Que mangeait-on autrefois? Dans quelles mesures la diversité du peuplement a-t-elle façonné une tradition culinaire bien gaspésienne? Des pratiques mi'gmaq à la cuisine familiale et traditionnelle et aux tables des restaurants, un art culinaire, un goût pour le bien-manger a pris forme en Gaspésie, marqué par des influences tant locales qu'étrangères. Les articles de ce numéro nous font découvrir des méthodes anciennes de préparation des aliments, comme la cuisson à la cambuse, pratique bien courante chez les pêcheurs d'autrefois, et la cuisine de camp de bûcheron des années soixante, entre autres. D'autres textes témoignent de plats marquants, comme le cipâte de Haute-Gaspésie, la « kiaude » d'Alma Pelletier de Pointe-Jaune ou les « langues de morues », un mets très prisé des Gaspésiens, mais pas par les visiteurs! Cuisiniers, mères de familles et restaurateurs sont à l'honneur dans cette édition parsemée de recettes d'antan que les lecteurs pourront s'amuser à cuisiner à la maison.

Magazine Gaspésie. Vol. 53 No. 2, Juillet-Octobre 2016 - À table !

D'où remonte la tradition du hockey dans la péninsule gaspésienne et qu'elle en a été l'évolution? À Gaspé, on fait mention de parties qui se tiennent sur la baie dès les années 1890. Ce numéro nous transporte à cette époque où des patinoires étaient improvisées sur des marres d'eau gelée et où l'on utilisait du crottin de cheval gelé comme rondelles et des catalogues comme jambières aux gardiens. Au quatre coin de la Gaspésie, chaque village avait ses patinoires, ses équipes de hockey ainsi que ses « glorieux ». Tant chez les joueurs que chez les partisans, le hockey est devenu au fil des ans une véritable passion et, avec la venue des arénas, le sport s'organisera et se développera afin de permettre à plusieurs Gaspésiens d'atteindre les rangs des professionnels. Ce dossier consacré à la fièvre du hockey accompagne l'exposition « Nos glorieux Gaspésiens » du Musée de la Gaspésie.

Magazine Gaspésie. Vol. 52 No. 3, Novembre-Février 2015-2016 - Nos glorieux Gaspésiens

" Si être responsable, c'est bien connaître les textes pour bien les appliquer, laissons le social aux technocrates qui ne savent pas ce qu'ils font car ils n'ont jamais côtoyé la misère sous toutes ses formes et arrêtons de nous plaindre ! En effet, être responsable, c'est innover donc prendre des risques, sinon il n'y a pas besoin de responsables. Un programme informatique bien fait peut alors remplacer tous les responsables. Ce n'est pas l'individu qui doit s'adapter au système mais le système qui doit évoluer pour répondre aux besoins des individus... " Si dans son premier livre La petite graine et le jardinier, Jacques Desbois, faisant état de son expérience avec les jeunes, proclamait "Éduquer, c'est possible," dans ce deuxième ouvrage, L'envers du décor, il pose la question "Éduquer, est-ce possible ?" Est-ce possible quand l'éducateur est soumis à une multitude de contraintes administratives ? Quand il lui faut braver sa hiérarchie pour le bien des enfants ?

L'Envers Du Decor. Eduquer, Est-Ce Possible ?

Le Loulou De La Lonlaine

... C'est très grave de dire à un enfant : " je n'ai pas confiance. " C'est pourtant ce qui se produit quand on lui dit qu'il est un menteur. Un enfant dit-il des mensonges ? J'aurais tendance à dire non. Il est un être fragile et il a besoin de se protéger.
" Qui a fait ça ? C'est toi ? " Déjà le ton laisse présager qu'il va y avoir des conséquences cuisantes. Ce n'est pas un mensonge, c'est un réflexe de sauvegarde.
Est-ce qu'enjoliver les choses, les raconter sous un angle favorable est un mensonge ? On peut les avoir rêvées autrement qu'elles ne sont arrivées...
En retraite depuis peu, Jacques Desbois s'est résolu, à la demande de ses collègues et amis, à nous livrer le fruit de son expérience en tant qu'éducateur et directeur d'établissement spécialisé.
Ce livre s'adresse aux éducateurs mais surtout aux parents, souvent désorientés. A l'aide d'exemples simples et imagés, Jacques Desbois exprime sa conception de l'éducation faite de considération, de respect et aussi de grande tendresse pour ces hommes que sont nos enfants.

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