil des rues des riches villes marchandes, l'ornement somptueux des mails, des places de village et des routes ombragées. Décimé par la graphiose, il a manqué disparaître à jamais de nos paysages et de tant de lieux familiers auxquels il a donné son nom. L'extraordinaire vitalité de l'ormeau et l'obstination des hommes attachés à la sauvegarde de leur compagnon séculaire ont fait naître l'espoir de recommencer à " emplanter " d'ormes le bord des chemins. Si vous êtes né entre le 12 et 1e 24 janvier ou entre le 15 et le 25 juillet, le calendrier celtique en fait votre arbre tutélaire : symbole de noblesse et de générosité affable.

Ses oeuvres

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