Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Mr Suzuki joue du kriss

Mr Suzuki prend le maquis

Mr Suzuki et la fille d'Oslo

Mr. Suzuki prend la mouche

Filer un suspect de Hong-Kong à Londres, et de Londres à Paris, pour se trouver brusquement en tête-à-tête avec un mort, c'est décevant ! Mais partir pour le Venezuela, et voir se reproduire à Caracas la même suite d'événements qu'à Paris, c'est pour le moins étrange ! Se trouver ensuite mêlé, à l'affaire comme témoin, et puis comme suspect, et enfin comme principal accusé, cela devient très inquiétant ! Heureusement, Mr Suzuki a plus d'un tour dans son sac... Chemin faisant, il apprend des choses très intéressantes sur une organisation mondiale, et il trouve la réponse à l'éternelle question : « D'où vient l'argent ? » Il apprend aussi à se méfier des femmes qui ont des complexes...

La longue nuit de Mr Suzuki

Être amoureuse d'un pilote d'essai n'est pas de tout repos lorsque ce dernier teste un appareil instable qui doit voler à Mach 6, surtout si cet avion est le fameux chasseur invisible - botte secrète de l'Air Force - auquel s'intéresse de près l'attaché de l'Air soviétique...

Un espion au-dessus de tout soupçon

Mr. Suzuki sur la corde raide

Vous voyez une troupe de cinéastes répéter sans cesse la même scène sans faire tourner la caméra, vous êtes intrigué. Mais si vous les voyez ensuite se battre et mourir pour le décor qu'ils ont planté, vous serez consterné. Curieux de savoir ce que représente ce décor, M. Suzuki se trouve entraîné sur le devant de la scène et mêlé à un complot qui doit ébranler l'Amérique latine et horrifier l'univers. Sur son chemin se trouvent une fille qui a du sang caraïbe dans les veines, un évêque dirigeant un réseau de « barbouzes du Vatican », un directeur de prison furieux d'avoir un prisonnier de trop et une troupe d'Amroks, les « tontons-macoutes » du pays. Pas étonnant que le placide Japonais devienne enragé. En cours de route, vous apprendrez des choses stupéfiantes sur les dessous de la guérilla en Amérique centrale.

Mr Suzuki joue son va-tout

Être photographiée vivante et nue sur une dalle de la morgue n'a rien de réjouissant. Apercevoir sur un écran de télévision deux tueurs en train de forcer votre porte et ne pouvoir s'enfuir : encore moins réjouissant ! Surtout si votre mari est en prison pour le meurtre de sa maîtresse et si son adjoint se noie à point nommé dans sa baignoire... M. Suzuki se met en chasse pour découvrir ce qui se trame à Chypre occupé par les Turcs. Pour suivre une suspecte et troublante Hellène, il franchit la ligne Attila et découvre l'antique supplice du pal qui dépasse en horreur toutes les tortures imaginées par les bourreaux les plus pervers. Reste à percer le secret du grand fauve, l'organisateur de ces abominations. Ce que découvre M. Suzuki le laisse pantois et présage des jours sombres pour l'humanité.

M. Suzuki chasse le grand fauve

Après "Courrier spécial", roman d'espionnage fertile en coups de théâtre et dont certaines péripéties frisent l'anticipation, après Canal street, suspense dramatique, plein de mouvement et portrait d'un espion plutôt que roman d'espionnage, voici, du même auteur, un ouvrage qui diffère autant des précédents que ceux-ci diffèrent entre eux. Dans Le ciel m'est témoin, le mystère policier se double d'une énigme psychologique. Le commissaire Bernu parviendra-t-il, avec le seul secours des indices qu'il découvre, à faire toute la lumière sur le drame qui s'est joué entre Geneviève de Vauquelin, son mari et son amant ? Sous le titre de Lumière noire, la Chaîne parisienne a diffusé une version radiophonique - abrégée - de cette histoire, dont Renée Faure (de la Comédie française), Bernard Blier et Marcel André furent les principaux interprètes. Notons que les auditeurs de cette émission seront encore plus surpris que les autres lecteurs par le dénouement du roman, dont Lumière noire ne leur a pas dévoilé le rebondissement final...

Le ciel m'est témoin

Ann Gilford, jeune archéologue américaine, participe aux fouilles de ses collègues russes dans le Kazakhstan. Elle s'éprend de l'un d'eux et l'entraîne dans une excursion aux confins de la frontière chinoise. C'est le commencement d'une série de mésaventures qui tourneront au cauchemar et finiront dans le sang et la mort... Le crime d'Ann Gilford ? Elle a pris quelques vues d'un paysage montagneux. Ces photographies représentent-elles vraiment les défenses frontalières russes face à la Chine ? Ann est-elle vraiment l'auteur des clichés incriminés ? N'est-ce pas quelqu'un d'autre ? Son camarade et amant Matweï ? Prise dans un engrenage fatal, tout ce qu'elle entreprend se retourne contre elle. Ses amours avec son beau Kazakh la préservent de sombrer dans la folie. En fait, Ann Gilford est dépassée par les événements ; elle n'est qu'un pion dans une partie qui se joue au-dessus de sa tête et à l'échelle mondiale...

La main cachée

Mr. Suzuki et la lueur bleue

Le casanier Mr. Suzuki entreprend de faire le tour du monde. Mais ce ne sera pas un voyage d'agrément, ni pour lui, ni pour ceux dont le nom figure sur sa liste noire. M. Suzuki disparaît à San Francisco et reparaît à Barcelone ; on le voit à Londres et puis à Naples. Apparemment, c'est un touriste inoffensif. Pourtant, à chacun de ses déplacements, un nom est rayé de sa liste... Lorsqu'il reprendra l'avion pour Tokyo, il ne saura même pas combien de fois il a échappé à la mort...

La liste noire de Mr. Suzuki

... Soudain, le bruit d'une détonation toute proche la tira de sa songerie. Après une seconde d'hébétude, elle se rua hors de la chambre, traversa le salon comme une flèche et donna un tour de clé à la porte d'entrée. Il était temps... Des coups violents ébranlèrent le battant. Un hurlement de terreur, et puis une voix suppliante cria : - Ouvrez ! C'est moi, Barzen ! Deux nouveaux coups de feu claquèrent, presque simultanément, suivis d'un gémissement rauque. Appuyée au chambranle, Inès avait tressailli comme si les balles s'étaient enfoncées dans sa propre chair. A nouveau la voix, expirante cette fois, implora : - Par pitié, ouvrez-moi...

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