The incredible, moving and hilarious story of Cheeta the Chimp, simian star of the big screen, on a behind-the-scenes romp through the golden years of Hollywood.

 As heard on Radio 4, starring Jon Malcovich and Julian Sands.

 The greatest Hollywood Tarzan, Johnny Weissmuller, died in 1984. His coffin was lowered into the ground to the recorded sounds of his famous jungle call. Maureen O'Sullivan, his Jane, died in 1998. Weissmuller's son, who first played Boy in the 1939 film Tarzan finds a Mate, has gone too. But Cheeta the Chimp, who starred with them all, is alive and well, retired in Palm Springs. At the incredible age of seventy-five, he is by far the oldest living chimpanzee ever recorded.

 Now, in his own words, Cheeta (aka Jiggs) finally tells his extraordinary story.

 He was just a baby when snatched from the jungle of Liberia in 1932, by the great animal importer Henry Trefflich, who went on to supply NASA with its 'Monkeys for Space' programme. That same year, Cheeta appeared in Tarzan the Ape Man, and in 1934 Tarzan and His Mate, in which he famously stole the clothes from a naked O'Sullivan, dripping wet from an underwater swimming scene with Weissmuller. Other Tarzan films followed until Cheeta finally retired from the big screen after the 1967 film Doctor Dolittle with Rex Harrison, whose finger he accidentally bit backstage while being offered a placatory banana.

 Cheeta tells it all, a life lived with the stars, a monkey stolen from deepest Africa forced to make a living in the fake jungles of Hollywood. He tells us too of his journey beyond the screen: his struggle with drink and addiction to cigars; his breakthrough with a radical new form of abstract painting, 'Apeism'; his touching relationship with his retired nightclub-performing grandson Jeeta, now a considerable artist in his own right; his fondness for hamburgers and his battle in later life with diabetes; and, through thick and thin, carer Dan Westfall, his loving companion who has helped this magnificent monkey come to terms with his peculiar past.

 Funny, moving, searingly honest, Cheeta transports us back to a lost Hollywood. He is a real star, and this the greatest celebrity memoir of recent times.

Me Cheeta - The Autobiography

Quand Cheeta prend la plume pour raconter ses mémoires, il est le plus vieil animal de cinéma vivant (76 ans et des poussières...) : pensionnaire d'une maison de retraite de luxe à Palm Springs (Californie), il a entamé une carrière de peintre abstrait, mais n'a rien oublié de son enfance dans la jungle africaine ni de sa carrière à Hollywood. Devenu une star dès le premier Tarzan (1934), Cheeta porte un regard caustique et sans concession sur Hollywood, dont il va rendre compte des moindres travers. 
Ses années de gloire, les potins des stars, les studios et leurs moeurs dissolues, son addiction à l'alcool ou à la drogue (sa première banane lui rappelle a posteriori sa première dose de cocaïne). Drôle, léger, rythmé, divertissant, c'est le Hollywood Babylon de Kenneth Anger vu par un singe. Cette saga est aussi le récit d'une « ascension sociale », avec son lot d'amertumes, de cruautés et d'humiliations, subies par un enfant perdu qui restera toujours un parvenu (troublant parallèle entre le singe et l'acteur Weissmuller, unis par une amitié quasi amoureuse !) L'auteur de cette fresque caustique sur les rapports hommes-animaux, dans la lignée de Vercors (Les Animaux dénaturés) ou de Roy Lewis (Pourquoi j'ai mangé mon père) parvient même à faire oublier qu'il s'agit des paroles d'un singe !

Moi Cheeta ; une autobiographie hollywoodienne

Quand Cheeta prend la plume pour raconter ses mémoires, il est le plus vieil animal de cinéma vivant (76 ans et des poussières...) : pensionnaire d'une maison de retraite de luxe à Palm Springs (Californie), il a entamé une carrière de peintre abstrait, mais n'a rien oublié de son enfance dans la jungle africaine ni de sa carrière à Hollywood. Devenu une star dès le premier Tarzan (1934), Cheeta porte un regard caustique et sans concession sur Hollywood, dont il va rendre compte des moindres travers. Ses années de gloire, les potins des stars, les studios et leurs mœurs dissolues, son addiction à l'alcool ou à la drogue (sa première banane lui rappelle a posteriori sa première dose de cocaïne). Drôle, léger, rythmé, divertissant, c'est le Hollywood Babylon de Kenneth Anger vu par un singe. Cette saga est aussi le récit d'une " ascension sociale ", avec son lot d'amertumes, de cruautés et d'humiliations, subies par un enfant perdu qui restera toujours un parvenu (troublant parallèle entre le singe et l'acteur Weissmuller, unis par une amitié quasi amoureuse !) L'auteur de cette fresque caustique sur les rapports hommes-animaux, dans la lignée de Vercors (Les Animaux dénaturés) ou de Roy Lewis (Pourquoi j'ai mangé mon père) parvient même à faire oublier qu'il s'agit des paroles d'un singe !

Moi, Cheeta : Une autobiographie hollywoodienne

'Snort up Cocaine Nights. It's disorientating, deranging and knocks the work of other avant-garde writers into a hatted cock' Will Self

 Five people die in an unexplained house fire in the Spanish resort of Estrella de Mar, an exclusive enclave for the rich, retired British, centred on the thriving Club Nautico. The club manager, Frank Prentice, pleads guilty to charges of murder - yet not even the police believe him. When his Charles arrives to unravel the truth, he gradually discovers that behind the resort's civilized façade flourishes a secret world of crime, drugs and illicit sex.

 At once an engrossing mystery and a novel of ideas, Cocaine Nights is a stunningly original work, a vision of a society coming to terms with a life of almost unlimited leisure.

 This edition is part of a new commemorative series of Ballard's works, featuring introductions from a number of his admirers (including Neil Gaiman, Zadie Smith, John Lanchester and Martin Amis) and brand-new cover designs.

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