Ce livre traite de l'histoire de la ville de Rennes. 
"Si la vie des nations a certaines analogies avec celle de l'homme, l'histoire d'une ville n'en offre pas de moins frappantes, et l'on peut tracer sa biographie comme celle d'un être collectif qui parcourt les diverses phases de l'existence humaine dans toutes leurs vicissitudes, depuis la naissance jusqu'à la mort. Combien de cités en effet ont atteint ce dernier période et attestent, par leurs débris encore épars sur le sol, quelle fut la puissance de leur âge mûr ! La Bretagne nous en offrirait plus d'un exemple. Rennes, dont l'origine touche à l'existence de ces cités antiques, a survécu à ses illustres contemporaines; mais nul ne peut compter les jours que lui réserve la Providence dans l'écoulement des siècles. C'est à nous, ses enfants, d'étudier avec un soin pieux cette longue série des années de l'aïeule, d'interroger ses souvenirs, de suivre dans leur développement séculaire les causes de sa prospérité bu de ses souffrances, et de féconder les enseignements qui en résultent pour le bonheur de son avenir. L'étude du passé est l'un des guides les plus sûrs qui puissent nous y conduire."

Histoire de la ville de Rennes

Ce livre retrace l'histoire de Thomas Jefferson, le troisième président des Etats-Unis d'Amérique. 

Thomas Jefferson devint président en 1801 après quatre années de présidence de John Adams. Jefferson a toujours gardé une foi sublime dans la nature humaine et dans la justice des principes républicains. "Ma conviction, disait-il, c'est que si les choses tournent mal à tout moment, le peuple les rétablira par l'exercice pacifique de son droit d'électeur." Qualifié d'honnête dans sa vie publique, aimable dans sa vie domestique, il mourut, comme il a vécu, tolérant, et croyant dans la grandeur et la beauté de la nature humaine.

Thomas Jefferson - Histoire du troisième président des États-Unis d’Amérique

Diogène de Sinope, surnommé le Cynique, est le plus célèbre philosophe de l'école cynique dont les disciples critiquaient toutes les convenances sociales. 

Diogène se moquait de la noblesse et de la gloire qu'il appelait des ornements du vice. Se définissant lui-même comme citoyen du monde, il possédait au suprême degré le talent de la persuasion, de sorte qu'il gagnait aisément, par ses discours, tous ses interlocuteurs.

Alexandre s'étant un jour présenté devant lui, et lui ayant dit : 'Je suis le grand monarque Alexandre' ; il lui répondit 'Et moi, je suis Diogène le chien'. Quelqu'un lui demanda ce qu'il avait fait pour être appelé chien ; à quoi il répondit : 'C'est que je caresse ceux qui me donnent quelque chose, que j'aboie après d'autres qui ne me donnent rien, et que je mords les méchants'. 

Il soutenait le principe que rien de tout ce qui concerne la vie ne se fait bien sans exercice, et que par ce moyen on peut venir à bout de tout. Il concluait de là que si, renonçant aux travaux inutiles, on s'applique à ceux qui sont selon la nature, on vivra heureusement.

La vie de Diogène - ou la philosophie du Cynisme

L'histoire du Brésil et des Etats-Unis offre une saisissante analogie malgré le contraste très important que les institutions du Brésil et la population latine forment avec l'organisation républicaine et les citoyens anglo-saxons des États-Unis. Considérablement inférieurs à la nation américaine par le nombre, la richesse et surtout l'industrie, les Brésiliens n'en passent pas moins par des évolutions parallèles à celles du grand peuple de l'Amérique du Nord. Dans les deux contrées, le blanc s'est d'abord trouvé en contact avec l'indigène, et, pour pénétrer dans l'intérieur, il l'a poussé cruellement devant lui. Au Brésil comme aux États-Unis, il s'est fait suivre par l'esclave noir pour lui faire défricher le sol ; dans le continent du sud, comme dans celui du nord, s'est formée une aristocratie de planteurs dont le pouvoir repose sur le monopole d'un petit nombre de denrées, et, sous la pression des mêmes causes, la féodalité brésilienne peut avoir à subir les redoutables conséquences subies par la confédération esclavagiste.

Ce sont là des faits qui donnent un intérêt tout spécial à l'histoire du Brésil et de sa colonisation.

Le Brésil et sa Colonisation

Lorsqu'un peuple aspire à des réformes, l'attention se porte généralement sur les institutions judiciaires. On n'en sera point surpris : c'est par la justice que doivent commencer les améliorations dans l'ordre politique et social, parce qu'elle est le premier et le plus puissant instrument de la liberté. Ce livre traite de l'histoire et des origines de la magistrature en France. « Dans les tribus de la Germanie, on le sait, le droit de juger appartenait à tous les hommes libres ; il leur fut maintenu dans la Gaule, et ils continuèrent de l'exercer dans des assises connues sous le nom de mallum, placitum, conventus, mais, en se fixant sur le sol qu'ils avaient conquis, les Francs se trouvèrent engrenés dans les rouages de cette puissante machine qu'on appelle l'administration romaine. A côté du jury des hommes libres, ils placèrent des officiers dont les fonctions répondaient assez exactement à celles des présidents de nos tribunaux, et qui étaient particulièrement chargés de faire obtenir, par les voies légales, à l'offensé ou à ses proches, les dommages et intérêts qu'ils auraient voulu se procurer par la force »

Des origines de la magistrature française

This book deals with the story of the Maya : their Civilization, Customs and Legends. 
The ancient Maya emerged probably during the first or second century of the Christian Era. In general it may be said that the Maya culture occupied the peninsula of Yucatan, portions of the states of Tabasco and Chiapas in Mexico, Guatemala, and the northern part of Honduras. That branch of the Mayas who called themselves the Itzas occupied the southern portion of Yucatan and the greater part, of what is now the Department of Peten in Guatemala.

The Maya : Civilization, Customs and Superstitions

This book deals with the history of Centenarians and Lessons from their Habits. 
"... as has been well said, "the harmonious development of the many-sided aspects of man is conducive to health and the prolongation of life, " and that there need be no fear of entering heartily and actively, and with full interest and energy, into the assigned work of life, physical or mental. The body is made, not for ease and sloth, but for labor and play, for work and enjoyment, better still for enjoyment of work. Work, enjoyed as it should be, promotes health in body, and especially if stimulated by other motives than personal ambition and gain, engenders that cheerful, placid frame of mind which is one of the adjuncts of centenarianism..."

History of Centenarians and Lessons from their Habits

Alaska is the largest state of the United States of America; occupying the extreme northwestern part of North America and the adjacent islands. In the dialect of the natives first encountered by the Russian explorers, the peninsula was called Al-áy-es-ka, the name having become changed through Alaksa and Alashka to its present form, from which last is derived the general territorial designation Alaska, which Dall asserts to be an English corruption never used by the Russians... 
The first definite knowledge of Alaska was acquired in 1741 through the expedition under Vitus Bering, a Danish in the Russian service, who, in that year, sailed from Okhoysk as far as 58° 30' N. latitude. In 1762 Andreian Tolstykh, after a sojourn of three years in these regions, returned to Russia, and on his representation of the commercial importance of Alaska Catherine II sent an expedition to foster trade and colonization. Rival companies began to dispute the territory, but in 1780, two traders, Grigor Shilikof and Ivan Golikof, relying on home influence, chiefly that of Rezanof, Chamberlain to the Emperor, formed the Russian-American Fur company, the history of which is the history of Muscovite domination of Alaska from 1780 until the sale of the territory to the united States in 1867...

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