De la grippe aviaire au Covid-19. Anthrax, chikungunya, Ebola, grippes aviaires, H1N1, Zika, SARS-coronavirus, MERS-coronavirus. Pour toutes ces épidémies, on a prédit des millions de morts : il n'en a rien été. Qu'en sera-t-il du nouveau coronavirus qui provoque une panique mondiale ?Nous avons affaire à des événements que la science elle-même peine à expliquer, telles la transmission accélérée des épidémies à leur début, leur variation saisonnière et. leur disparition spontanée sans raison apparente. Dans ces conditions, brandir chaque jour le nombre de nouveaux cas et de morts comme un épouvantail ne sert -il qu'à provoquer des réactions disproportionnées par rapport aux risques réels ?Microbiologiste mondialement connu qui dirige le plus grand centre français consacré aux maladies infectieuses (IHU de Méditerranée), le Pr Didier Raoult nous invite à garder raison.

Epidémies - Vrais dangers et fausses alertes. De la grippe aviaire au Covid-19

De la grippe aviaire au Covid-19       ,       Anthrax, chikungunya, Ebola, grippes aviaires, H1N1, Zika, SARS-coronavirus, MERS- coronavirus... Pour toutes ces épidémies, on a prédit des millions de morts : il n'en a rien été. Qu'en sera-t-il du coronavirus chinois qui provoque une panique mondiale ? Cet affolement provient en grande partie des exagérations de la presse, qui sait que la peur  fait vendre . Mais que nos gestionnaires - les politiques - surfent à leur tour sur le pire, peut être lourd de conséquences. Nous avons affaire à des événements que la science elle-même peine à expliquer, telles la transmission accélérée des épidémies à leur début, leur variation saisonnière et... leur disparition spontanée sans raison apparente. Dans ces conditions, brandir chaque jour le nombre de nouveaux cas et de morts comme un épouvantail, ne sert qu'à provoquer des réactions disproportionnées par rapport aux risques réels qui, eux, ne peuvent qu'être négligés dans le même temps.

épidémies : vrais dangers et fausses alertes

À l'heure où l'information est malmenée plus que jamais, où des opinions plus ou moins fantaisistes s'affrontent dans des débats contradictoires qui achèvent d'égarer le public, un regard scientifique ne peut que nous éclairer. C'est pourquoi le Pr Raoult a regroupé dans cet ouvrage un certain nombre de ses rubriques. Son objectif : donner aux lecteurs des informations dûment contrôlées sur la santé en général, l'état de la médecine et de la recherche, et faire le point sur les grandes peurs entretenues concernant aussi bien les épidémies que les drames écologiques ou sociétaux. 

Vous trouverez dans cet ouvrage des mises au point édifiantes sur :

- les craintes propagées à tort sur certaines bactéries prétendument résistantes ou sur divers virus, et en revanche les vrais problèmes négligés (retour du paludisme, recrudescence du sida, obésité, etc.) ; 

- l'état de la recherche, les grands espoirs (cancer par exemple), les nombreux remèdes à notre portée ;

- les faux cadeaux de la grande distribution qui mettent en péril notre alimentation ;

- les réformes urgentes que réclame l'hôpital public ; 

- une mise en garde sur la hantise du terrorisme ;

- les dangers d'un racisme-réaction et les attitudes à éviter pour réussir un « vivre ensemble » inévitable. Sans compter une défiance persistante à l'égard des homosexuels et une lutte insidieuse contre les femmes appelées à prendre le pouvoir ! 

Un livre lucide mais mesuré, qui au final propage un optimisme raisonnable et apaise le stress ambiant, la peur étant assurément la plus grande maladie du siècle.

Mieux vaut guérir que prédire - Santé, société, vivre ensemble

Épidémies : vrais dangers et fausses alertes

Alors que les scientifiques se mobilisaient pour trouver les sources des variants - parfois animales comme les élevages de visons -, que les pompiers localisaient les foyers d'infection en détectant le virus dans les égouts, on jouait en haut lieu avec des mesures sociales contradictoires... Pendant que l'on condamnait l'usage de la chloroquine, médicament séculaire efficace et sans danger, on permettait la vente pour plus d'un milliard d'euros de remdesivir, non dénué de risques, et dont l'OMS a fini par dire qu'il ne servait à rien. Le Pr Raoult, ayant protesté contre le plan massif de disparition des vieilles molécules pas chères et qui ont fait leurs preuves, est devenu la cible de diffamations, insultes et persécutions, voire menaces de mort. Et dans le même temps, parce que les politiques veulent gérer la santé et méprisent nos élites qui partent à l'étranger, la recherche scientifique française, naguère une des premières du monde, a fait une chute vertigineuse.

