A la claire fontaine

Agnès est maîtresse d'école, et ogresse de son état. Elle a un problème : elle ne peut s'empêcher de manger ses élèves. Plus aucun parent ne veut lui confier sa progéniture. Sa classe est vide, elle s'ennuie à mourir. Jusqu'au jour où un petit enfant se perd dans la forêt et vient toquer à sa porte. Elle le recueille. Comme il est maigre ! Elle pourrait, bien sûr, le manger tout de suite. Mais Agnès est raisonnable comme le sont les maîtresses : elle préfère l'engraisser, ainsi elle aura plus à manger. Charoux, car c'est son nom, devient son prisonnier. Avec l'aide de Séraphine la petite chouette, il essaie bien de s'enfuir, mais l'ogresse le rattrape de justesse. De tristesse, il essaie bien de dépérir, mais pour lui redonner la joie de vivre et l'envie de manger, elle le divertit avec des marionnettes. Charoux se remplume malgré lui, et le grand jour du banquet arrive. Sera-t-il dévoré ? Une relecture déjantée d'Hansel et Gretel, sous la plume hilarante de Benoît Debecker.

Agnès l'ogresse

" Pourquoi les deux jars - un blanc tacheté de noir et un noir tacheté de blanc - s'étaient-ils emparés d'un butin de confiture aussi important ? ... Grâce à une minutieuse enquête, le juge Géronte Papelard tentera d'émettre sur cette affaire un jugement des plus judicieux. "

Un jugement judicieux

Lorsqu'il était tout petit, Arthur n'en faisait qu'à sa tête.
Rien ne lui plaisait tant que de tyranniser les enfants, sécher l'école et jouer de mauvais tours aux adultes.
Avec le temps, il est devenu Arthur le Bandit, dévalisant les passants, terrifiant petits et grands. Alors Arthur vit seul et bien sûr, parfois, il s'ennuie. D'autant qu'à son époque, la télé n'existe pas et qu'Arthur, pauvre de lui, ne sait pas lire.
Un jour, après une mauvaise chute, il rencontre Marie- Rose, que rien ne déstabilise, et certainement pas les mauvaises manières d'Arthur. Puisqu'il est alité, Arthur est bien forcé d'écouter les histoires qu'elle lui raconte et, contre toute attente, il finit par y prendre goût. Il apprend à lire et à écrire et repart sur les routes pour réparer ses méfaits et répandre autour de lui les histoires qu'il a apprises.
Et voilà notre terrible bandit devenu conteur !

Arthur le bandit

Emile est un petit crocodile tout noir. Si petit qu'on le prend pour un lézard (mais un grand lézard ! ). Un jour, Emile décide d'aller voir si l'herbe est plus verte ailleurs : il émigre dans une ville immense, où l'on observe avec terreur ce petit animal à nul autre pareil. Emile n'a peur de rien. Il veut se faire des amis. Il fait un grand dîner chez lui. Personne ne vient. Il organise des promenades à dos d'âne. Personne ne monte. Il devient gardien de square. Parents et nounous refusent de lui confier leurs enfants. On se méfie de lui : trop gentil pour être honnête. On médit, on porte plainte. Il est bientôt sommé de quitter la ville. Y a-t-il un avenir, pour un petit crocodile gentil, dans le monde cruel des adultes ? Mais oui ! Au gré des péripéties et grâce à la bienveillance des enfants rencontrés sur son chemin, Emile finira par trouver une place au soleil.

Emile le crocodile

Après son album Trois Petits Tours, puis sa tournée   « Gratte-moi la Puce », où le ukulélé tenait une place de maître, Thomas Fersen revient pour nous conter la véritable histoire de ce petit instrument, cet   « avorton de guitare » comme il aime l'appeler. La véritable histoire, oui, mais à la sauce Fersen, pleine d'humour, où musique et mots se marient à merveille.  

Entre morceaux inédits et réorchestration de ses plus grands classiques, Thomas Fersen nous embarque de sa voix chaleureuse dans un récit pittoresque, facétieux et haut en couleur, comme il sait si bien faire.

Saute-la-puce

" Pépé Gaston ", alias le vieux grincheux ne s'entend pas très bien avec son fils, qui a décidé de créer un " Village-des-Horreurs " à Saint-Vincent-de-Barrès. Mais pépé Gaston tient à sa tranquillité : il recrute Tristan, son petit-fils, pour combattre à ses côtés dans la guerre qui s'annonce...

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