La mort du cinéma

Du premier baiser au film X, en passant par l'apparition du nu à l'écran, l'émergence de la femme fatale, le sadomasochisme, l'homosexualité, le couple, la censure..., l'histoire du cinéma est un formidable révélateur de l'évolution de nos moeurs, de nos tabous et transgressions, de nos peurs et de nos fantasmes.
Avec 352 pages, plus de 500 photos, 2000 films cités, un texte brillant et argumenté, Érotisme et cinéma est un ouvrage de référence indispensable à tout amateur du 7ème art.

Erotisme et cinéma

Savez-vous qui fut le client le plus inattendu de Catherine Deneuve au bordel de Belle de jour ? Savez-vous à quel point la Belle était amoureuse de la Bête ? Savez-vous quel fut le geste le plus audacieux d'Emmanuelle dans une boîte de nuit huppée de Bangkok ? Savez-vous que le vieux prof de L'Ange bleu était un vrai chien pour Marlene Dietrich ? Savez-vous ce que Blaise Pascal eût pensé des seins de Cléopâtre s'il avait connu Liz Taylor ? Savez-vous à quelles turpitudes se consacre Batman quand il a fini sa journée de superhéros ? Que sont nos films favoris devenus ? Ces moments de cinéma, fugitifs et miraculeux, les avons-nous vécus ou avons-nous cru les vivre ? Notre mémoire est chancelante, surtout quand nos fantasmes intimes entrecroisent ceux des cinéastes. Dès lors, comment faire la part du réel, de l'imaginaire, du souvenir précis et du rêve que nous avons échafaudé à l'issue d'une mystérieuse alchimie cérébrale ? Critique de cinéma et cinéphile impénitent, Gérard Lenne a vu dans les 20.000 films, bon an mal an. Il s'en souvient un peu, beaucoup ou pas du tout (voir son Je me souviens du cinéma, Ed. du Griot). Il a exploré les écrans du désir (Erotisme et cinéma, La Musardine), champ illimité où il revient ici sélectionner les 50 scènes les plus… troublantes, excitantes, érotiques ! Avec une nuance de taille : laissant libre cours à sa propre imagination, il extrapole, transforme les images, prolonge l'action qui soudain bascule… On ne sait plus où on en est, et n'est-ce pas le plus délicieux ?

Et mes seins, tu les aimes ? - 50 fantasmes cinématographiques

La mort a voir

L'encyclopedie de l'humour francais

Encore passible de prison dans des contrées reculées, tels certains États américains, la fellation est aujourd'hui une pratique courante chez les peuples civilisés. Toutefois, on constate une contradiction entre cette banalisation et les réticences qu'elle continue de soulever. Rejetant une approche historique, sociologique ou psychanalytique, déjà maintes fois adoptées, l'auteur dresse ici une sorte d'état des lieux, en s'appuyant sur des références littéraires et cinématographiques. Il s'attache en réalitéà démontrer que, loin d'être une pratique secondaire, accessoire ou utilitaire, la fellation est un véritable idéal dans le rapport amoureux.

De la fellation - Comme idéal dans le rapport amoureux

Du premier baiser cinématographique (1896) au film X, en passant par l'apparition du nu à l'écran, l'émergence de la femme fatale, le sadomasochisme, l'homosexualité, le couple, la censure, l'histoire du cinéma est un formidable révélateur de l'évolution de nos moeurs, de nos tabous et transgressions, de nos peurs et nos fantasmes.
A travers 384 pages en couleurs, plus de 600 photographies, 2000 films cités, un texte brillant et argumenté, Erotisme et cinéma est un ouvrage de référence indispensable à tout amateur du 7e art.

érotisme et cinéma

Encore passible de prison dans des contrées reculées, tels certains États américains, la fellation est aujourd'hui une pratique courante chez les peuples civilisés. Toutefois, on constate une contradiction entre cette banalisation et les réticences qu'elle continue de soulever. Rejetant une approche historique, sociologique ou psychanalytique, déjà maintes fois adoptées, l'auteur dresse ici une sorte d'état des lieux, en s'appuyant sur des références littéraires et cinématographiques. Il s'attache en réalité à démontrer que, loin d'être une pratique secondaire, accessoire ou utilitaire, la fellation est un véritable idéal dans le rapport amoureux.

