En 2014, Gabrielle Duplantier publiait Volta aux éditions lamaindonne. Le livre, salué par le public et la critique, est aujourd'hui épuisé. Quatre ans plus tard, Terres basses, sa nouvelle publication, vient confirmer le talent de la jeune photographe. Une balade dans un univers dense et riche, où l'on retrouve son goût pour les paysages, les portraits de femmes et d'enfants... Un travail photographique puissant et délicat en même temps, qui ne cède jamais à l'artifice, où elle témoigne de la vie, de ses accidents et de ses joies, de ses incertitudes et de ses espérances. L'amour qu'elle porte à ses sujets est toujours là, permettant au lecteur de rentrer dans l'intimité de son entourage, avec pudeur et infiniment de douceur. Un regard amoureux qui transforme le noir en lumière. Le livre sera disponible en librairie dès le mois de mars. et sera présenté lors de l'exposition Eyes Wild Open au jardin botanique de Bruxelles dès le 21 février.

Terres basses

Âpre paysage soumis à une invraisemblable conjonction de lumières et de couleurs dont on ne saurait trop que dire tant elles sont fuyantes. Soudain le soleil lui file un coup de couchant glorieux en arrière-plan, une brume le ouate en douceur, un grain le fouette, un troupeau de nuages moutonne ses rondeurs, des mouettes tournent, piquent, se dandinent. Les hommes se fragilisent en silhouettes qui prennent place dans le tableau. 120 pages de photos, dessins et texte à la découverte d'un Bassin d'Arcachon inédit et loin des ambiances habituelles

Bassin de Cocagne

Wild rose

ImageSingulières est un festival de photographie documentaire créé en 2009 à Sète. Chaque année un photographe est invité à porter son regard sur la ville, ce qui fait l'objet d'un livre. En 2022, la carte blanche est confiée à Gabrielle Duplantier. Dans ses images d'un noir et blanc lumineux, la puissance des formes, souvenir d'un apprentissage de peintre, s'allie à la fragilité des figures. Mouvements suspendus, paysages organiques, instants crépusculaires, portraits habités de femmes et d'enfants... Gabrielle Duplantier poursuit l'affirmation, inquiète et obstinée, d'un point de vue moins attaché à figer la réalité qu'à lui réclamer un droit de regard. Ses photographies sont empreintes de délicatesse autant que d'une force brutale. Le livre s'accompagne d'un texte de Christian Caujolle.

Sète #22

"In 2014, Gabrielle Duplantier published Volta with Editions lamaindonne. The book received critical and public acclaim and is now long sold out. Four years later, Terres basses(Lower Lands) confirms the artist's talent.A journey in a dense and rich artistic universe, where we rediscover the artist's sensibility for landscapes and portraits of women and children. A powerful and delicate photographic work, that never yields to artifice or affectation and where the images are a testimony of life, of its uncertainties and hopes, of its accidents and its joys.The love she has for her subjects is still present, allowing the reader to enter the intimacy of her circle of close friends, with a caring reserve and infinite gentleness. A loving eye that transforms darkness into light."

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