It is evident to anyone who takes a survey of the objects of human knowledge, that they are either ideas actually imprinted on the senses; or else such as are perceived by attending to the passions and operations of the mind; or lastly, ideas formed by help of memory and imagination - either compounding, dividing, or barely representing those originally perceived in the aforesaid ways...

« That in order to seek truth, it is necessary once in the course of our life, to doubt, as far as possible, of all things.

As we were at one time children, and as we formed various judgments regarding the objects presented to our senses, when as yet we had not the entire use of our reason, numerous prejudices stand in the way of our arriving at the knowledge of truth; and of these it seems impossible for us to rid ourselves, unless we undertake, once in our lifetime, to doubt of all those things in which we may discover even the smallest suspicion of uncertainty...

That we ought also to consider as false all that is doubtful.

Moreover, it will be useful likewise to esteem as false the things of which we shall be able to doubt, that we may with greater clearness discover what possesses most certainty and is the easiest to know... »

The Principles of Human Knowledge

What is the explanation of the fact that people use things that stupefy them: vódka, wine, beer, hashish, opium, tobacco, and other things. Why did the practice begin? Why has it spread so rapidly, and why is it still spreading among all sorts of people, savage and civilized? How is it that where there is no vódka, wine or beer, we find opium, hashish, and the like, and that tobacco is used everywhere?

Why do people wish to stupefy themselves?

Ask anyone why he began drinking wine and why he now drinks it. He will reply, "Oh, I like it, and everybody drinks, " and he may add, "it cheers me up." Some - those who have never once taken the trouble to consider whether they do well or ill to drink wine - may add that wine is good for the health and adds to one's strength; that is to say, will make a statement long since proved baseless.

Ask a smoker why he began to use tobacco and why he now smokes, and he also will reply: "To while away the time; everybody smokes."

Why Do Men Stupefy Themselves?

What is Enlightenment? 

Enlightenment is man's release from his self-incurred tutelage. Tutelage is man's inability to make use of his understanding without direction from another. Self-incurred is this tutelage when its cause lies not in lack of reason but in lack of resolution and courage to use it without direction from another. "Have courage to use your own reason!" - that is the motto of enlightenment.

Philosophy of the Enlightenment

Though professing philosophy as his guide in life and following her rule, Marcus Aurelus makes no pretence to learning or wisdom for himself.

"I have learned from my grandfather Verus : the lessons of noble character and even temper.

From my father's reputation and my memory of him: modesty and manliness.

From my mother: piety and bountifulness, to keep myself not only from doing evil but even from dwelling on evil thoughts, simplicity too in diet and to be far removed from the ways of the rich.

From my mother's grandfather: not to have attended public schools but enjoyed good teachers at home, and to have learned the lesson that on things like these it is a duty to spend liberally.

From my tutor: not to become a partisan of the Green jacket or the Blue in the races, nor of Thracian or Samnite gladiators; to bear pain and be content with little; to work with my own hands, to mind my own business, and to be slow to listen to slander."

Meditation of an Emperor - The Thoughts of Marcus Aurelius

Un des épisodes les plus curieux de ce long pèlerinage (en Judée) a été certainement notre excursion à Sebbeh et aux ruines de Massada, sur la rive occidentale de la mer Morte. Les souvenirs que je donne ici feront comprendre, je l'espère, le double intérêt qui s'attache aux ruines de Massada comme théâtre d'un grand fait historique et comme un des points les plus rarement visités de la Judée. 
Massada était une forteresse dans la tribu de Juda, à l'ouest de la mer Morte, sur un rocher escarpé, et où l'on ne pouvait que très difficilement monter. Hérode le Grand fortifia cette place, et la rendit presque imprenable. Après la dernière guerre des Juifs contre les Romains, Eléazar, chef des Sicaires, s'empara de Massada. Flavius Silva que l'empereur Titus avait laissé dans la Judée, y assiégea Eléazar. Celui ci, dit l'historien Josèphe, voyant qu'il ne pouvait plus tenir contre l'armée romaine, persuada tous les Juifs qu'il avait avec lui de se tuer l'un l'autre, et que le dernier vivant mettrait le feu au château.

Les ruines de Massada

« De toutes les dispositions de l'esprit, la simplicité est celle qui contribue davantage au bonheur de la vie. » (Johan G. O.)

Aspirer à la vie simple, c'est proprement aspirer à remplir la plus haute destinée humaine. Tous les mouvements de l'humanité vers plus de justice et plus de lumière, ont été en même temps des mouvements vers une vie plus simple.

Ce livre est venu en son temps et répond à un besoin profond de simplification au milieu de cette époque agitée et complexe.

C'est surtout aux États-Unis que le livre 'La Vie Simple', a eu son plus grand succès, comme si ce peuple de luxe et d'argent sentait mieux que tout autre, la nécessité d'une réaction contre l'envahissant besoin de richesse qui, semblable à ces rongeurs qui finissent par détériorer les plus solides meubles de noyer et de chêne, épuisait peu à peu les forces vives des nations.

Puissent les pages de ce livre, en se répandant, ramener l'attention de beaucoup de nos contemporains sur le premier de tous les sujets: l'emploi et l'organisation de la vie. Et puissions-nous en méditant sur ce problème des problèmes, arriver à comprendre que le bonheur, la force et la beauté de l'existence ont pour une grande part leur source dans l'esprit de Simplicité.

La vie simple - ou l’esprit de simplicité dans les relations humaines

Qu'est-ce qu'un totem et quelle est l'origine du totémisme ? Le totem, d'origine américaine, désigne l'objet, ordinairement un animal, qui sert de divinité protectrice à toute une tribu. Le totémisme diffère du fétichisme proprement dit, en ce que ce dernier déifie une chose particulière, individuelle, tandis que le totémisme attribue un caractère sacré à tous les individus d'une même espèce. Ainsi, celui qui prend un épi de maïs comme fétiche, estime beaucoup cet épi en particulier, mais le maïs, comme espèce, lui importe peu. Par contre, celui qui prend pour totem l'ours ou le loup, se sent en communication intime, sinon mystérieuse, avec l'espèce entière. Tous les loups ou tous les ours deviennent alors inviolables ; il s'abstient de les poursuivre, de les maltraiter, de les tuer. De plus, le totem donne son nom à toute la tribu. On ne peut méconnaître dans le totémisme un degré supérieur de généralisation, et par là une forme plus élevée du développement intellectuel. Tout ce qui concerne le totémisme a nécessairement des répercussions étendues dans tous les domaines de la sociologie (et de la psychologie) car il est à la racine d'une multitude d'institutions.

Totem et totémisme

Comment faire pour être heureux? Voilà la question que presque tout le monde se pose, et dont les réponses varient selon les nombreux ouvrages écrits sur le bonheur. Il n'est pas facile de parvenir à une vie heureuse, disait Sénèque. Il faut, avant tout, déterminer ce qui rend vraiment heureux; ensuite chercher comment l'atteindre. J'ai décidé d'être heureux parce que c'est bon pour la santé », disait Voltaire. Que ne sommes-nous pas prêts à faire pour avoir une meilleure santé physique et mentale? Et si le bonheur y contribue, pourquoi ne pas faire le choix d'être heureux? Comment développer l'art d'être heureux dans un monde où peines et contrariétés n'épargnent personne? S'appuyant sur les travaux de Kant, Sénèque, du baron d'Holbach, ou encore d'Alain, cette réflexion sur le bonheur montre comment parvenir à être heureux en développant un état d'esprit qui transcende les facteurs extérieurs et permet de conquérir le bien-être durable.

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