Lire la Bible n'est pas réservé à une élite de spécialistes ; lire la Bible est une démarche qui engage chaque lecteur personnellement. Mais il est vrai aussi que lire ensemble est plus riche que lire seul. Lire le texte et écouter l'autre vont de pair. Ce livre ne donne donc pas "le" sens du texte, comme s'il en possédait un seul, mais il montre comment chacun, chacune peut s'ouvrir au texte biblique en lui donnant sens. Cette proposition s'accompagne d'une option très nette pour une société solidaire, dans le droit fil du message de Jésus le Royaume qu'Il ouvre rassemble les pauvres, tous ceux qui savent qu'ils ne pourront jamais s'en sortir individuellement. Le fil conducteur du livre, c'est l'histoire de la foi en un Dieu toujours aussi surprenant dans sa solidarité avec les humains, et de manière privilégiée avec les humains les plus fragilisés. Ces pages sont le fruit de multiples partages, de temps privilégiés au "bivouac", mais elles veulent aussi inviter à reprendre le chemin et à construire ensemble un monde plus juste et plus fraternel !

Bivouacs... autour d'un Dieu solidaire des humains - Occasion

Dans la Bible, près de 3 000 hommes portent un nom. Les femmes ? Moins de 200 ! Nombreuses, pourtant, sont celles qui ont influencé fondamentalement l'histoire d'Israël, de Jésus et des communautés primitives. Elles s'appellent Poua, Esther, Marie,...ou sont anonymes comme la veuve du Temple.  Ces aïeules renvoient aux femmes extraordinaires d'aujourd'hui. Couronnées de récompense ou inconnues, de nombreuses femmes audacieuses influencent notre histoire collective autant que nos histoires personnelles.

Des femmes audacieuses de la Bible

N'est-il pas devenu obsolète de parler encore de "doctrine sociale"? N'est-ce pas nostalgie mal placée que d'en vouloir revisiter les grands textes? Parler aujourd'hui de classes sociales, a fortiori de lutte des classes... n'est-ce pas tout simplement risible? Pire: vouloir y mêler la foi au Dieu de Jésus-Christ, ne serait-ce pas commencer à marcher sur un chemin sentant le souffre pour cause de blasphème? Les auteurs avaient élaboré leur texte comme autant d'interventions au cours d'une session de formation pour membres d'équipe d'aumônerie de mouvements sociaux ou proche de ces mouvements, en Belgique francophone et en Suisse romande. Les participant(e)s à cette session ont estimé important que ces textes puissent être mis à la disposition du plus grand nombre, ainsi que le questionnement qui avait soutenu la démarche. Les lectrices et lecteurs de ce livre sont dès lors sollicités à "participer" à la recherche, puisqu'ils sont invités à travailler eux-aussi les questions qui ont soutenu les différents temps de travail personnel et en ateliers auxquels les participants étaient invités avant ou après les exposés.

Enterrée, la doctrine sociale ? - Actes de la session pour membres des équipes d'aumôneries près des mouvements - Occasion

La question du pardon est à la fois urgente et prégnante, tant dans ses dimensions individuelles que collectives, entre personnes et entre continents. Celle de la reconnaissance des erreurs, errements et autres fautes également. Il ne s'agit en aucun cas de vouloir chercher dans la Bible la ou des réponses à ces questions vitales, mais de chercher à éclairer, baliser la compréhension et la recherche permanente du pardon dont nous sommes bénéficiaires et que nous sommes également invités à prodiguer tout au long de nos existences humaines.

Quand la Bible parle de pardon

Dans la Bible, près de 3 000 hommes portent un nom. Les femmes ? Moins de 200 ! Nombreuses, pourtant, sont celles qui ont influencé fondamentalement l'histoire d'Israël, de Jésus et des communautés primitives. Elles s'appellent Poua, Esther, Marie,...ou sont anonymes comme la veuve du Temple. Ces aïeules renvoient aux femmes extraordinaires d'aujourd'hui. Couronnées de récompense ou inconnues, de nombreuses femmes audacieuses influencent notre histoire collective autant que nos histoires personnelles.

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