Le silence quasi général qui pèse sur l'introduction de l'euro est le signe d'un évident malaise. L'affaire de l'euro semblait pourtant entendue, quelques postulats tenant lieu d'argumentation : la monnaie unique, c'est l'unification de l'Europe, la prospérité économique, la baisse du chômage, la paix sociale.
Et si l'euro était, tout au contraire, un risque majeur pour notre économie ? S'il aggravait la stagnation ? S'il brisait la souveraineté de la France ? S'il compromettait la paix en Europe ? Des hommes politiques, tous partis confondus, mais aussi des universitaires et des économistes, des historiens, des journalistes, dénoncent les risques engendrés par l'euro et demandent que les Français soient consultés.
Devant une assemblée de 1200 personnes réunies le 4 février 1998 à Paris, ils ont rouvert le débat interdit. Les actes de ce colloque exposent les raisons qui au-delà du scepticisme de résignation, constituent une ultime mise en garde.

L'Euro de tous les risques - Actes du colloque de Paris, 4 février 1998

Un après-midi, après les cours, Angèle décide de suivre une grande femme blonde dans la rue. Malgré son jean et ses baskets, celle-ci ressemble à Perséphol, sa nouvelle prof de français. Mais Angèle l'entend dire à l'homme aux lunettes noires qui l'accompagne : " Et si on la supprimait ? "  Perséphol aurait-elle une double vie ?

Rue du Masque

Damien est furieux. Il va devoir supporter son stupide cousin Benjamin que sa mère a invité pour les vacances. Damien se fait toujours gronder à sa place. Cette fois, il s'invente un ordinateur très particulier qui ne se laisse pas marcher sur les pieds... Mais Benjamin n'est pas si bête et rien ne se passe comme prévu...

L'ordinateur fantôme

Christine Boutin est enfin sortie du bois. Méconnaissable. Elle nous offre un livre qui se lit comme un roman. Un livre d'une franchise massive. Une confession de ses combats et de ses erreurs. Le roman de sa vie. Elle nous raconte comment elle a réalisé le rêve de son père, un rêve en héritage que l'enfant achève souvent à la place de son parent. Le mystère élucidé d'une destinée imprévue, d'une conquête du pouvoir par amour des Français de souche ou d'adoption, une foi qui la porte à servir ses concitoyens font de la " Royal de droite " une femme authentique. Les solutions concrètes qu'elle oppose à la précarité, à l'insécurité sociale et familiale sont originales et parfaitement réalisables dès demain. Dès 2007. La championne de la droite humaine, déjà candidate en 2002, est déterminée à faire peser la primauté de l'Homme dans les débats de la présidentielle de 2007.

Je ne suis pas celle que vous croyez

La femme politique et le professeur. L'adversaire du Pacs et le père du premier " bébé-éprouvette " français. L'adepte d'une vision traditionnelle de la famille et l'homme qui, avec son équipe, ne cesse de renouveler la médecine de reproduction, sans en perdre de vue les dérives. A priori, tout les oppose. Mais dans ce dialogue constructif, Christine Boutin et René Frydman débattent des bouleversements du modèle familial, de la montée du divorce aux nouvelles techniques de procréation, en passant par les faucilles monoparentales, l'adoption ou l'homoparentalité... Autant de questions qui mettent en jeu nos destins individuels, nos aspirations intimes, mais aussi l'organisation de la société.

Les nouvelles familles

Alors que déjà en Europe, la Belgique, l'Espagne et les Pays-Bas ont inscrit le mariage gay ou le droit des homosexuels à l'adoption dans leurs lois, la France, elle, hésite encore. Pourtant, que de chemin parcouru depuis 1975, date d'un célèbre  Dossiers de l'écran  consacré à l'homosexualité. Les gays ont vu leur sexualité dépénalisée en 1982. Ils peuvent aujourd'hui bénéficier du PACS. Quant aux Français, 62 % d'entre eux approuvent le mariage gay et 51 % sont favorables à l'homoparentalité. Pourtant, 42 % pensent qu'un homosexuel devrait éviter de s'afficher avec son conjoint dans un lieu public et près d'un tiers de la population a le sentiment que les gays ont une sexualité anormale. Alors, les homosexuels font-ils encore peur ? Ne renforcent-ils pas, à leur tour, certains préjugés ? N'y a-t-il pas un lobby gay ? Autant de questions et de réponses abordées dans ce nouveau Mordicus au casting étonnant !

