Oasis New York

Le Tao Te King, composé avant l'ère chrétienne par Lao Tseu - dont l'identité reste discutée - est l'un des textes de sagesse les plus réputés de l'Antiquité. Inscrit dans la tradition politique chinoise. Ce poème qui prône, en apparence, le non-agir, scintille par sa simplicité et sa force intérieure : ses quatre-vingt-une facettes dessinent subtilement l'horlogerie du monde. Le Tao Te King a inspiré, en Chine, des centaines de commentaires tant il a touché les cercles philosophiques, politiques, religieux, médicaux, militaires : trois cents traductions au moins ont rythmé, au gré des siècles, son universalité C'est en poète qu'Antoine de Vial s'est attelé à rendre, dans une écriture qui respire, l'un des grands poèmes humains.

Tao te king - Texte français d'Antoine de Vial

La voix des Amérindiens résonne ici la première, avant celle des galaxies urbaines, ou celle des petites villes, avant les cris des rodéos de l'Ouest ou les avis donnés par les gens du désert, plus loquaces que les ranchers du Nebraska. Ce parcours initiatique des États-Unis, en douze chapitres, constitue une autobiographie secrète, un « journal » de poète aux bottes de sept lieues. Ce texte réclame d'être dit : son titre Americadire en contient la promesse.

Americadire - Ou l'Amérique au risque du français

Contrepoint de Oasis New York, NY 9/11 911 aborde, à travers ses neufs prismes et les vingt-quatre flashs des Chambres de septembre, la ruine des "twin towers" le 11 septembre 2001. Evoquer en poésie une telle actualité nécessitait de prendre et de garder un singulier recul pour faire ce petit livre. Le 911 est le numéro des urgences aux Etats-Unis.

NY 9/11 911

Prendre corps ou l'envers des mots publie les haïkus écrits par Antoine de Vial, franco-américain qui vit aujourd'hui à Paris. Aux figures des quatre saisons, l'auteur a ajouté les vents, les astres, les instants, la nature, les morts, la ville de New York. Dans sa postface, le poète dit le dur combat que constitue pour un Occidental l'écriture brève des haïkus.

Prendre corps ou l'envers des mots - Haïkus

GAVRINIS : PIERRES DE MER ET DE MYSTÈRE. On ne peut naître à Gavrinis que de nuit. C'est un lieu où l'on ne parvient pas sans le secours de l'amitié et du silence, car son secret et sa rudesse nous ouvrent à une vérité sur nous-mêmes. Les dalles de Gavrinis se laissent déchiffrer lorsqu'elles parviennent à délivrer en nous la mélodie qui nous habite, sans recourir ? trop vite ? à l'arbitrage des mots. Elles expriment l'adolescence de l'humanité, notre adolescence et, si nous avons recherché et désiré la médiation de ce lieu, elles révèlent ? par des cercles qui tremblent dans ses chambres ? nos fragilités d'aujourd'hui : celles des anneaux démesurés de nos villes ou des ellipses de nos fusées.

Obéir à Gavrinis

Le Tao Te King, composé avant l'ère chrétienne par Lao Tseu est l'un des textes de sagesse les plus réputés de l'Antiquité. Ce poème scintille par sa simplicité et sa force intérieure : ses quatre-vingt-une facettes dessinent subtilement l'horlogerie du monde. C'est en poète qu'Antoine de Vial s'est attelé à rendre, dans une écriture qui respire, l'un des grands poèmes humains.

La voix des Amérindiens résonne ici la première, avant celle des galaxies urbaines, ou celle des petites villes, avant les cris des rodéos de l'Ouest ou les avis donnés par les gens du désert, plus loquaces que les ranchers du Nebraska. Ce parcours initiatique des États-Unis, en douze chapitres, constitue une autobiographie secrète, un " journal " de poète aux bottes de sept lieues. Ce texte réclame d'être dit : son titre Americadire en contient la promesse.

Americadire

Un homme au temps compté écrit à son fils. L'imaginaire de l'océan baigne ici le dur rêve américain perçu des îles de Caroline du Nord où l'aviation fut inventée.
Au cap Hatteras, «?cimetière de l'Atlantique?», le courant du Labrador affronte la puissance du Gulf Stream, comme une famille de pêcheurs (celle du héros), une lignée coloniale de Virginie.
Amours, passions et ambitions sont confrontées à la mort?: celle d'une enfant, d'une épouse et celle proche du scripteur qui interroge Augustin, la Bible, Dickinson, Nietzsche, Pessoa, Shakespeare. 
Où aboutissent ces cañons de New York (cadre d'un crime??) et ces chemins d'enfance et de mer enfin retrouvés?? Ce «?journal?», où imagination et rigueur font bon ménage, laissera-t-il en vous un sillage. lent à se dissiper??

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