Cette pièce a été écrite en 1998 par José Pablo Feinman, philosophe, scénariste, romancier et historien argentin. Ce dernier imagine une rencontre entre Guevara et un historien d'aujourd'hui dans le contexte historique des dernières heures du Che. Le propos de cette pièce part de ce qu'on ne sait pas, de l'impossible en s'appuyant sur la réalité, dans un décor représentant une croisée des chemins où a eu lieu l'embuscade qui a précédé l'arrestation du Che.

Le crépuscule du Che

« Era un brutto giorno per morire ». Con questa frase piena di presagi inizia uno dei romanzi più intensi della letteratura argentina contemporanea, pubblicato in una nuova traduzione a trent'anni dalla sua prima uscita. Feinmann dà vita a un personaggio indimenticabile: l'enigmatico colonnello Andrade, ex guerrigliero dell'Indipendenza, ora a capo del Settimo Reggimento di Cavalleria. Con i suoi uomini, è sulle tracce di un nemico che sembra non essere da nessuna parte, se non forse nella sua immaginazione. Come l'Achab di Melville, Andrade insegue l'oggetto del suo odio per annientarlo; e come il Drogo di Buzzati continua a tenere lo sguardo fisso laggiù, dove nulla appare. Con una nota dell'autore.

L'esercito di cenere

Cinéphile averti, Fernando Castelli aimerait bien cesser de servir le café à des producteurs pour devenir un scénariste à succès. Mais quand on a une mère abjecte, on ne change pas si facilement son destin. À moins de faire une rencontre décisive avec un tueur mythique, de devenir par exemple le disciple éclairé de Jack l'Éventreur et de commettre un meurtre, puis deux, puis trois...

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