Pour pouvoir comprendre le cerveau, l'approche ostéopathique est d'un grand intérêt, précisément parce qu'avant d'être une méthode thérapeutique, l'ostéopathie est une philosophie de la vie et de l'unité du corps humain. C'est cette vision holistique de l'être, mise en lumière par les progrès des neurosciences, que les auteurs ont explorée pour concevoir un modèle thérapeutique inédit de compréhension du vivant : le cerveau ostéopathe. Il décrit le fonctionnement, l'interaction, la superposition et l'intrication de sept cerveaux en un : le cerveau crâne, le cerveau ventre, le cerveau coeur, le cerveau étalé (peau et tissus conjonctifs), le cerveau de l'os, le cerveau sexuel et le cerveau de l'eau aux origines de la vie. Ce modèle explique comment ces sept cerveaux interagissent avec : - nos différents états intérieurs en résonance avec leur environnement ; - nos sens, nos émotions, notre équilibre psychique et spirituel ; - la conscience, l'inconscient, en considérant le subconscient à l'interface ; - les inconscients individuel, transfamilial, transculturel et transcivilisationnel. En abordant des sujets aussi variés que l'épigénétique, l'intention, les neurones miroirs, les différentes mémoires, les croyances, les champs morphiques, le bonheur... les auteurs s'emploient à détailler comment les circonstances de la vie ponctuent, rythment et modifient notre histoire et nos cerveaux.

Les 7 cerveaux de notre corps ; un pont entre ostéopathie et neurosciences

L'énergie est à l'origine de toute chose, elle insuffle la vie et anime la matière. Ce souffle divin est assimilable à l'âme qui habite en chacun de nous et nous relie tous. Pour François Bonnal, les maux contemporains trouvent leur origine dans la perte de ce lien fondamental. L'expérience de l'auteur en ostéopathie et sa collaboration avec des thérapeutes de renommée mondiale lui ont permis de percevoir l'importance de cette connexion dans la résolution des souffrances physiques ou mentales. Sous la forme d'une ode à la vie, l'auteur nous guide sur le chemin d'une rencontre avec soi. Il s'agit avant toute chose de reconnaître les différentes douleurs incarnées pour s'en libérer. Le cheminement se poursuit par le relâchement des freins à cette rencontre (conditionnements, croyances limitantes, ego...). Il convient aussi d'apprendre à traduire les « poussées de l'âme », c'est-à-dire à identifier les signes annonciateurs de cette union retrouvée puis de s'y maintenir.

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