Können Monster eigentlich Vegetarier sein? Diese Frage wird in Monsterhausen gerade sehr heftig diskutiert, denn dass man stark und gefährlich sein kann, aber kein Fleisch essen möchte, das geht nicht. Darin sind sich fast alle Monsterarten von Monsterhausen einig. Nur Erwin, ein Gruselmonster und Held des Buches, sieht das anders. Jetzt zieht er los in die Welt, um zu beweisen, dass es viele gefährliche und starke Wesen gibt, die kein Fleisch fressen. Dabei entdeckt er nicht nur neue Tiere, Kulturen und Eindrücke, sondern lernt auch die Freundschaft kennen und findet einen Weg zu sich selbst.

Die Geschichte einer langen Reise sucht die Auseinandersetzung mit unterschiedlichen Herausforderungen und Vorstellungen. In neun grundsätzlich abgeschlossenen Kapiteln wird die Geschichte einer Freundschaft, einer großen Reise, eine Auseinandersetzung mit typischen Fragestellungen der Kindheit, sowie die Neugierde und das Suchen nach Erkenntnis in der fantastischen Welt des Monsters Erwin und des Drachen Fridolin thematisiert. Ausgehend von der Frage, ob Monster überhaupt Vegetarier sein dürfen begibt sich Erwin auf die Suche nach Erkenntnis und entdeckt dabei, dass jedes Individuum einzigartig ist und seinen Fähigkeiten und Wünschen folgen, seine Stärken nutzen und zu sich stehen soll.

Erwin und Fridolin - Ich geh` meinen Weg

Pendant les premiers jours de novembre 1993, Melun, paisible préfecture de Seine-et-Marne, moitié cité-dortoir, moitié ville résidentielle, est brutalement tirée de sa torpeur par une émeute éclatant dans ses quartiers nord. Nul ne prévoyait cette flambée et les Mézereaux n'étaient pas recensés parmi les 1300 quartiers déclarés officiellement « difficiles ». Pourtant, une banale intervention de la police suffira, la rumeur aidant, à embraser une semaine durant une jeunesse délaissée, plongeant les autorités dans la perplexité et irritant les « bons Français ». Prévisibles ou non, les événements de ce type défraient de plus en plus la chronique. Heure par heure, Christian Bachmann et Nicole Le Guennec racontent cette explosion inattendue, mettent en scène les acteurs - jeunes, policiers, élus, journalistes - et tentent de comprendre pourquoi et comment, au coeur de nos villes, un quartier, un pâté de maisons, un immeuble parfois, s'enfoncent lentement dans le sous-développement. Passionnant comme un reportage, documenté comme une étude sociologique, Autopsie d'une émeute propose des clés pour comprendre et conjurer les périls qui, après les États-Unis et la Grande-Bretagne, menacent désormais le tissu urbain français.

Autopsie d'une émeute

Au lendemain de la guerre, le progrès qui semblait ne jamais devoir s'arrêter s'accompagna d'une lente mais considérable amélioration de l'habitat : à la pénurie de logements succéda la prolifération des grands ensembles ; à l'habitat collectif, la propriété individuelle. Mais la crise a stoppé cet élan au milieu des années soixante-dix. Dès lors, le nombre des " exclus " s'est élevé tandis que les classes moyennes ont décliné.
L'étude de Christian Bachmann et Nicole Le Guennec sur " la politique de la ville " retrace les combats de ces cinquante années, des squatters de 1946 aux luttes contre la rénovation des centres-villes et le mai 68 urbain, en passant par les castors de 1950, l'abbé Pierre et l'hiver 1954. Sans oublier, bien sûr, les combats actuels pour l'environnement et les émeutes des banlieues. Avec les nouveaux squatters des années 90, assistons-nous au retour à la case départ ? Sommes-nous condamnés à toujours plus de violences urbaines ? Les questions que pose ce brillant essai sont angoissantes et cruciales, le constat qu'il dresse implacable : sans une profonde réarticulation de l'action politique et sociale, nos lendemains urbains ne " chanteront " pas !

Violences Urbaines. Ascension Et Chute Des Classes Moyennes A Travers Cinquante Ans De Politique De La Ville

Pendant les premiers jours de novembre 1993, Melun, paisible préfecture de Seine-et-Marne, moitié cité-dortoir, moitié ville résidentielle, est brutalement tirée de sa torpeur par une émeute éclatant dans ses quartiers nord. Nul ne prévoyait cette flambée et les Mézereaux n'étaient pas recensés parmi les 1300 quartiers déclarés officiellement « difficiles ». Pourtant, une banale intervention de la police suffira, la rumeur aidant, à embraser une semaine durant une jeunesse délaissée, plongeant les autorités dans la perplexité et irritant les « bons Français ». Prévisibles ou non, les événements de ce type défraient de plus en plus la chronique. Heure par heure, Christian Bachmann et Nicole Le Guennec racontent cette explosion inattendue, mettent en scène les acteurs - jeunes, policiers, élus, journalistes - et tentent de comprendre pourquoi et comment, au cour de nos villes, un quartier, un pâté de maisons, un immeuble parfois, s'enfoncent lentement dans le sous-développement. Passionnant comme un reportage, documenté comme une étude sociologique, Autopsie d'une émeute propose des clés pour comprendre et conjurer les périls qui, après les États-Unis et la Grande-Bretagne, menacent désormais le tissu urbain français.

Ses oeuvres

Ses derniers livres