J’ai tué Freud et il m’en veut encore nous entraîne dans un monde peu exploité en littérature : le viol de la confidentialité. Meryl Maillet est un psychiatre qui, une fois installé confortablement chez lui, raconte à sa conjointe, tel un téléroman, ses entretiens avec ses patients : le joueur de hockey manchot, l’avocat travesti, le vieillard qui pleure encore la mort de sa maman et tant d’autres. Jasmine, la parfumée, répète dans les moindres détails, sans en révéler la provenance, le contenu de ces rencontres à six apprenties écrivaines qui fréquentent son atelier d’écriture au sous-sol de l’église Saint-Pierre-du-Calvaire à tous les vendredis après-midi. L’une d’entre elles réussit à publier un roman témoignant de toutes les particularités de la vie d’une patiente du docteur Maillet qui est très connue du public. L’auteure relate, dans son roman, un sordide détail que Victoria Simonneau n’a confié qu’à son thérapeute. Nous voilà tombés entre les crocs d’un monstre ravageur. Francine Allard Auteure du best seller La Couturière (Trois-Pistoles, 2008), Francine Allard est une excellente conteuse, une écrivaine sensible et son originalité n’est plus un secret pour personne. C’est son premier livre publié chez l’éditeur Marcel Broquet.

J'ai tué Freud et il m'en veut encore

Vivre avec une petite soeur atteinte d'une paralysie cérébrale sévère n'est pas une sinécure pour une adolescente pleine de projets d'avenir. Marie-Soleil a seize ans et elle refuse de devoir s'occuper de Julia alors que la vie s'ouvre devant elle. Quant à sa mère, abandonnée par son mari après la naissance de Julia, elle est envoûtée par la désormais célèbre histoire de Robert Latimer qui a lui-même mis fin aux souffrances de sa fille Tracy, atteinte, elle aussi, de paralysie cérébrale. Marie-Soleil n'a nullement l'intention de délaisser sa petite soeur. Ainsi, ira-t-elle retrouver son père à Tofino, en Colombie-britannique. Habituée à nous offrir des oeuvres sur des thèmes rarement abordés, Francine Allard nous livre ici un roman d'une grande sensibilité mettant en scène des personnages profonds et vrais. Son amour de la mer, son séjour en Colombie-Britannique et son attachement aux enfants malades forgent la trame d'un de ses meilleurs romans.

Une fleur entre deux pierres

Finement raconté par Francine Allard qui a l'habitude de nous étonner, J'ai tué Freud et il m'en veut encore nous entraîne dans un monde peu exploité en littérature : le viol de la confidentialité. Meryl Maillet est un psychiatre qui, une fois installé confortablement chez lui, raconte à sa conjointe, tel un téléroman, ses entretiens avec ses patients : le joueur de hockey manchot, l'avocat travesti, le vieillard qui pleure encore la mort de sa maman et tant d'autres. Jasmine, la parfumée,répète dans les moindres détails, sans en révéler la provenance, le contenu de ces rencontres à six apprenties écrivaines qui fréquentent son atelier d'écriture au sous-sol de l'église Saint-Pierre-du-Calvaire à tous les vendredis après-midi. L'une d'entre elles réussit à publier un roman témoignant de toutes les particularités de la vie d'une patiente du docteur Maillet qui est très connue du public. L'auteure relate, dans son roman, un sordide détail que Victoria Simonneau n'a confié qu'à son thérapeute. Nous voilà tombés entre les crocs d'un monstre ravageur.

Accessibles pour la plupart dès 3 ans, pour l'un d'entre eux dès 18 mois (« Le moustique »), les poèmes sont à savourer à chaque instant de tendresse et de connivence que procure la vie avec un enfant. Un panel de petits bonheurs qui séduira jusqu'à 6 ans environ.
Martin Léon aborde la narration de ces très courts poèmes (de 0:36 à 1:52) en plongeant son auditoire dans une ambiance jazz où le vieux crin crin d'un gramophone rythme d'une cadence nostalgique les mélodies du piano. Les introductions musicales permettent de se plonger dans l'univers graphique de Josée Bisaillon. On y découvre des trésors cachés par l'artiste avant que la magie des mots ne nous emporte un peu plus loin dans l'imaginaire de Francine Allard incarné par la voix de Martin Léon.

Cabrioles et ritournelles

le desespoir de mathieu

Mon royaume pour un biscuit

Cet essai tente de dédramatiser les situations les plus loufoques qui touchent les toutounes et les toutounets dans une société fabriquée pour les personnes minces. On y lira des portraits de toutounes et on se moquera de ces « petits cotons secs qui gèlent à rien et de ces insatiables grouillons» qui se font mourir à grimper les montagnes et à courir sur les pistes cyclables.