Les homosexuels font-ils encore peur ?

Christine Boutin refuse de laisser aux seuls spécialistes le débat bioéthique. Elle ne récuse ni la science ni la raison, bien au contraire, mais elle fait aussi appel à la générosité pour que la nation choisisse les voies qui respectent l'humanité.

L'embryon citoyen

Un autre regard sur la société - Christine Boutin avait fondé en 2001 le Forum des Républicains sociaux. Depuis son départ du gouvernement, elle en a transformé le nom en Parti chrétien-démocrate. Représentante dans l'opinion publique d'une droite sociale, elle consacre actuellement toute son énergie au développement de ce parti politique indépendant, mais associé à l'UMP. Elle a pour cela renoncé à son mandat de député. Elle ne renonce pas en revanche à faire entendre sa voix, en continuant à porter ses valeurs chrétiennes et à lutter pour que soit respectée la dignité de chacun. Ce volume veut donner la possibilité à tous de mieux connaître un petit parti qui, au sein de l'actuelle majorité présidentielle, se veut un aiguillon et même « un caillou dans la chaussure de Nicolas Sarkozy ». Au format des `` Que sais- je '', forte de quelque 50 titres, la collection « L'information citoyenne », dirigée par Claude Perrotin, présente tous les acteurs du tissu social (syndicats, groupements, assemblées...) Christine Boutin, née en 1944 à Levroux (Indre), a été députée UDF des Yvelines pendant plus de vingt ans. Candidate du Forum des républicains sociaux à l'élection présidentielle de 2002, elle recueille 1,19 % des suffrages. Présidente du Parti chrétien-démocrate, elle a été ministre du Logement et de la Ville, puis uniquement du Logement de mai 2007 à juin 2009. Le seul livre sur le marché présentant le Parti chrétien- démocrate, son histoire et ses buts Christine Boutin, une personnalité politique qui compte aux franges de l'UMP

Qu'est-ce que le Parti Chrétien-Démocrate ?

Nuit du 25 novembre 1992, Assemblée nationale Appelée à légiférer sur des projets de loi relatifs à la bioéthique, Christine BOUTIN, député des Yvelines, a lancé, haut et fort, un avertissement aux députés et, à travers eux, à tous les hommes de bonne volonté, qu'elle a conclu par l'IRRECEVABILITÉ de telles lois. Bien au-delà d'une question législative et politique, il s'agit avant tout d'un problème qui touche les valeurs essentielles s'attachant à la personne humaine. Nous sommes heureux de porter à la connaissance d'un large public ce que les médias ont cherché à occulter, tant l'enjeu est important.

Pour la defense de la vie

Notre pays traverse une crise profonde qui ébranle les quatre piliers, nécessaires au lien social, que sont : le sens de l'existence individuelle et collective ; la reconnaissance des personnes et de leur engagement social ; la simplicité des relations et des démarches institutionnelles ; l'appartenance à une communauté et un projet commun.
Pour tenter de répondre à cette crise, Christine Boutin propose un nouveau projet de société fondé sur une nouvelle répartition des richesses, l'objectif étant de revaloriser : tous les temps de la vie (et non plus le seul âge adulte, mais aussi les jeunes et les personnes âgées) ; toutes les formes d'activité (et non plus le seul salariat, mais aussi le bénévolat) ; toutes les situations de vie (et non plus les seuls valides, mais aussi tous les handicaps).
Afin que l'attention portée à autrui soit enfin reconnue comme aussi indispensable à la vie en société que les valeurs marchandes, Christine Boutin propose de mettre en place une mesure à la fois symbolique et concrète : le dividende universel, traduction monétaire de la part d'héritage en partage pour tous les citoyens, produit par les générations passées et à faire fructifier pour les générations à venir.
Christine Boutin souhaite que le débat de société suscité par une telle mesure ainsi que ses modalités d'application soit l'occasion d'un élan national que les quarante mesures réformatrices présentées dans ce rapport - au demeurant indispensables - ne sauraient engendrer à elles seules.

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