Si l'erreur a longtemps été considérée comme une faute appelant une sanction, elle est davantage perçue, aujourd'hui, comme un indice indispensable pour comprendre le processus d'apprentissage et comme témoin pour repérer les difficultés des élèves. Sans nier l'existence d'erreurs liées à l'inattention ou au désintérêt, Jean-Pierre Astolfi démontre avec précision qu'analyser les erreurs commises permet de mieux comprendre ce qui se joue dans la classe pour adapter son intervention pédagogique. S'appuyant sur de nombreux exemples, il identifie huit types d'erreurs pour lesquelles il propose médiations et remédiations. Parce que mettre l'erreur au coeur des apprentissages dépasse largement la sphère technico-didactique pour questionner le sens des activités scolaires. Vingt ans après sa première parution, L'erreur, un outil pour enseigner demeure une référence incontournable en pédagogie. Cette nouvelle édition est recontextualisée par Michel Develay.

L'erreur, un outil pour enseigner

En position longtemps inconfortable entre la pédagogie et l'épistémologie, la didactique des sciences continue de chercher sa véritable place parmi plusieurs disciplines ; la difficulté vient de ce qu'elle traite de l'appropriation des savoirs en général, et s'intéresse à ce titre à la fois à l'apprentissage et à l'enseignement. Le présent ouvrage s'applique à expliquer et à illustrer les enjeux de cette discipline qui, touchant entre autres à la question de la formation des enseignants, nourrit la réflexion menée actuellement à propos de l'école.

La didactique des sciences

En position longtemps inconfortable entre la pédagogie et l’épistémologie, la didactique des sciences continue de chercher sa véritable place parmi plusieurs disciplines ; la difficulté vient de ce qu’elle traite de l’appropriation des savoirs en général, et s’intéresse à ce titre à la fois à l’apprentissage et à l’enseignement. Le présent ouvrage s’applique à expliquer et à illustrer les enjeux de cette discipline qui, touchant entre autres à la question de la formation des enseignants, nourrit la réflexion menée actuellement à propos de l’école.

La façon de considérer l'erreur dans l'apprentissage a beaucoup évolué ces dernières années. On est globalement passé d'une conception négative donnant lieu à sanction à une autre, où les erreurs se présentent plutôt comme indices pour comprendre le processus d'apprentissage et comme témoins pour repérer les difficultés des élèves. Sans nier qu'existent des erreurs liées à l'inattention ou au désintérêt, l'auteur montre avec précision qu'il est possible de s'appuyer sur les erreurs commises pour renouveler l'analyse de ce qui se joue dans la classe et pour mieux fonder l'intervention pédagogique. Ainsi identifie-t-il, en s'appuyant sur de nombreux exemples, huit types d'erreurs pour lesquelles il propose médiations et remédiations. Mettre l'erreur au coeur des apprentissages dépasse largement la sphère technico-didactique pour questionner le sens des activités scolaires. Cela peut être angoissant pour les enseignantsmais n'est peut-être pas si étranger qu'il y paraît à la question de la violence à l'école.

La synthèse des recherches et des innovations sur l'enseignement des sciences à l'école et au collège par les meilleurs spécialistes.

Comment les enfants apprennent les sciences ?

En pratiquant leur métier, les acteurs de la formation (initiale et continue) mettent en action des savoirs conscients ou cachés qui résultent pour une part d'un acquis, et ont été pour une autre part construits en situation de façon invisible. L'ouvrage collectif propose plusieurs cadres théoriques pour comprendre le fonctionnement de ces savoirs en action, souvent en décalage avec les savoirs académiques. Il examine leur nature dans différentes pratiques pédagogiques, et leur incidence sur la construction des dispositifs. Leur identification plus précise ouvre des perspectives nouvelles à une professionnalisation plus poussée des pratiques d'enseignement et de formation.

Savoirs en action et acteurs de la formation

En position longtemps inconfortable entre la pédagogie et l'épistémologie, la didactique des sciences continue de chercher sa véritable place parmi plusieurs disciplines ; la difficulté vient de ce qu'elle traite de l'appropriation des savoirs en général, et s'intéresse à ce titre à la fois à l'apprentissage et à l'enseignement. Le présent ouvrage s'applique à expliquer et à illustrer les enjeux de cette discipline qui, touchant entre autres à la question de la formation des enseignants, nourrit la réflexion si brûlante menée actuellement à propos l'école.

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