Bien que l'eau soit un des grands sujets d'actualité il n'existait pas d'ouvrage en langue française traitant de façon exhaustive des relations entre l'eau et les espaces verts. L'eau et les espaces verts est le premier ouvrage à dresser un panorama complet de la question, offrant ainsi toutes les clés pour le choix d'aménagement le plus judicieux devant chaque situation concrète. L'introduction détaillée qui forme la première partie de ce guide est destinée plus spécialement aux décideurs, tels que les élus locaux confrontés aux propositions de leurs services techniques. Elle vise également à élargir le champ de réflexion des concepteurs d'aménagements en leur présentant d'autres opportunités pour valoriser l'eau, que les schémas classiques qu'ils choisissent le plus souvent (utilisation de réseaux publics, de forages ou de cours d'eau). Destinée principalement aux concepteurs et réalisateurs d'espaces verts, la deuxième partie de l'ouvrage, la plus importante, en constitue le volet technique. Elle se compose de 7 chapitres qui proposent : une revue de toutes les possibilités de valorisation des eaux dans les espaces verts (valorisation des eaux usées, des eaux pluviales, résistance de la végétation, optimisation des procédés d'irrigation, maîtrise des espaces humides, traitement des milieux salés...), des exposés techniques, en particulier dans le domaine de l'irrigation, une orientation bibliographique détaillée. L'ouvrage comporte de nombreuses illustrations, notamment des reproductions en couleurs visant notamment à convaincre du bien-fondé, sur le plan esthétique, de certaines des solutions proposées. L'eau et les espaces-verts a été rédigé dans un langage accessible tenant compte de la diversité des intervenants dans la conception et la réalisation des espaces verts (ingénieurs de génie civil, hydrauliciens, paysagistes, agronomes...).

L'eau et les espaces verts

Concilier les besoins d'une agriculture toujours plus performante avec les exigences de la société et de l'environnement constitue un grand défi pour les acteurs de l'agriculture irriguée. À la mesure de ces enjeux, les deux coordonnateurs de ce Traité d'irrigation ont rassemblé les contributions pluridisciplinaires de 71 auteurs de notoriété internationale, issus des administrations, centres techniques, entreprises, bureaux de consultants, instituts de recherche, établissements d'enseignement, organisations internationales et de sociétés de conseil  privées.
Les thèmes essentiels touchant à l'irrigation sont ainsi abordés sous différentes approches : agronomiques, techniques, environnementales, économiques, sociales, politiques et managériales.
Cette deuxième édition réalisée sous l'égide de l'Association française pour l'étude des irrigations et du drainage, a été mise à jour et enrichie de nouvelles contributions : tarification, eau virtuelle et sécurité alimentaire, partenariat public-privé, télédétection appliquée au pilotage de l'irrigation, durabilité socio-économique des services d'irrigation.
Conçus pour être aisément consultés, les textes sont accompagnés de 327 figures, 90 tableaux, d'un hors-texte en couleurs de 24 pages et d'environ 1 500 références bibliographiques. Un index de 1 900 mots clés facilite l'accès aux données.
Seul ouvrage aussi complet en langue française, ce Traité d'irrigation répond aux besoins de tous les professionnels ayant à traiter de l'irrigation : responsables en matière de politiques d'investissement , ingénieurs chargés de la conception ou de la réhabilitation des aménagements , gestionnaires d'organismes en charge de périmètres irrigués , enseignants et étudiants.

Traité d'irrigation (2e édition)

Il n'y a pas un problème de l'eau commun à l'ensemble de la planète, mais une grande diversité de problèmes concrets et localisés. Satisfaire les besoins en eau de l'humanité au XXIe siècle dépendra de l'évolution des besoins comme de celle de la ressource. L'évolution des besoins sera gouvernée par l'évolution démographique, mais aussi par des facteurs technologiques et par des choix de société qu'il est urgent de formuler.
La ressource quant à elle dépend à la fois des évolutions climatiques, de la détérioration du régime et de la qualité des eaux par les actions humaines, et de l'émergence de nouvelles techniques. L'heure des grands investissements permettant de maîtriser la ressource semble dépassée, par contre la gestion des équipements et des usagers peut être améliorée très sensiblement si démocratie, appropriation communautaire et coordination intelligente se développent.
Ce constat, vrai au niveau national, prend un relief tout particulier au niveau international du fait des conflits que peut susciter cette gestion. La maîtrise de l'eau, tant en quantité qu'en qualité, apparaît dans la plupart des pays comme un enjeu majeur pour le XXIe siècle.

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