C'est le côté magique de la cuisine méridionale : une poignée de produits de base (l'huile d'olive, l'ail, la tomate, l'aubergine, les herbes aromatiques…) suffit pour préparer de mille façons légumes, pâtes, viandes et poissons sans jamais en altérer le caractère. Tout se joue dans la combinaison des ingrédients et leur mode de cuisson.Grâce à la soixantaine de recettes de La bonne cuisine provençale, on redécouvre la saveur d'un anchois, le goût franc du fenouil, les vertus aromatiques de la tapenade, le parfum de l'ail rose de Provence ou du brin de thym frais. Et on goûte avec délectation au patrimoine culinaire auquel appartiennent la bouillabaisse, les pieds et paquets, les artichauts à la barigoule, les navettes marseillaises ou encore la fameuse pompe à huile dont le parfum de fleur d'oranger agrémente la table de Noël et ses treize desserts.

La bonne cuisine provençale

Le bouchon est un endroit où l'on vient certes manger, mais où la qualité des produits et des recettes le dispute à la convivialité de l'endroit. Une fois chez soi, on prendra plaisir à reproduire cette cuisine simple et de qualité. Du gratin de tripes à l'ancienne au gras-double à la lyonnaise, en passant par le saucisson chaud au beaujolais ou la tarte aux pralines, toutes les recettes présentées dans cet ouvrage proviennent d'un de ces "Authentiques bouchons lyonnais", certifiés véritables dont on trouvera la liste dans le livre. En musardant dans ces pages comme dans les rues de Lyon, laissez-vous séduire par quelques recettes, passez votre tablier et goûtez la vérité du dicton lyonnais : "A tant choisir, crois-moi, la gourmandise est le meilleur des péchés de tous".

La bonne cuisine des bouchons lyonnais

L'un « aux pinceaux », l'autre « aux fourneaux », Jean-Marc et Josette Boudou nous régalent les yeux et les papilles, offrant sur un plateau (de bois) une tradition gastronomique réputée et tenant au corps !L'Auvergne est « belle et bonne », les Auvergnats le savent. Parler ici de cuisine du terroir, c'est parler également de cuisine familiale. Que ce soit la brezade (la soupe d'été), la pompe aux grattons, les farinades au saint-nectaire, le véritable chou farci d'Auvergne, évidemment la truffade, le milhar et autre piquenchagne, ce sont bien les plats qui ont vu (et surtout fait !) grandir notre illustrateur qu'a sélectionnés sa cuisinière de mère !

La bonne cuisine auvergnate

Des délicieuses cochonnailles aux douceurs à la praline, en passant par les fameuses quenelles et autres poulets de Bresse, la cuisine lyonnaise a plus d'une saveur dans sa marmite ! La tradition sait ici se faire gourmande pour garnir les assiettes. Et réjouir les estomacs. Depuis les pentes de la Croix Rousse, les fumets de la cuisine lyonnaise titillent nos papilles, avant de nous amener à déguster les préparations familiales ou, parfois, de s'attabler dans quelque bouchon de renommée. En toute simplicité.

La bonne cuisine lyonnaise

Le claquement du loquet, le grincement de la porte, le ballet des grains de poussière dans les rais de lumière, l'odeur si particulière de l'endroit. On tremble tous en poussant la porte du grenier, lorsque celle-ci s'ouvre sur cet univers mystérieux et poétique. On se laisse alors bercer par le f lot de souvenirs que fait surgir chaque objet déniché : cette vieille malle en bois qui protège l'uniforme de 14-18 du grand-père, une ancienne boîte de Meccano devenue l'écrin d'une robe de baptême. Prenons le temps de nous réfugier dans le grenier de notre enfance en compagnie de quelques gentils fantômes, ceux-là même qui nous habitent déjà. Jean-Marc Boudou ouvre, dans ce beau livre richement illustré de superbes aquarelles, les portes des greniers de notre enfance débordant de souvenirs et de redécouvertes étonnantes.

Le grenier de mon enfance

Qu'on pense à ce panier de champignons posé sur la table de la cuisine.
Qu'on pense aussi à ces pots de confits sur l'étagère de la cave, ou encore à ces bouteilles de Monbazillac (on a souvenance d'une cuvée " 61 " bien à notre goût !) drapées depuis des lustres dans leurs toiles d'araignées... Voilà qui évoque forcément quelques souvenirs émus, la preuve ! Ce recueil offre à la fois à manger et à " voir ", plaisirs de la table à travers des recettes du cru et aquarelles d'un pays au caractère affirmé.
Le Périgord en toute authenticité. Régalez-vous des deux !

La bonne cuisine du Périgord

L'Auvergne est belle est bonne, et son Auvergnat le sait. Et comme il est " partageur ", il n'hésite pas à offrir ses paysage et son assiette. L'Auvergnant goûte bien la cuisine de son terroir, et surtout la cuisine de sa mère. Car l'Auvergnate reçoit en dot un grimoire plein de recettes griffonnées par sa mère, et la mère de sa mère, et ce depuis la femme de Cromagnon qui connut l'éruption du Puy-de-Dôme... L'Auvergnate aime à faire connaître sa cuisine car elle aussi aime partager. Soit elle ouvre une auberge dans le buron familial, soit elle imprime des cartes postales que le vent des montagnes disperse au tourniquet. Parfois lui vient l'idée d'en faire un livre qu'on appelle aussi recueil. Un autre Auvergnat, son fils ; se charge de voler à l'Auvergne ses couleurs à l'eau - c'est bien le moins - pour en illustrer les pages. C'est ainsi qu'est né ce livre, recueil de cuisine familiale et d'aquarelles du terroir. Profitez bien des deux.

Les Bonnes Recettes de la Cuisine Auvergnate

On ne l'aperçoit qu'en débouchant du chemin, accroché à la montagne il paraît bien petit au regard des paysages qui l'entoure.Ce livre nous raconte grâce à de superbes aquarelles la vie des chalets dans les Alpes. Dessins de chalets dans leur écrin de nature alternent avec de nombreux de détails de décoration et d'aménagement qui sont autant d'idées pour les âmes créatrices et bricoleuses.De la construction à l'habitation en passant par l'histoire de l'installation des hommes dans les montagnes. Ces « authentiques » sont les gardiens du patrimoine montagnard.

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