Défense et Illustration de la Toutoune Québécoise

Couturiere T1  Les Aiguilles Du Temps

Estelle, la veuve d'un médecin de famille, passe de nombreuses heures à observer ses voisins tout en les mêlant à ses souvenirs. Celui de droite lui semble être un représentant du diable, tandis que ceux de la maison d'en face se succèdent à une vitesse étonnante et éveillent tous les soupçons. Estelle et son amie Marguerite créent des scénarios ingénieux qui donnent à chacun des voisins un rôle des plus tordus. Puis, elles comprennent que tous ces voisins appartiennent à un même ensemble. Qui sont-ils? Quand cesseront-ils de briser la quiétude du rang Sept? Une étrange Autochtone survient un jour dans la vie d'Estelle en apportant à l'écornifleuse sympathique du village de Saint-Pierre, une réponse qu'elle n'est pas prête à entendre. « Y' a une limite à ne pas se mêler de ce qui ne nous regarde pas! Les écornifleuses, au final, sont un bien précieux pour la société actuelle. Avec tous ces gens qui travaillent à l'extérieur, alors que les maisons sont abandonnées toute la journée, les vieilles comme moi qui observent devraient recevoir une allocation de la police, quand j'y pense. »

La maison d'en face

Mémère Poussière est une rebelle. Pour oublier la mort de son vieux Marcel, elle se réfugie aux États-Unis sans donner de nouvelles à sa famille. Lorsqu'elle sort enfin de son mutisme et regagne son petit logement de la rue Millette, Ernest, sa sueur Caroline et ses parents sont estomaqués : Mémère Poussière a rencontré tout plein d'amis sur Internet, et se met à agir d'une bien drôle de façon. Un roman des plus branchés !

Mémère Poussière et M. Bardoux

Au sommaire du quatorzième numéro de la revue Entrevous retrouvez : des poèmes centons surréalistes, créer par amalgame d'extraits de textes publiés par la Société littéraire?; six créations qui explorent le thème «?Ça va aller autrement?»?; neuf nouvelles bandes dessinées en trois images par l'illustrateur Patrice Reytier et le poète philosophe Kenneth White?; Yvon Roy qui écrit et dessine des romans graphiques autobiographiques et Diane Landry qui transforme ses journaux intimes et autres souvenirs de son enfance à Laval en ouvre ludique et littéraire. Aussi, Julie Grimard va au théâtre, revisite l'ouvre et la vie de Gabrielle Roy et les lieux qui l'ont connue et Monique Pagé fait du tourisme culturel au Chili, se questionne et interroge les passants au sujet de l'immense Pablo Neruda. Pour conclure, Marie Anne Arragon et ses trois enfants commentent le spectacle de marionnettes Histoire de Pi, adapté du roman de Yann Martel, et Félix-Antoine Allard retourne aux sources de la légende viking racontée et mise en scène par Renée Robitaille.

Entrevous. No. 14,  2020

Valerien le peite ogre vegetarien

A la mort accidentelle de sa mère, Jean-François Lussier, quatre ans, a été confié à sa grosse grand-mère paternelle. Il a maintenant 17 ans et il n'a jamais revu son père. Avec sa copine Valérie (qu'il adore), il se met en quête d'indices et de gens pour le retracer. Il serait à Palm Beach. Jean-François réussit à se procurer l'argent pour s'y rendre. Il le trouve facilement, même sans adresse. Dans un premier temps, il découvre en lui un homme en fauteuil roulant, dans un deuxième, un terrible trafiquant de «dope», un «parrain» sans merci. Il se sauve et le dénonce à la Gendarmerie royale du Canada. De retour à Montréal, il apprend que sa grand-mère a eu un accident, mais celle-ci est robuste. Le mauvais père est emprisonné à Sainte-Anne-des-Plaines. L'affreux s'amende et, après quelques soubresauts, père et fils se retrouvent enfin. Tout s'arrange, la grand-mère retrouve son fils, le fils, son père et sa petite amie perdue, le vilain policier agent double est écroué, la famille Selao... Puzzolo... -- Ce roman qui semble d'abord un drame psychologique se mute en véritable roman policier. L'émotivité cède le pas à l'action sur laquelle se greffe des considérations d'ordre social. Faits et personnages sont superficiels, souvent irréalistes. La trame conserve malgré tout un certain suspense. Littérature de détente rédigée dans un style direct.

Mon Père, ce Salaud!

Édouinas C., le grand-père de Charles, a disparu. Tout le monde es sur le qui-vive. Où est passé cet homme atteint de la maladie d’Alzheimer? Charles fait la rencontre d’un mystérieux garçon qui semble en savoir bien plus qu’il ne le prétend sur la disparition d’Édouinas. L’étranger amène Charles dans des contrées inconnues où des personnages irréels surgissent du passé.

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