Cinquante ans, c'est l'âge des bilans, dit-on. C'est l'âge de la Médecine du travail. Que penser de cette institution à l'aube du troisième millénaire ? L'affaire de l'amiante oblige aujourd'hui les spécialistes à se poser la question de la pertinence de leur métier, comme elle impose à l'ensemble de la population d'énoncer ses attentes en matière de santé au travail. Droit à la santé, droit au travail ? Le divorce s'accentue dans les faits. La Médecine du travail, l'institution, est-elle appelée à disparaître ? Sera-t-elle capable de s'adapter aux évolutions rapides de notre société et des nouvelles technologies ? Ce livre, fondé sur l'expérience et les contributions de professionnels reconnus (médecins du travail et hospitaliers), se veut une contribution à la réflexion sur la santé publique en France. Ce n'est pas un traité de pathologie professionnelle mais une œuvre de réflexion prospective. Cependant, certaines questions ont été traitées d'une manière plus technique, ceci dans le but de laisser entrevoir au plus grand nombre de lecteurs toute la complexité et toute la noblesse d'une pratique médicale par trop et injustement décriée. N'oublions pas que, lorsque l'on méprise la médecine du travail, ce n'est jamais la médecine que l'on méprise mais trop souvent le travail.

Medecine Du Travail Et Sante Publique : Quel Avenir ? La Sante Comme Condition D'Une Refondation Du Dialogue Social

S'il existe un problème qui perturbe une bonne partie de l'humanité, notamment les populations qui ont, sous une forme ou l'autre, adopté, voire adapté, le monothéisme, c'est bien " le fait hébreu ". Est-ce parce que les juifs ont inventé la religion du Dieu unique qu'ils sont ainsi la cible des préjugés les plus tenaces ? En quoi sont-ils éternellement coupables d'avoir été les premiers ? Certains les accusent au nom d'autres " vérités révélées ".
Mais les " vérités éternelles " ne sont-elles pas toujours tordues et retordues au gré des nécessités politiques et des modes du moment ? Les meilleures illustrations possibles de discours qui, sous couvert de théologie, ne sont que des a priori politiques, ne sont-elles pas les diverses controverses, plus ou moins bon enfant, plus ou moins véhémentes, qui fleurissent autour de ce que d'aucuns appellent la " question juive " ? Puisque, autour du judaïsme et plus encore des juifs, se cristallisent un nombre considérable de phobies.
N'avons-nous pas assisté d'ailleurs, avec les attentats du 11 septembre 2001, au retour sur la scène de l'histoire d'un irrationnel aussi sanglant que spectaculaire ? À l'heure où l'intégrisme gagne tant de terrain chez nombre de ceux qui se qualifient de " fils " d'Abraham, à l'heure aussi où le conflit du Proche-Orient apparaît comme un inextricable enchevêtrement de haines, n'est-il pas hautement nécessaire de se demander, en conscience : Qu'est-ce que le judaïsme ? Qu'est-ce qu'un juif ?
À la réponse apportée à cette double interrogation se mesure le rapport personnel de chacun à l'existence de Dieu, et, dans notre pays, du fait de notre histoire, au respect de l'éthique républicaine.

Le Joker Juif. Ou Du " Fait Hebreux " Comme Argument Polemique

La France décapitée

Nous avons voulu mettre des mots sur un malaise. En termes médicaux, cela s'appelle poser un diagnostic. Nous avons posé le nôtre, bien qu'il nous déplaise. Nous dénonçons une philosophie politique née du ressentiment - sa tare congénitale - et qui nous paraît donc absolument erronée dans son fondement; une conception de l'organisation de la société, révolue de longue date, et, résultante des deux précédentes, une caste politico-intellectuelle qui n'a jamais démontré son efficacité que par la négative. Nous sommes confrontés - et plus encore le pays - à un vénéneux triptyque de la médiocrité satisfaite, pour ne pas dire béate. Et quand les tenants, petits ou grands, de cette trinité par le bas, se targuent des trois principes de notre devise nationale, nous pouvons être certains que c'est toujours pour mieux détruire les valeurs et la République dans son essence même. Nous avons, pour mener à bien notre démarche, été guidés par trois certitudes : primo, la très profonde affection pour notre peuple, qui ne mérite pas la condescendance que certains lui témoignent ; secundo, l'amour pour notre culture française ; tertio, le dédain pour ces pseudo-élites que notre pays subit depuis trop longtemps. Nous souhaitons qu'à la fin de l'ouvrage, le lecteur partage cette triple certitude. Et qu'elle se traduise en actes.

L'Hallali - A ces élites qui n'en sont pas

De Hollande à Macron, nous assistons au triomphe de l'idéologie libérale libertaire.
Cette victoire ne doit strictement rien au hasard. Elle ne résulte pas seulement de l'indiscutable talent des lauréats, ni totalement du très remarquable travail de communication réalisé autour d'eux, avec, pour Emmanuel Macron, l'incomparable qualité de ses porte-paroles de campagne.
Cette victoire vient de bien plus loin, d'un long et méticuleux processus culturel au sens plein du terme, déconstruisant au nom du « progrès » les ancrages traditionnels.
« Le pouvoir se prend d'abord dans les têtes avant de se prendre dans les urnes ».
La classe dominante a parfaitement intégré cet adage. Ceux qui nous dirigent en son nom sont installés au pouvoir avec notre benoit assentiment, faisant de nous des victimes consentantes.
Comment retrouver une authentique liberté ? Ce livre ouvre la voie pour nous libérer de l'idéologie libérale libertaire.

Manuel d'autodéfense contre les libéraux libertaires

« Monsieur Sampieri, nous Américains, avons plusieurs fois remboursé à la France la dette que nous avions envers Gilbert du Motier de La Fayette. Il est grand temps maintenant que nous rendions aux Corses ce que nous devons à Pascal Paoli. » C'est l'accomplissement de cette promesse faite par le vice-président des États-Unis à un jeune exilé corse que ce livre, écrit par un témoin de la première heure, raconte. Un récit où flotte aussi le fantôme d'une France qui se croyait éternelle.

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