Tibouchina, c'est l'histoire d'une enfant de Guadeloupe.
Maltraitée par une marâtre, Tibouchina décide de se faire aider par deux de ses amis de classe pour se sauver, « maronner ». Elle part à la recherche de sa vraie mère. Un voyage initiatique à travers l'Île, de la Basse-Terre à la Grande- Terre, une quête d'identité au cours de laquelle elle découvre la tendresse de Choubouloute, l'affection de Pipilite, la générosité de ceux et celles qui vont l'aider à échapper aux gendarmes à sa recherche.
Imaginaire ? Allégorique ? Pas tout à fait. C'est, dit l'auteur, « à la fois un peu l'histoire de ma Grand-Mère et d'une de mes soeurs. » Tibouchina et tous les siens sont parmi nous, mais Tibouchina c'est aussi, selon le Père Labat, le nom de « la plus belle fleur sauvage de la forêt antillaise. » Raconté en créole et en français, réédité pour la 3e fois, Hector POULLET a obtenu pour ce conte, en 1980, le premier prix d'un concours intitulé « Des histoires pour les enfants des Antilles », concours initié par le Conseil Général de la Guadeloupe.

Tibouchina

Rainette raconte l'histoire d'une jeune sorcière et de ses deux mamans dont le quotidien va se retrouver bouleversé le jour où leur secret est découvert. Rainette n'est pas seulement une sorcière : elle a aussi la peau verte.Toutes les trois déménages alors à Edrecourt, un village presque entièrement peuplé de sorcières, afin de permettre à Rainette de grandir sans plus jamais avoir à se soucier d'avoir à se cacher.

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