Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

La jalousie, de Robbe-Grillet

Tàpies ou la poétique de la matière

Monticelli l'étrange

Journal d'un curé de campagne, de Bernanos

Georges Raillard, Directeur de l'Institut français de Barcelone. Né en 1927. Agrégé des lettres, il est actuellement chargé de mission à la Direction des affaires culturelles du Quai d'Orsay. Professeur, il a enseigné la littérature contemporaine à l'Université de Rio de Janeireo, donné de nombreuses conférences en France et à l'étranger. Collaborateur de plusieurs revues, assure la chronique littéraire du « Français dans le monde ». A participé à « Écrivains d'aujourd'hui » (Grasset 1960).

Aragon

Les chants de Maldoror, de Lautréamont - Poésies, de Ducasse

Destins, de François Mauriac

Avec cet ouvrage, paru dans la collection Poche critique Hachette, Michel Nathan étudie en même temps Les Complaintes et L'Imitation de Notre-Dame la Lune de Jules Laforgue, en partant du postulat que ces deux recueils poétiques sont les seuls que Laforgue publia de son vivant, qu'ils parurent la même année - à quelques mois d'intervalle - et que les thèmes de l'Imitation sont l'aboutissement des thèmes abordés dans Les Complaintes.

Les complaintes et L'imitation de Notre-Dame la Lune, de Jules Laforgue

(...) Je crois que Constellations furent les derniers poèmes qu'écrivit Breton. Au cours de la conversation qui suivit la lecture, André nous expliqua que ces poèmes lui avaient été dictés par une double impulsion — esthétique et éthique. Esthétique car, les Constellations, leur unité dans la diversité, l'énergie vitale et plastique de ces compositions, étaient pour lui l'un des moments les plus joyeux de l'oeuvre de Mire). L'épithète n'aurait pu être mieux choisie : ces gouaches de Mire) sont un feu d'artifice surprenant, bien qu'il n'y ait rien d'artificiel en elles. La main du peintre a jeté sur la toile une poignée de graines, de germes, de couleurs et de formes qui s'accouplent, se séparent et bifurquent avec une gaieté à la fois génésique et fantastique.

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