Le plus gros orage de la saison se prépare, et pour l'occasion, les Aventuriers du grand chêne ont l'intention de frissonner en organisant une soirée de films de peur. Les parents de Nathan seront absents, le popcorn sera servi à volonté. Rien au monde ne pourra venir troubler cette incroyable soirée ! Rien, sauf peut-être une invitée inattendue ou encore. le voleur du vendredi ! Une fois de plus, Nathan, Léa, les jumeaux Fred et Chloé, sans oublier le chat Moumoute, vivront une aventure pleine de mystères et de rebondissements. Les frissons et les fous rires sont au rendez-vous !

Le voleur du vendredi 13

Alice adore traîner au lit la fin de semaine. Malheureusement, chaque samedi matin, son père la réveille de bonne heure pour aller courir les marchés aux puces et acheter des bidules qui sont, selon la jeune fille, aussi intéressants qu'une carotte rabougrie au fond d'un tiroir à légumes. Un jour, cependant, Alice est attirée par une bien curieuse boutique. Une fois entrée, elle y fait une rencontre mystérieuse. Et voilà que sa vie s'en trouve complètement chamboulée ! Des situations aussi folles qu'affolantes s'enchaînent les unes après les autres. La jeune fille est persuadée qu'on lui a lancé une malédiction. Avec son ami William, Alice tentera l'impossible pour mettre fin à ce cauchemar abracadabrant.

Ce chapeau n'a pas toute sa tête

Nathan et ses amis du grand chêne vont faire du camping dans un endroit qu'on surnomme La forêt tordue. Ils ont entendu dire que des choses bien étranges s'y sont produites. Peu de temps après leur arrivée, ils sont témoins d'événements bizarroïdes. Après une première nuit mouvementée, ils partent enquêter, bien décidés à percer tous les mystères qui les entourent. Malgré la peur qui leur grignote le ventre, ils vont même suivre la piste d'une énorme bête friande de. guimauves ! Plusieurs embûches se dresseront sur leur chemin, dont des rencontres très surprenantes. Pourtant, Nathan, Léa ainsi que les jumeaux Fred et Chloé, sans oublier leur chat Moumoute, ont plus d'un tour dans leur sac. Ils devront faire preuve de courage, car quelque chose d'autre rôde dans cette forêt, quelque chose qui siffle dans le noir.

Le siffleur de la forêt Tordue

Nathan a pour voisine Géraldine Leclerc, une fantôme. Une blague ? Pas certain ! Depuis de nombreuses semaines, le garçon n'a pu observer sa présence qu'à la nuit tombée, alors qu'il y a toujours de la lumière à la fenêtre du petit hangar adjacent à sa maison. Sinon, jamais vue ni même entrevue ! Curieux et de plus en plus angoissé, Nathan est déterminé à éclaircir ce fameux mystère. Pour l'aider et se rassurer, il fait appel à ses grands amis : Léa et les jumeaux Fred et Chloé, ceux-là mêmes qui partagent avec lui sa cabane dans le gros chêne derrière chez lui. Un soir, les quatre amis s'aventurent dans la cour arrière de cette intrigante dame. Courageux jusqu'au bout, les Aventuriers du grand chêne devront surmonter plusieurs embûches avant de réussir leur mission. Mais ce qu'ils découvriront les laissera estomaqués ! Du suspense, des rires et beaucoup de surprises !

Le hangar aux mille et un mystères

Ayant passé sa jeunesse à l'Isle-Verte, près du fleuve Saint-Laurent, Jimmy Poirier vit maintenant à La Pocatière où il est libraire. Il se passionne pour le haïku depuis 2013. Outre le présent recueil, il a publié trois recueils de haïkus en solo et a dirigé le recueil collectif En attendant les étoiles (Éditions David, 2019). Il est également auteur de livres pour la jeunesse. 

Son attachement aux petites choses de la vie le pousse à garder l'oil ouvert, au quotidien, et à transposer en haïkus ces courts instants de grâce qui ouvrent une fenêtre sur la nature, les saisons, l'amour et la nostalgie. 

À quelques pas de l'aube résulte de la combinaison d'un talent remarquable et d'une plume expérimentée, révélant alternativement force, finesse et un indiscutable pouvoir d'évocation. 

« La poésie de Jimmy Poirier témoigne d'une qualité de présence qui lui permet d'entrer en dialogue intime avec le monde. L'attention tendre et vigilante qu'il accorde au quotidien ouvre des canaux d'échange, invite à une communion fraternelle. Partout, le regard du poète ajoute du sens, capte même la plénitude du vide. » - Préface de France Cayouette

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