Au XVe siècle, la fabuleuse histoire d'un jeune marin, qui, aux côtés de Vasco da Gama, sillonne les océans pour trouver, peut-être, la nouvelle route des épices...
7 juillet 1497, Lisbonne. Dans la forteresse royale, Salvador Montés, emprisonné pour avoir séduit Isabel, la fille du gouverneur, attend l'exécution de sa condamnation à mort. Mais la grâce lui est offerte, à condition d'embarquer pour effectuer les missions les plus dangereuses à bord du São Gabriel, la caravelle du capitaine Vasco da Gama, partant à la découverte de la route de l'Inde via le cap de Bonne-Espérance.
Un projet extraordinaire pour l'époque, susceptible de changer la face du monde. Salvador, novice en mer, survivra-t-il à cette périlleuse aventure, pour l'amour d'Isabel, cloîtrée dans un monastère au Portugal ? Cette épopée historique, doublée d'un bouleversant roman d'amour, reconstitue dans ses moindres détails la découverte de l'Afrique australe et de l'Inde avec la vie des équipages des grandes nefs hauturières.

Le sixieme condamne de l'esperance

Sur l'Etoile, l'équipage est en ébullition : il y aurait une femme à bord... Déguisée en valet, Jeanne Barret a voulu suivre son amant, Philibert Commerson, brillant naturaliste dépêché par le roi Louis XV pour découvrir et rapporter des épices. Passionnée de botanique également, Jeanne a tenu à participer à l'extraordinaire épopée maritime de l'Etoile et de la Boudeuse, menée par le capitaine de Bougainville. De Rochefort à Rio de Janeiro, du détroit de Magellan aux îles Moluques, l'expédition connaît toutes les épreuves : tempêtes, scorbut, famine, attaques d'anthropophages. Et Jeanne, dans cette " prison flottante ", doit éviter le pire : être mise aux fers à fond de cale ou débarquée... Au XVIIIe siècle, l'histoire d'un destin hors du commun. Celui de Jeanne Barret, botaniste, aventurière, qui fut la première femme à effectuer un voyage autour du monde.

La prisonnière des mers du Sud

" Jeune officier clinquant et bravache, devenu ethnologue, puis le plus pauvre des moines ermites de son temps, Charles de Foucauld a peut-être tout compris de l'essence de la vie : elle trouve son bonheur seulement noyée dans l'amour le plus profond. Dans sa "folie" pour le Christ comparable à François d'Assise, il ne fut jamais un "intégriste". Son secret, son mystère apparaissent, bruts, dans son regard de braise, passionné et aimant : c'est l'amour absolu. Voilà ce qu'il cherchait dans les amours humaines, voilà ce qu'il a trouvé dans l'amour divin. " Michael Lonsdale

Charles de Foucauld 1858-1916

Duel mortel dans l'Atlantique   Mars 1941. Un énorme convoi appareille du port de Liverpool matraqué jour et nuit par la Luftwaffe. Cap sur Halifax. En queue, un petit bateau sauvé de la casse, l'Espoir, armé par un patron de pêche de l'île de Sein, son mécanicien et un lycéen brestois, Yves, qui préparait l'École navale. Propulsé offi cier en second, Yves doit s'imposer à un équipage cosmopolite composé de voyous et d'aventuriers recrutés faute de mieux.    À la queue de la meute allemande au départ de Lorient : l'U-63, un sous-marin rescapé de la Grande Guerre que l'amiral Dönitz a ajouté aux grands U-Boote qui écument l'Atlantique. Hans Kassel, son commandant, a accepté par sens du devoir son rôle de charognard : sa mission consistera à achever les bateaux alliés en panne ou blessés.    La rencontre entre l'Espoir et l'U-63 est inévitable. Qui l'emportera ? Ces deux bateaux ont des chances minimes de survivre à l'affrontement implacable qui se prépare. Comme Hans, Yves sait que son sacrifi ce n'aura de sens que si chacun fait son devoir.Jean-Jacques Antier est l'un des meilleurs spécialistes de la guerre maritime, mais aussi un grand romancier de la mer. Avec Le Convoi de l'espoir, il nous embarque dans l'enfer de la bataille de l'Atlantique pour une partie d'échecs haletante, jusqu'au bout incertaine, au-dessus des abîmes.

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