Les cartes du diable sont la transposition romancée d'un fait divers authentique. Au milieu des années 30, une série d'assassinats mystérieux - 8 meurtres en moins de 2 mois - plonge la paisible cité provençale de Bollène dans un climat d'épouvante. Les victimes, qu'aucun lien apparent ne semble unir, sont retrouvées criblées de coups de stylet. L'enquête piétine et dans la chaleur de l'été provençal une insupportable angoisse s'empare peu à peu des habitants de Bollène. Avec une maîtrise digne d'Hitchcock ou de Clouzot, Jacques Robichon restitue dans son récit ce climat de panique collective de plus en plus oppressant, jusqu'au coup de théâtre final qui démasque le meurtrier.

Les cartes du diable

Voici le « roman » de l'Olympique de Marseille, enfant terrible du football français, aussi célèbre que la Canebière, le mistral et la bouillabaisse. Personne, en 1975, ne peut ignorer son existence et ses tribulations, tout à fait au sud de la France, à l'ombre des platanes mouchetés, parmi les parties de pétanque. À l'image du Midi paroxystique et brûlant, voici l'Ohème et son histoire folklorique et tumultueuse, ses aventures et ses révolutions de palais, ses brutales poussées de fièvre qui enflamment tout le football français. Voici l'O.M. et son public, ses joueurs et ses entraîneurs, ses vedettes et ses dirigeants, ses « transferts » à sensation, ses crises et ses convulsions, ses rêves comme ses exploits, ses soudaines descentes en vrille comme ses remontées en flèche également spectaculaires. Voici l'O.M. et son football de soleil, ce club « à nul autre pareil », assurent les uns, « où rien ne se fait comme ailleurs », prétendent les autres, mais qui ne peut se passer de faire parler de lui, même en perdant des matches, et qui, légendairement en France, exaspère le plus de passions antagonistes. Enfin, voici l'O.M. et sa ville, une des composantes essentielles du « phénomène olympien », sans laquelle l'Olympique de Marseille ne serait pas ce qu'il est, et dont on peut dire que, s'il n'existait pas, les Marseillais devraient l'inventer. Vous aussi revivrez cette aventure, retracée et analysée par l'auteur du « Débarquement de Provence », des « Cartes du diable » et des « Grands dossiers du IIIe Reich ». Car « L'O.M. que j'aime » n'est pas, lui non plus, un livre comme les autres : historien autant que témoin, Jacques Robichon a vécu pour vous cette histoire passionnée et passionnante, que traverse un souffle d'épopée.

L'O.M. que j'aime

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Poussière de l'été

Les cartes du diable - Occasion

Mère de famille abusive, épouse acariâtre, Lucienne Langlois tue un jour un enfant, un être sans défense. L'acte a été naturel, irréfléchi, spontané ; Lucienne, possédée par les fureurs du sang, est foncièrement une meurtrière, une criminelle à l'état brut. Loin d'éprouver le remords de cet acte habilement camouflé en accident, une fièvre nouvelle l'habite, qui cherche une autre proie. Mais devant elle se dresse son fils, témoin de son premier crime, silencieux, hautain, révolté. Sera-t-il sa dernière victime ? Dans le cadre d'un faubourg de Paris, près de la Seine, Jacques Robichon a composé autour de son héroïne un tableau en clair-obscur où se reconnaît le regard lucide que porte sur les êtres et les choses l'auteur de LA MISE A MORT.

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