Das Erbe deutscher Musik' (The Heritage of German Music) continues the tradition of the various German Denkmäler series. It publishes important works from the history of German music in editions that are critical and at the same time practical. ,Das Erbe deutscher Musik' was established in 1933 in the traditions of the ,Denkmäler deutscher Tonkunst' (1892-1931) and resumed in 1953 by the Musikgeschichtliche Kommission e. V. ,Das Erbe deutscher Musik' is published by various publishers as a main series with ten sections and a special series.

Balladen von Gottfried August Bürger - in Musik gesetzt von André, Kunzen, Zumsteeg, Tomaschek und Reichardt. Partition.

Reichardt's fortunes rose and fell all within his own lifetime but after a difficult early education he was commonly accepted as gifted composer with a talent for the lyric style. Astyle he was to cultivate in over 1, 500 songs. A casual proponent of the 'Sturm und Drang' movement this Grande Sonate for piano hails from the closing years of his life and exemplifies the lightness of touch of a mature composer in his prime.

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Reichardts Vermögensverhältnisse waren zeit seines Lebens starken Schwankungen unterworfen. Nach diversen Schwierigkeiten eine adäquate Schulausbildung zu erhalten, gelang es ihm schliesslich, als begabter Komponist mit einem Talent für den lyrischen Stil akzeptiert zu werden, einem Stil, den er in über 1.500 Liedern kultivieren würde. Als eher lässige Vertreterin der Sturm und Drang - Bewegung ist diese 'Grande Sonate für Klavier' ein Gruss aus den letzten Jahren seines Lebens und zeigt in beispielhafter Weise die Leichtigkeit des Anschlages eines reifen Komponisten in seinen besten Jahren.

Grande Sonate - Piano Solo

Novembre 1802 : le musicien allemand Johann Friedrich Reichardt (17521814), ancien maître de chapelle de Frédéric le Grand, arrive dans le Paris consulaire. La France est alors en paix avec l'Angleterre et les sujets des puissances européennes y sont reçus à bras ouverts jusque dans le cabinet de Bonaparte, Premier consul.
Au cours de son séjour, qui se poursuit jusqu'en avril 1803, Reichardt rédige quarante-trois " lettres confidentielles " considérées par les spécialistes de la période comme un témoignage d'un intérêt exceptionnel, récit vivant et parfaitement documenté de la vie dans la capitale française à cette époque. Parce qu'il était une personnalité et qu'on le savait proche des idéaux de la Révolution, Reichardt eut accès aux meilleurs salons, aux premières loges des théâtres et de l'Opéra, aux manifestations officielles, aux audiences solennelles. Les portes des grands savants, des administrateurs, des poètes et des littérateurs du temps s'ouvrirent devant ce francophile à l'esprit ouvert, promeneur curieux, observateur scrupuleux et spectateur averti.
Grâce au regard aiguisé, parfois insolent et critique mais toujours passionnant, de son auteur, ce texte constitue une véritable promenade artistique, touristique, sociale et politique dans le Paris de l'hiver 1802-1803. Au moment où les historiens du Consulat et de l'Empire se tournent à nouveau vers les sources essentielles d'une période dont l'étude est remise au goût du jour, Thierry Lentz, directeur de la Fondation Napoléon, souhaite ici faire découvrir ou redécouvrir un témoignage majeur dans lequel Jean Tulard voit " une excellente description de Paris sous le Consulat ".

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