L'administration communale de Chambéry au XVIIIe siècle

Grands notables du Premier Empire - Tome 2, Mont-Blanc, Léman

Il fut un temps où Genève et la Savoie ont été réunies, cela remonte au Premier Empire. L´auteur de cet ouvrage de près de sept cents pages attendu depuis de nombreuses années a étudié comment les deux voisins ont vécu leur rapprochement et leurs particularismes dans une époque difficile. L´empereur s´est en effet constamment occupé de cette région essentielle pour ses relations avec l´Italie et avec la Suisse et après lui toute l´Europe s´est penchée sur le devenir d´un ensemble fondamental pour l´équilibre européen. Au moment où chacune de leur côté, Genève et la Savoie cherchent à se situer dans le nouvel ensemble européen, il est bon de prendre connaissance des expériences antérieures, tant il est vrai qu´il est toujours utile de se nourrir des erreurs et des imperfections de nos prédécesseurs.

L'aigle et la croix - Genève et Savoie 1798-1815

Curieuse famille que cette dynastie qui a laissé son nom à une province d'Ancien Régime - dont se réclament toujours deux départements français - et qui perdure, seule de son cas en Europe, depuis un millénaire. "Portiers des Alpes", les Savoie se voulaient, pour le meilleur (les péages) et pour le pire (les invasions), maîtres des routes transalpines, oscillant entre l'empereur et le pape, entre la France et l'Autriche, déployant une double politique, vers l'Ouest et vers l'Est. Pourtant, les princes des Alpes se sont perdus eux-mêmes : est-ce de n'avoir pas su se contenter de leur sort, de n'avoir pas su maîtriser leurs ambitions ?

La maison de Savoie - Une ambition millénaire

Le Beaufortain

Après « Aimer la Maurienne », voici « Voir la Maurienne ». La guerre est une affaire trop sérieuse pour être abandonnée aux militaires. L'Histoire, en cette fin du XXe siècle, a beaucoup gagné, elle aussi, à sortir des chasses gardées par les spécialistes. Dans ce recueil, laissons des artistes écrire à leur manière l'histoire de la Maurienne. Les commentaires de l'historien se proposent uniquement de faire le lien et de mettre en valeur les aspects les plus significatifs des estampes. Cette histoire de Maurienne en images prend un relief saisissant. La collaboration de l'artiste et de l'historien lui donne une nouvelle dimension.

Images de Maurienne

En 1959, deux familles ont uni leurs efforts, leurs compétences, et une partie de leurs capitaux, pour fonder une entité nouvelle, l'entreprise Carrefour : les Defforey, originaires du monde de la terre, Lagnieu, une petite commune du département de l'Ain, et les Fournier, qui ont grandi à Annecy. De cette rencontre, est né le premier hypermarché de la planète, en 1963, à Sainte-Geneviève-des-Bois. Son ouverture fut une réussite extraordinaire, à la base d'une véritable révolution dans notre société moderne. « Derrière cette révolution, nul ne l'ignore en Haute-Savoie, il y a un Annécien, disparu en 1985, un mercier de tradition, devenu dieu pour les uns et diable pour les autres : Marcel Fournier. (...) Jean Marc Villermet à rassemblé, de multiples témoignages et documents sur Marcel Fournier, ses amis, ses méthodes, ses coups de cour et de tête. Jamais il n'a visé à l'idéalisation mais, à la vérité, tellement plus solide et passionnante ». Pierre Soudan - Le Messager.

Au carrefour d'une révolution, la naissance de l'hypermarché, 1959-1963

Chambéry, d'un millénaire à l'autre

Histoire de la Maison de Savoie. - Tome 3, Les rois ( XVIIIe-XXe siècles)

Qui connaît Giovanni Battista De Gubernatis qui a peint la Savoie avec talent et amour en 1828, juste avant les premières atteintes de la révolution industrielle ? Symbole de la fraternité trop longtemps niée entre le Piémont et la Savoie, De Gubernatis mérite mieux que l'oubli dans lequel il est tombé en Piémont et que l'indifférence que lui ont vouée les Savoyards. Ce brillant aquarelliste, romantique et moderne en même temps, a été un des meilleurs peintres des États de Savoie au début du XIXe siècle. Il n'est que justice de lui rendre enfin l'audience qu'il mérite en dépassant l'éloignement de la Galerie d'art moderne de Turin où ses œuvres sont conservées. C'est la fierté de L'Histoire en Savoie de reproduire en couleurs dans ce numéro exceptionnel trente images de la Savoie de 1828, précédées d'une introduction d'André
Palluel-Guillard.

La Savoie Du Peintre De Gubernatis (1828)

Impressions De Voyage En Savoie Ou Comment Les Voyageurs Ont Vu La Savoie

Pour la première fois, une synthèse sur ma vie quotidienne à Chambéry pendant les trente-cinq ans de la Belle Epoque. Non pas une histoire de Chambéry envisagée sur une longue période.Ici on a choisi le temps d'une génération pour connaître exactement l'atmosphère de la ville: depuis les années 1880 avec l'arrivée au pouvoir des républicains jusqu'à la fin d'un monde en 1914. Cette époque n'a pu être belle qu'en regard de la guerre qui a suivi.cet ouvrage ressuscite une période qui se voulait parfaite et qui se croyait éternelle.

Chambéry à la Belle Epoque

Comme toutes les familles, les Costa de Beauregard ont connu de bonnes et de mauvaises périodes avec une belle variété de tempéraments, d'opinions et même de choix de vie, mais peu de familles ont eu autant d'importance dans l'histoire de Savoie depuis le XVIe siècle. De Gênes à Chambéry et de là en Chablais, de Munich à La Motte-Servolex, suivons avec André Palluel-Guillard les ambitions du président Gaspard, les frasques de Marc-Antoine, les essais agronomiques d'Alexis, les malheurs de "L'homme d'autrefois", les multiples activités de l'illustre Pantaléon, la carrière littéraire de l'académicien Albert et la charité sans borne du "vénérable" abbé Camille et de soeur Mélanie. Armes de la famille Costa. D'azur à trois bandes d'or au chef de France (par faveur spéciale de Charles VIII renouvelée par Louis XIV en 1654) doublé par diplôme spécial de l'empereur en 1698 (en récompense de la défense des Etats d'Autriche contre les Turcs) d'un écu posé sur un aigle d'Empire, avec la devise Soli fidelis. Ces armes étaient peintes sur les murs du réfectoire de l'hôpital général de Chambéry dont les Costa étaient les bienfaiteurs et, en 1650, l'on vit Gaspard Costa faire un don aux camaldules de Turin (où son fils Ferdinand était entré sans son autorisation) à la condition de faire peindre les armoiries familiales dans les cellules des moines.

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