Carnets de guerre COVID 19 - Volume 2

Ce livre explique les mécanismes d'apparition des nouvelles maladies infectieuses. Ce sujet concerne les infections hospitalières, le SIDA, les hépatites, les fièvres hémorragiques mais aussi la guerre bactériologique et la résistance aux antibiotiques. Car les microbes sont un élément actif, évolutif de notre écosystème dont les changements nous exposent à des risques nouveaux. La vigilance et la recherche dans ce domaine permettent seuls un contrôle du rique, qui ne peut disparaître mais qui, en plus, s'accentue dans toutes les circonstances de dégradation sociale (guerre, crise économique ...).

Les nouvelles maladies infectieuses

" Il me paraît indispensable que le public soit judicieusement renseigné sur les questions importantes qui concernent sa santé. La santé - physique et morale - est un bien précieux avec lequel on ne doit pas jouer sous prétexte de faire du scoop ou du chiffre, que ce soit dans les médias ou sur les réseaux sociaux. " Dans ce recueil de ses chroniques parues dans le journal Le Point, le professeur Didier Raoult s'exprime sur des sujets de santé et de société, qui nous intéressent tous. Basé sur des faits avérés, ce livre, loin d'être anxiogène, nous montre que tout ne va pas si mal !

Mieux vaut guérir que prédire - Santé, société, vivre ensemble - Occasion

Découvrez l'avant-propos de l'ouvrage du professeur RaoultAnthrax, chikungunya, Ebola, grippes aviaires, H1N1, Zika, SARS-coronavirus, MERS- coronavirus... Pour toutes ces épidémies, on a prédit des millions de morts : il n'en a rien été.
 Qu'en sera-t-il du coronavirus chinois qui provoque une panique mondiale ?
 Cet affolement provient en grande partie des exagérations de la presse, qui sait que la peur " fait vendre ". Mais que nos gestionnaires - les politiques - surfent à leur tour sur le pire peut être lourd de conséquences. Nous avons affaire à des événements que la science elle-même peine à expliquer, telles la transmission accélérée des épidémies à leur début, leur variation saisonnière et... leur disparition spontanée sans raison apparente. Dans ces conditions, brandir chaque jour le nombre de nouveaux cas et de morts comme un épouvantail ne sert qu'à provoquer des réactions disproportionnées par rapport aux risques réels qui, eux, ne peuvent qu'être négligés dans le même temps.

Epidémies : Vrais dangers et fausses alertes - Extrait gratuit

Une partie de l'ADN humain est constituée de vestiges de gènes transmis par des virus. Le monde du vivant est une immense orgie collective, et l'homme, une chimère génétique.

Les microbes sont partout : sur nos mains, dans nos veines... et jusque dans nos gènes. Cette découverte renverse les certitudes érigées par le darwinisme.

Virus et bactéries sont nos très nombreux (et parfois encombrants) locataires, entre lesquels les interactions (et les luttes fratricides) sont constantes. Les êtres vivants échangent des gènes par la reproduction, mais aussi en les combinant avec ceux des virus et des bactéries. Aujourd'hui, on sait qu'une partie de l'ADN humain est constituée de vestiges de gènes transmis par des virus. Le monde du vivant est une immense orgie collective, et l'homme, une chimère génétique.

Ces micro-organismes sont aussi nos voisins, copropriétaires de la planète : quand nous modifions nos écosystèmes, nous ouvrons la porte à de nouveaux virus et bactéries, pas toujours amicaux. Nos modes de vie - la mondialisation en tête - peuvent déclencher des guerres de voisinage meurtrières, dont le nom nous fait frémir : les épidémies. Cette peur, héritée des ravages de la peste au Moyen-Âge, puis réveillée ces dernières années par le SRAS, Ebola, H1N1 et le Covid-19, n'a rien d'un fantasme. Le monde microscopique, mouvant et imprévisible, nous réserve bien des surprises ! C'est cet univers de l'invisible, qui nous entoure et vit en nous, que le professeur Didier Raoult nous propose de découvrir.

