Deux CD et un DVD pour célébrer un grand poète (ami de Mac Orlan, Marcel Aymé, Francis Carco et bien d’autres de la bohème montmartroise), dont une grande partie des textes seront mis en musique par Léo Ferré, un grand « faiseur de chansons », un grand comédien , un grand artiste et également un grand chanteur qui sera honoré par l’Académie Charles Cros…

Mon camarade...

Mes Chansons Des 4 Saisons

L'œuvre imprimée de Jean-Roger Caussimon ne serait pas complète sans ce troisième volume, dont l'édition est établie par son fils Raphaël, à partir d'archives. Ce Vagabond d'automne réunit des textes de jeunesse, ainsi que ses dernières chansons, celles de sa dernière " période ", où il jette sur la société un œil critique et sans concession. En plus de ces 75 textes inédits, on découvre deux pièces de théâtre en un acte, œuvres mélancoliques et imaginatives. Ce livre est illustré de documents d'époque : photos, lettres et articles de presse. Il complète les deux premiers volumes : Mes Chansons des quatre saisons (131 textes de chansons, préface de Léo Ferré avec un CD), et la Double vie (mémoires inédiotes, préface de José Arthur, avec un CD).

Le vagabond d'automne - Poèmes, chansons et théâtre

Jean-Roger Caussimon, parolier de Léo Ferré, est l'un des grands artisans de la chanson française.
On lui doit " Comme à Ostende ", " Le Temps du tango ", " Ne chantez pas la Mort ", " Monsieur William " et " Les Coeurs purs "... Il fut également comédien. Plus d'une centaine de films (Marcel Carné, Jean Renoir, Bertrand Tavernier...), autant de dramatiques pour la télévision (Marcel Bluwal, Stellio Lorenzi, Jean-Christophe Averty...) et de pièces de théâtre (Charles Dullin, Roger Planchon, Jean Mercure...).
Fils d'un médecin bordelais, le voici comédien au Trianon-Théâtre dans le Bordeaux des années 30. Puis ce sera la guerre et la captivité en Silésie, les premières chansons au cabaret du Lapin Agile, la rencontre avec un " frère donné par le bienheureux hasard " : Léo Ferré. Comédien, il sera reconnu des plus grands et participera à l'enthousiasme des débuts de la télévision. Ces mémoires interrompus en 1981 racontent sans complaisance mais avec tendresse ce chemin jalonné de rencontres, d'amours et de doutes parfois.
Ce texte est enrichi d'une centaine d'illustrations (Robert Doisneau, Studio Harcourt...), d'extraits d'entretiens radiophoniques et d'une chronologie. Ses textes de chansons sont regroupés dans le recueil Mes chansons des quatre saisons, ainsi que dans Le Vagabond d'automne (poèmes, chansons et théâtre), (Le Castor Astral). Ces deux livres sont accompagnés d'un disque compact inédit.

La double vie ; mémoires

Les mémoires inédits du célèbre parolier de Léo Ferré racontent sans complaisance mais avec tendresse ce chemin jalonné de rencontres, d’amours et de doutes parfois. Un texte enrichi d’une centaine d’illustrations, d’extraits d’entretiens radiophoniques et d’une chronologie.

La Double Vie

Monsieur William

Jean-Roger Caussimon, comédien, auteur, compositeur et interprète, s'est imposé dans les mémoires comme un des plus grands " artisans " de la chanson française. Ce recueil de 119 textes, composé selon son propre choix, retrace une carrière d'une exceptionnelle richesse. Au long des quatre saisons de sa vie, Jean-Roger Caussimon a écrit des chansons immortelles, comme " Monsieur William ", " Les Cœurs purs ", " Nous deux ", " Comme à Ostende " ou " Ne chantez pas la Mort ". Ses interprétations et celles de Catherine Sauvage, Léo Ferré, Philippe Clay, Mouloudji, les Frères Jacques, Isabelle Aubret, Serge Gainsbourg, Philippe Léotard, Arno, Silvain Vanot, Dominique A et tant d'autres, nous accompagnent toujours.
Egalement disponibles, le livre inédit des mémoires de Jean-Roger Caussimon, La Double Vie, illustré d'un CD de 27 chansons inédites ou introuvables, ainsi que Le vagabond d'automne, ouvrage regroupant 75 textes inédits, ainsi que deux pièces de théâtre et un CD inédit d'une vingtaine de titres. " Et quant à nous autres, les " chansonniers " qu'on traîne hors des chaussées poétiques, nous sommes assez à l'aise, dans nos propres caniveaux, pour que nous n'aimions pas à être éclaboussés par d'illustres passants. La boue, c est la boue, et que les passants passent. Caussimon, dans son caniveau se tient debout, tout seul. Ça valait la peine d'être dit. " LÉO FERRÉ

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