Un document précieux pour les amateurs de BD : Gérard Lenne s'attache ici à cerner l'œuvre d'Edgar Pierre Jacobs, auteur, scénariste et dessinateur de la série-culte, Blake et Mortimer. Né en 1904 à Bruxelles, Jacobs, aussi doué pour le chant que pour le dessin, hésite entre musique et arts plastiques. Il est engagé comme baryton à l'Opéra de Lille, mais devient le collaborateur d'Hergé, avant de se consacrer à son œuvre personnelle. En 1946, paraît dans le numéro 1 du journal Tintin la première planche du Secret de l'espadon. Suivront sept nouvelles aventures qui feront des Jacobs l'un des créateurs du genre les plus célèbres et les plus originaux.
Ainsi se révèle la dimension mythologique de cette vaste fresque historico-imaginaire, cette " comédie humaine et surhumaine ", fondée sur un hyperréalisme et une obsession du détail qui lui donnent toute sa cohérence.

Blake, Jacobs et Mortimer

Savez-vous qui fut le client le plus inattendu de Catherine Deneuve au bordel de Belle de jour ?

Savez-vous à quel point la Belle était amoureuse de la Bête ?

Savez-vous quel fut le geste le plus audacieux d'Emmanuelle dans une boîte de nuit huppée de Bangkok ?

Savez-vous que le vieux prof de L'Ange bleu était un vrai chien pour Marlene Dietrich ?

Savez-vous ce que Blaise Pascal eût pensé des seins de Cléopâtre s'il avait connu Liz Taylor ?

Savez-vous à quelles turpitudes se consacre Batman quand il a fini sa journée de superhéros ?

Que sont nos films favoris devenus ? Ces moments de cinéma, fugitifs et miraculeux, les avons-nous vécus ou avons-nous cru les vivre ? Notre mémoire est chancelante, surtout quand nos fantasmes intimes entrecroisent ceux des cinéastes. Dès lors, comment faire la part du réel, de l'imaginaire, du souvenir précis et du rêve que nous avons échafaudé à l'issue d'une mystérieuse alchimie cérébrale ?

Critique de cinéma et cinéphile impénitent, Gérard Lenne a vu dans les 20.000 films, bon an mal an. Il s'en souvient un peu, beaucoup ou pas du tout (voir son Je me souviens du cinéma, Ed. du Griot). Il a exploré les écrans du désir (Erotisme et cinéma, La Musardine), champ illimité où il revient ici sélectionner les 50 scènes les plus. troublantes, excitantes, érotiques ! Avec une nuance de taille : laissant libre cours à sa propre imagination, il extrapole, transforme les images, prolonge l'action qui soudain bascule. On ne sait plus où on en est, et n'est-ce pas le plus délicieux ?

De la plage de Sète qu'il fréquentait enfant jusqu'à l'étang de Thau en face duquel Georges Brassens repose depuis vingt ans aux côtés de sa mère, la couturière, et de son père, le maçon, en passant par l'" Auberge du Bon Dieu " où il vécut avec " l'Auvergnat " et sa femme Jeanne, sans oublier les salles de spectacle où sonnèrent pour lui " les Trompettes de la renommée ", ce livre retrace arec des mots sensibles et des images émouvantes la vie et la carrière d'un artiste d'exception. Sans doute le plus grand des auteurs-compositeurs-interprètes de la chanson française. Artiste de génie, provocateur, anar, anticlérical, antimilitariste, compagnon fidèle, ami au grand cœur quoique parfois ombrageux... Cet album, qui rassemble de nombreuses photos dont certaines inédites, lui rend un hommage exceptionnel.

Georges Brassens. Le Viel Indien

Désopilant et attendrissant, loufoque et inquiétant. Mais toujours unique. André Raimbourg, dit Bourvil, aimait la contradiction. Le comédien, chanteur et fantaisiste pouvait faire rire tout autant qu'émouvoir. Est-ce pour cela qu'il est aujourd'hui encore l'un des comédiens français les plus populaires et les plus aimés ? Dans cet album, Gérard Lenne restitue pour la première fois l'immense talent de Bourvil et retrace son étonnant parcours. Un portrait émouvant et insolite ponctué par les plus beaux succès et les chansons célèbres du héros de " La Grande vadrouille ".

Bourvil... C'Etait Bien

Je me souviens du cinéma

Encore passible de prison dans des contrées reculées, tels certains États américains, la fellation est aujourd'hui une pratique courante chez les peuples civilisés.Toutefois, on constate une contradiction entre cette banalisation et les réticences qu'elle continue de soulever. Rejetant une approche historique, sociologique ou psychanalytique, déjà maintes fois adoptées, l'auteur dresse ici une sorte d'état des lieux, en s'appuyant sur des références littéraires et cinématographiques. Il s'attache en réalité à démontrer que, loin d'être une pratique secondaire, accessoire ou utilitaire, la fellation est un véritable idéal dans le rapport amoureux.

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