L’apprentissage du code répond aux nouveaux besoins de l’économie numérique. Ce savoir est devenu un passeport pour l’emploi, tout au long de la vie, au même titre que lire, écrire et compter. Dès lors, comment faire pour que l’informatique ne soit pas un champ réservé à certaines élites ? Pourquoi la grande majorité des développeurs sont des hommes ? L’enseignement du numérique se limite-t-il au seul temps de la scolarité ? Comment rendre accessibles à tous les potentialités offertes par le code ? Quel est le rôle des écoles et de l’éducation ? Lire, écrire, compter, coder traite de la nécessité d’apprendre le code informatique, pour toutes les générations, tant pour la vie professionnelle que citoyenne, et explique comment y parvenir, quel que soit son âge et sa motivation.

Lire écrire compter coder

Selon l'encyclopédie en ligne Wikipédia, les systèmes informatiques en temps réel ne doivent pas simplement délivrer des résultats exacts : ils doivent les délivrer dans des délais dont le respect est aussi, voire plus important que l'exactitude des résultats. En plein cœur de  la société de l'information, avec l'omniprésence de l'internet et le besoin, volontaire ou subi, d'être tout le temps connecté, le nombre d'informations disponibles à chaque instant a considérablement augmenté. Et l'immédiateté semble être devenue la norme. Que devient la notion de temps pour l'individu pris dans ce flux continu d'information ? Fruit d'une vingtaine de spécialistes des nouvelles technologies, de réputation mondiale, cet ouvrage apporte un éclairage essentiel sur la transformation de la notion de temps auquel nous sommes tous confrontés, tant sur le plan professionnel que personnel. Des responsables de grandes entreprises, de médias, des créateurs de nouveaux services, des économistes, des répondent clairement à des questions telles que : L'exposition à Twitter et à Facebook, change-t-elle notre rapport au temps ? Face à l'" infobésité ", les individus, l'entreprise, et même le réseau mondial ne risquent-ils pas l'overdose ? Sommes-nous toujours capables de filtrer l'information pour lui donner de la pertinence ? Disposons-nous des outils nécessaires à cela ? Après l'effondrement des économies et les crises qui se sont ensuivis, peut-on encore laisser des machines gérer automatiquement les flux financiers et prendre des décisions ? L'ouvrage est une véritable avant-garde de la pensée et des usages à venir qui donne au lecteur des clés et des savoirs pour que les formidables capacités d'innovation puissent l'être au service de tous.

TiC 2013, les nouveaux temps réels - Société, entreprises, individus, comment les TIC changent notre rapport au temps

Le monde entier a brutalement découvert les activistes numériques lorsque le site internet Wikileaks a publié 250 000 câbles diplomatiques américains, révélant les dessous de la diplomatie des États-Unis. Internet, piratage informatique et politique ont toujours entretenu des liens étroits. C’est dans ce moule qu’est né l’« hacktivisme », composé d’une nouvelle génération d’activistes, entre hackers (pirates) et militants qui utilise l’internet comme terrain d’action. Mais, contrairement au médiatique Julian Assange de Wikileaks, les hacktivistes les plus actifs préfèrent rester masqués et
agissent, depuis 2006, au nom du collectif extrêmement secret : les Anonymous. Considérés comme des criminels par les États, les organisations et les entreprises qu’ils visent, les Anonymous affirment défendre le droit à la liberté d’expression et veulent permettre à n’importe quel citoyen
d’exprimer des revendications économiques, sociales ou politiques, et de mener des actions militantes, tout en restant anonyme. Il répond sans détour aux questions suivantes : Qui sont-ils ? Que défendent-ils ? Quel est le projet de ses hackers ? Pourquoi cet activisme remplace l’engagement syndical ou dans un parti politique ? Qui sont les soutiens de ce mouvement ? Quelles en sont les différences culturelles selon les pays ? Les Anonymous sont-ils des pirates et des
cybercriminels déguisés en militants ou au contraire assistons-nous à l’émergence d’un nouvel alter mondialisme numérique à mi-chemin entre ONG et parti politique ? Quels sont les liens entre les ONG, les groupes politiques et les Anonymous ? L’anonymat, l’absence de coordination, l’illégalité et les luttes intestines auront-ils raison de ce mouvement ? Comment devient-on un Anonymous ?
Quelles sont réellement les perspectives et les limites de ce mouvement des « indignés du web » ?
Cet ouvrage est essentiel pour comprendre un phénomène révélateur du nouveau rapport entre les individus et les pouvoirs politiques et économiques.

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