Les pesticides, utilisés dans l'agriculture depuis la fin de la seconde guerre mondiale, ont maintenant fait la preuve de leur toxicité. Leurs dégâts touchent à la fois les écosystèmes, notamment l'eau, la terre et l'air, et la santé humaine, celle des plantes et des animaux. Ils ont ainsi des répercussions sur toute la chaîne alimentaire. Ils sont désormais au coeur de l'agriculture moderne, dite " conventionnelle ", qui s'appuie sur l'uniformité et nécessite un environnement artificiel. Cette omniprésence des pesticides est soutenue par une législation française et européenne qui aggrave ses effets néfastes (PAC, inscription des semences au Catalogue officiel des variétés, obstacles à la mise en oeuvre d'alternatives...). Ce guide donne des pistes pour reconsidérer le système agricole dominant, stopper la dégradation des écosystèmes, retrouver des produits agricoles et de l'élevage de qualité. Il identifie les solutions techniques permettant d'éviter ou de réduire le recours aux produits chimiques, et décline précisément les leviers réglementaires et quotidiens dont peuvent disposer élus et citoyens pour soutenir et développer d'autres démarches agricoles.

Cultivons les alternatives aux pesticides

Nous sommes toutes et tous concernés dans notre quotidien par la santé. Personne ne peut rester insensible à ce sujet majeur qui, à chaque fois que nous y sommes confrontés, nous renvoie à de complexes questions existentielles. Les progrès des sciences et des techniques nous ont permis, avec une médecine de plus en plus efficace, de mieux soigner et de mieux lutter contre les maladies. Le paradoxe est que ces mêmes progrès, accaparés par une économie sans scrupule et l’obsession de croissance, ont produit une nocivité de nos environnements et plus globalement de nos modes de vie. Le lien entre santé et environnement est établi. La France, comme la grande majorité des pays de la planète, est confrontée à une épidémie de maladies chroniques : cancers, maladies cardio-vasculaires, diabète, malades respiratoires... Les causes de ces maladies se trouvent en grande partie dans notre environnement, défini de façon large. En plus des facteurs classiques comme tabac et alcool, les données scientifiques montrent que pollutions, alimentation déséquilibrée, sédentarité, urbanisation... sont également en cause. Cet ouvrage offre un remarquable niveau d’expertise, et par la qualité de ses exemples, montre d’une façon très concrète comment se saisir de cette question en exerçant une veille permanente, en mettant en œuvre des actions modestes mais efficaces. Il indique comment peser sur les comportements, et comment modifier son regard pour trouver les solutions adaptées. André Cicolella, chimiste toxicologue, conseiller scientifique à l’Institut national de l’environnement industriel et des risques, est le porte-parole du Réseau Environnement Santé (RES). Françoise Bousson, médecin (diplômée en toxicologie), anime des formations en santé-environnement. Elle a été conseillère municipale, puis régionale. Elle est membre actif du RES depuis sa création. Le RES (Réseau Environnement Santé) regroupe des ONG (WWF, Générations futures, Fac verte, Objectif Bio, Nord Écologie Conseil...), des associations de scientifiques (Fondation Sciences Citoyennes, Association Toxicologie-Chimie), de professionnels de santé (C2DS, CNMSE), et des associations de malades (SOSMCS, HHORAGES, Fibromyalgie France) et/ou spécialisées (Non au mercure dentaire). Il agit pour mettre la question de la santé environnementale au coeur des politiques publiques. Il a contribué à fonder l’Appel de la jeunesse. Des guides pratiques pour comprendre les enjeux et agir aujourd'hui sur son territoire. Une collection coéditée avec le Centre d’Ecodéveloppement et d’Initiative Sociale (Cédis) : agréée par le Ministère de l’intérieur pour la formation, spécialiste des politiques environnementales et solidaires, l’association Cédis élabore aussi des guides pratiques pour le grand public sur des thèmes tels que la gestion des déchets, la gestion de l’eau ou la coopération décentralisée.

