Une histoire de la célèbre statue de la Vénus de Milo par le Prince Constantin Mourousy, dont l'un des ancêtres a participé à sa découverte. Un ouvrage préfacé par Jean-Luc Martinez, actuel président-directeur du musée du Louvre.
Sa beauté n'a d'égale que son mystère. La Vénus de Milo est, avec la Joconde, une des oeuvres majeures du musée du Louvre. Elle fut sculptée dans le marbre par une main inconnue à l'apogée de la période hellénistique (IIe siècle avant J.-C.) et aurait été privée de ses bras lors d'un combat naval digne des meilleurs récits d'aventures.
Ce livre raconte une épopée. Une traversée des mers qui conduisit le chef-d'oeuvre de l'île de Milo jusqu'à la France, au moment où la nation grecque allait s'arracher au joug ottoman, en 1820.
Bouleversant le destin de ceux qui ont assisté à sa décou- verte, la Vénus en fera passer certains à la postérité, tandis que d'autres périront en martyrs. Autour d'elle, ils sont une dizaine à croiser le fer: un pâtre grec, le vice-consul de France à Milo, un élève officier de marine, le célèbre enseigne de vaisseau Dumont d'Urville, l'ambassadeur de France à Constantinople et le grand drogman de l'Arsenal, ancêtre de l'auteur.

L'énigme de la Vénus de Milo

Sa beauté n'a d'égale que son mystère. La Vénus de Milo est, avec la Joconde, une des oeuvres majeures du musée du Louvre. Elle fut sculptée dans le marbre par une main inconnue à l'apogée de la période hellénistique (IIe siècle avant J-C) et aurait été privée de ses bras lors d'un combat naval digne des meilleurs récits d'aventures.Ce livre raconte une épopée. Une traversée des mers qui conduisit le chef-d'oeuvre de l'île de Milo jusqu'à la France, au moment où la nation grecque allait s'arracher au joug ottoman, en 1820.Bouleversant, le destin de ceux qui ont assisté à sa découverte, la Vénus en fera passer certains à la postérité, tandis que d'autres périront en martyrs. Autour d'elle, ils sont une dizaine à croiser le fer : un pâtre grec, le vice-consul de France à Milo, un élève officier de marine, le célèbre enseigne de vaisseau Dumont d'Urville, l'ambassadeur de France à Constantinople et le grand drogman de l'Arsenal, ancêtre de l'auteur.

Au IIe siècle de notre ère, le célèbre apologiste Saint Justin donna - à la pensée chrétienne - un élan qui suscite toujours en nos cours de vives résonances : c'est par lui, en effet, que se fit la rencontre entre l'âme platonicienne et l'âme chrétienne, entre la philosophie grecque - elle-même héritière des sages de l'Antiquité - et la foi au Christ. Le livre « Tout est dans Un » se place dans cette ligne du néo-platonisme, où confluent la religion et la philosophie. En partant d'une symbolique personnelle de la Croix, l'auteur dresse un exposé - étonnant par sa hardiesse et sa clarté - de l'univers, du genre humain, de la personne et de la société. Il s'agit d'un texte très suggestif, à première vue peut-être déroutant pour certains esprits rationalistes, mais toujours profondément médité et senti ; ou encore d'un texte apparemment très neuf par les problèmes scientifiques qu'il aborde, et cependant très traditionnel par la référence constante à la Bible et aux Pères de l'Église. Les révélations intérieures qui en découlent, forcent l'estime et tout prête à croire que le lecteur, s'il ne refuse pas d'entrer dans la symbolique inhérente à ce livre, s'y projettera avec ses propres préoccupations et ses axes de recherche, ou encore trouvera de lui-même de nouveaux thèmes de méditation. L'important est la vision totale du monde qui s'en dégage - elle est l'ordonnance d'une vie, l'empreinte de la foi qui le conduit, et son chemin de sérénité qui ne le quitte jamais. « Restez avec nous, Seigneur, car voici le soir. »

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