Dépasser Darwin - L'évolution comme vous ne l'aviez jamais imaginée

À l'heure où l'information est malmenée plus que jamais, où des opinions plus ou moins fantaisistes s'affrontent dans des débats contradictoires qui achèvent d'égarer le public, un regard scientifique ne peut que nous éclairer. C'est pourquoi le Pr Raoult a regroupé dans cet ouvrage un certain nombre de ses rubriques. Son objectif : donner aux lecteurs des informations dûment contrôlées sur la santé en général, l'état de la médecine et de la recherche, et faire le point sur les grandes peurs entretenues concernant aussi bien les épidémies que les drames écologiques ou sociétaux. Vous trouverez dans cet ouvrage des mises au point édifiantes sur : - les craintes propagées à tort sur certaines bactéries prétendument résistantes ou sur divers virus, et en revanche les vrais problèmes négligés (retour du paludisme, recrudescence du sida, obésité, etc.) ; - l'état de la recherche, les grands espoirs (cancer par exemple), les nombreux remèdes à notre portée ; - les faux cadeaux de la grande distribution qui mettent en péril notre alimentation ; - les réformes urgentes que réclame l'hôpital public ; - une mise en garde sur la hantise du terrorisme ; - les dangers d'un racisme-réaction et les attitudes à éviter pour réussir un " vivre ensemble " inévitable. Sans compter une défiance persistante à l'égard des homosexuels et une lutte insidieuse contre les femmes appelées à prendre le pouvoir ! Un livre lucide mais mesuré, qui au final propage un optimisme raisonnable et apaise le stress ambiant, la peur étant assurément la plus grande maladie du siècle.

Mieux vaut guérir que prédire

Arrêtons d'avoir peur !

Ce livre rapporte d’une manière standardisée des réflexions sur la discordance de plus en plus grande entre le monde physico-chimique d’une part, et le monde digital, d’autre part. Cette déconnexion, qui traduit à la fois la perte des repères d’information habituels et leur dévoiement, emmène à un éloignement de plus en plus important de différentes formes de réalité. Cette évolution avait été prédite dans plusieurs livres de science-fiction et anticipée par Baudrillard il y a plus de quarante ans. Enfin, l’addiction aux écrans, qui fait que beaucoup d’humains à la surface de la terre passent plus de la moitié de leur temps éveillé à consulter toute forme d’écran et à vivre dans le monde digital, ceci va probablement amener à avoir des humains d’une nature différente, avec des activités différentes, interagissant de moins en moins dans le monde physico-chimique et interindividuel.

La Révolution digitale de l’Homme : vers une nouvelle espèce

Les microbes. Tout petit, nous avons appris à nous en méfier : " Ne touche pas à ça, c'est plein de microbes ! " ; " Mets ta main devant la bouche quand tu tousses, tu vas me repasser tes microbes ! ". Ces mesures d'hygiène sont effectivement utiles mais, en un sens, l'ennemi est déjà dans la place. Virus et bactéries, ils sont des millions à vivre en nous et autour de nous. Interagissant sans cesse avec notre système et notre environnement, ils jouent un rôle déterminant. Ils sont nos voisins et locataires, très nombreux et parfois encombrants, mais toujours discrets. Qui se doute que les probiotiques, ces bactéries très à la mode, pourraient jouer un rôle dans l'obésité ? Qui a conscience que c'est la modification de nos écosystèmes qui provoque les épidémies, ces guerres de voisinage avec les microbes, copropriétaires de la planète ? H1N1 a réveillé la grande peur des épidémies. Tôt ou tard, nous y serons de nouveau confrontés. Le monde microscopique, mouvant et imprévisible, nous réserve bien des surprises. Menaçants les microbes ? Ils sont pourtant également nos cousins : une partie de nos gènes vient directement des virus et des bactéries. A travers notre environnement, notre alimentation, etc., les bactéries, en contact permanent avec nous, modifieraient notre génome. Grâce à ces interactions, l'espèce humaine a pu s'adapter à son milieu et continuer à évoluer. Nos certitudes sur l'évolution, héritées d'un Darwinisme trop souvent érigé en dogme, sont mises à mal par cette découverte récente. La stricte séparation des espèces semble désormais révolue.

Dépasser Darwin

Les microbes sont des éléments actifs et évolutifs de notre écosystème, dont les changements nous exposent à des risques nouveaux. La vigilance et la recherche dans ce domaine permettent seuls un contrôle du risque qui, de plus, s’accentue dans toutes les circonstances de dégradation sociale.

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