Notre environnement, c'est notre santé

Vers une mobilité quotidienne mieux vécue ! Ce livre est un guide pratique sur la mobilité, qui permet d’abord de la comprendre. Quelle en est la réalité actuelle ? Quels déterminants conditionnent cette réalité ? Il sera, ensuite et surtout, question d’action. D’action locale principalement, mais les décisions prises localement peuvent avoir de spectaculaires conséquences sur les flux de longue distance, de personnes comme de biens. Cet ouvrage fait témoigner en ce sens de nombreux élus et spécialistes qui s’emploient à rendre la mobilité plus écologique. Ce guide pratique assume aussi un certain parti pris : face à la situation présente, les solutions traditionnelles ne suffisent plus. On insistera donc sur la baisse de la mobilité, ou encore sur la marche et le vélo, et non seulement sur des transports collectifs invoqués trop souvent comme la principale solution à l’excès d’automobile. L’enjeu est en effet trop important pour pouvoir s’autoriser l’erreur : en développant une mobilité moins chère, moins nuisible et même agréable, il s’agit tout simplement de mieux vivre. Cet ouvrage a été rédigé par les consultants en écomobilité d’Inddigo, sous la coordination de Thomas Berthet, avec la contribution d’experts marchandises et de nombreux élus sur les thématiques dont ils sont spécialistes. Inddigo est une société de conseil et d’ingénierie en développement durable présente sur tout le territoire national. Depuis sa création il y a 25 ans, elle développe des concepts novateurs relatifs aux stratégies territoriales et d’organisation et dans les domaines de l’urbanisme, du bâtiment, de l’énergie, des déchets, de la mobilité et des transports. Totalement indépendante, elle réunit aujourd’hui près de 230 consultants, experts et collaborateurs. Des guides pratiques pour comprendre les enjeux et agir aujourd'hui sur son territoire. Une collection coéditée avec le Centre d’Ecodéveloppement et d’Initiative Sociale (Cédis) : agréée par le Ministère de l’intérieur pour la formation, spécialiste des politiques environnementales et solidaires, l’association Cédis élabore aussi des guides pratiques pour le grand public sur des thèmes tels que la gestion des déchets, la gestion de l’eau ou la coopération décentralisée.

Transports et écologie

Téléphone mobile : onde de choc !

L'écologie politique dans les conseils régionaux 1998-2004 - Comment les Verts font bouger les Régions...

La méthode EVA est une méthodologie d'évaluation externe de la qualité des EHPAD - Etablissements d'Hébergement pour les Personnes Agées Dépendantes.
EVA répond aux conditions fixées par l'annexe 1 du décret du 26 avril 1999 et s'inscrit désormais dans le cadre de l'article 15 de la Loi du 2 janvier 2002 rénovant l'action sociale et médico-sociale. EVA s'articule avec le guide d'auto-évaluation ANGELIQUE.
EVA comprend 69 rubriques qui sont évaluées collectivement par des professionnels indépendants selon 4 niveaux de qualité. Les rubriques sont regroupées en 7 titres : intégration physique de l'EHPAD, intégration sociale, qualité de vie, qualité de la prise en charge, développement de l'autonomie, politique d'ouverture de l'EHPAD, management.
EVA permet une analyse externe complète des forces et défis d'un EHPAD. EVA renforce ou atténue les résultats de l'auto-évaluation. Une proposition de stratégie de développement est proposée à l'équipe évaluée, à l'issue de la phase d'analyse de la situation.
Le résultat de l'analyse qualité peut ainsi offrir à l'EHPAD une position de négociation plus forte avec les autorités de tarification, notamment dans le cadre de la convention tripartite ou lors du renouvellement de l'autorisation de fonctionner, car pratiquée par des évaluateurs externes indépendants selon une méthodologie qui demandera au Conseil National de l'Evaluation Sociale et Médico-Sociale, dès qu'il sera constitué, sa validation comme référentiel d'évaluation externe.

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