Dal Premio Andersen Fabrizio Silei, un romanzo in equilibrio tra realtà e finzione, tra verità e menzogna. Katia ha quattordici anni e vive con la madre, il padre se ne è andato anni prima lasciandole sole. Le due conducono un'esistenza precaria. Nel corso dell'ennesimo viaggio di trasferimento da una città all'altra incontrano Vincenzo, un bell'uomo giovane e simpatico che viaggia con un vistoso SUV nero e parla di non ben definiti "affari". Vincenzo corteggia la mamma e si conquista la simpatia di Katia. Ma fin da subito si rivela essere un truffatore che le coinvolge nei suoi raggiri convincendole del fatto che in fondo si tratti di azioni giustificate: il mondo è falsità e cattiveria e le vittime delle truffe cadono nell'inganno spinte dalla loro stessa avidità. Di volta in volta gli scrupoli di Katia e della mamma vengono vinti dalla capacità persuasiva di Vincenzo. E se il dubbio persiste, il desiderio di un po' di stabilità e di qualcuno che si occupi di loro ha infine la meglio. Poi Vincenzo propone loro l'ultima grande truffa, quella che li sistemerà per sempre. Il meccanismo inesorabile prende il via, ma per Katia è sempre più difficile tenere a bada i rimorsi e condurre una doppia esistenza.

Katia viaggia leggera

Mais où est passé Django? Tous les soirs, c'est la même chose:ce joueur de banjo d'à peine 18 ans est insaisissable. Pourtant, le tout- Paris des années folles l'attend! Alors que le jeune prodige va signer son premier gros contrat, c'est le drame:sa roulotte brûle et ses espoirs avec. Il ne pourra plus jamais pincer les cordes trop dures du banjo... C'est là qu'un personnage inattendu entre en scène:une guitare, celle qui va changer sa vie et l'histoire du jazz, cadeau de son frère sur son lit d'hôpital. Elle nous raconte elle-même l'incroyable renaissance du génie...

La guitare de Django

Detroit, le musée des Transports. Assis dans un vieux bus, un vieil homme noir raconte à son petit-fils la ségrégation raciale dans l'Amérique de sa jeunesse : à l'école, dans les bars, dans le bus. Il lui raconte aussi comment, le 1er décembre 1955, une femme, Rosa Parks, refusa de céder sa place dans le bus à un Blanc, lançant le mouvement pour les droits civiques des Noirs aux États-Unis.
Une histoire que le grand-père connaît bien :
Il se trouvait lui aussi dans le bus, ce jour-là.
Assis à côté de Rosa.
Mais il n'a pas eu son courage.

Le bus de Rosa

Assise dans le bus, Rosa ne bougeait pas. Le conducteur a crié de nouveau : "Les Noirs doivent se lever pour laisser la place aux Blancs. Toi là-bas, lève-toi et laisse ta place au monsieur !"

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