Que font les navigateurs solitaires en course ? A quoi pensent-ils ? Comment vivent-ils ? Comment parviennent-ils à surmonter leur isolement, leurs découragements, leurs fatigues et leurs souffrances ? Le livre de Daniel Gilard répond à toutes ces questions. Petit Dauphin, c'est en effet le nom du minuscule bateau sur lequel il a remporté, voici quelques mois, une course en solitaire qu'on avait surnommée la Mini Transat parce qu'elle était réservée aux voiliers de 6, 50 m. Une épreuve dangereuse disputée en deux parties, Penzance-Santa Cruz et Santa Cruz-English Harbour, le port de plaisance d'Antigua, une île des Caraïbes.

Petit Dauphin sur la peau du diable

De nombreux lecteurs "voileux" attendent la réédition de ce livre, publié par Julliard en 1979. En 1979, Daniel Gilard entre dans la légende de la course au large comme premier vainqueur d'une course révolutionnaire : la Mini-Transat, course transatlantique en solitaire, réservée à des bateaux de 6,50 m. Jugée beaucoup trop dangereuse pour des voiliers de cette taille, la Mini-Transat déclenche polémiques et débats, avant de se révéler au fil des ans comme l'une des épreuves phares de la course au large.

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