Ababouiné, borborygme, champignonnière, kleptomane, notonecte, ornithorynque, physiognomonie, raspoutitsa, sphincter, xénophile, zapadliski… Voici, enfin réunis en un luxueux volume, les mots difficiles ou imprononçables de la langue française… Ceux que l’on n’utilisait jusqu’ici qu’avec une infinité de précautions, comme en traversant une rue verglacée avec la hantise d’une glissade pathétique, au risque de déclencher l’hilarité générale. Chaque terme, soigneusement choisi* par l’injustement oublié Sigismond Von Mopp, est accompagné de définitions claires, érudites et humoristiques, d’exemples et de mises en situation, le tout enrobé d’illustrations en couleur de Laurent Rivelaygue.

Le Von Mopp illustré : Dictionnaire subjectif des mots difficiles et imprononçables de la langue française

Entre un auteur qui bataille pour tenir les rênes de son récit et ses personnages qui veulent prendre le pouvoir, s'installe une lutte sans pitié pour le bon déroulement du roman. Un homme - appelons-le l'auteur - se lance dans l'écriture d'un premier roman. Désargenté mais doué d'un sens très personnel de l'intrigue et de la grammaire, il fait preuve d'une grande abnégation et n'ambitionne pas moins que d'écrire un chef-d'oeuvre, qui sera justement Albert et l'argent du beurre, l'histoire d'un trio enfermé dans une propriété perchée sur les hauteurs de Nice. Il y a là Albert, le serviteur, qui partage son temps entre les courses au village, la cuisson des sardines et le tricotage d'une chaussette géante ; le musculeux et vaniteux Bruce, qui entretient son corps afin de mieux assouvir sa soif de conquêtes féminines et s'entraîne en vue du championnat de mots croisés à genoux ; enfin Sophie, que l'on suppose être sa compagne. Mais l'intrigue piétine et l'ennui s'installe chez ces personnages qui, peu à peu, décident donc de prendre un peu d'indépendance - au grand dam bien sûr de l'auteur. Lequel finit par éliminer Sophie, qui s'acharne à saboter le livre en changeant de prénom de manière intempestive. Entre l'auteur qui bataille pour continuer à tenir les rênes et ses personnages soutenus par quelques protagonistes de passage (la remplaçante de Sophie, une crémière supersonique sosie d'Edouard Philippe, un médecin récent, un avocat médiatique ou encore Claude Lelouch), c'est le début d'une lutte sans pitié pour le bon déroulement du roman.

Albert et l'argent du beurre - Occasion

Pétole s'ennuie, si au moins elle avait un animal de compagnie ! Il se trouve justement que Pamela a "emprunté" son crayon à Olive l'artiste. Elle se met à dessiner un chien, très peu ressemblant, et surtout incroyablement laid... La drôle de créature, baptisée Mochou, prend vie et c'est le début d'une nouvelle aventure loufoque pour la fameuse bande de copains. Les gags se succèdent à un rythme frénétique et on pourra compter sur le pontifiant Mixo pour tirer une conclusion de cette histoire...

Les Quiquoi et le chien moche dont personne ne veut

Mon chien - brave chien - s'appelle Albert. Albert Fish. Kss kss méchant attaque et rancunier assis, couché... Couché, le chien parfaitement dressé. Le soir, je le regarde tourner dans son bocal, faire des bulles tranquille, mais vigilant... Né en 1970, Laurent Rivelaygue est aussi graphiste, plasticien et blogueur. Son premier roman tient du Grand Guignol et du collage littéraire. S'y croisent des policiers psychopathes, un meurtrier en série névrosé, une galeriste nymphomane, un tueur à gages aveugle, une tour Eiffel en allumettes, un chien empaillé à roulettes, une femme transparente, un ange suicidaire...

Poisson-chien

«Revoici les joyeux copains Boulard, Mixo, Pamela, Pétole et Raoul embarqués dans une nouvelle aventure loufoque. C'est Olive l'artiste qui mène bien entendu la petite bande. Il se met à dessiner un sapin puis à peindre le ciel en gris. La neige tombe alors très fort et les Quiquoi décident de faire un bonhomme de neige. Mais le temps change, le soleil se lève, et le bonhomme risque de fondre… Comment le sauver ? Humour, situations cocasses, dialogues savoureux, trait vif et coloré, personnages attachants, tous les ingrédients réunis d'une série BD à succès.»

Les Quiquoi et le bonhomme de neige qui ne voulait pas fondre

Cette fois, Olive l’artiste a dessiné un énorme soleil. Ses compagnons ont trop chaud. Un ventilateur leur apporte de l’air frais mais, trop puissant, il fait s’envoler le chapeau de Pamela... et surtout le pauvre Raoul resté accroché à un parasol. La petite bande se lance alors à sa recherche, traverse une forêt de cactus, sous la menace d’un méchant coup de soleil. Grâce à un tube de crème solaire géant et de l’astuce, les Quiquoi sauront déjouer l’attaque.

Les quiquoi et l'étrange attaque du coup de soleil géant

Les Quiquoi, ce sont Olive, Pétole, Pamela, Boulard, Raoul et Mixo, une bande de copains au caractère bien trempé et jamais à court d'imagination ! Pétole doit imaginer un conte pour l'école. Pour l'aider, Olive dessine un vieux livre d'où sort un Petit Chaperon... jaune ! Elle s'appelle Micheline et doit rendre visite à sa mamie de l'autre côté de la forêt, mais attention, un loup rôde sans doute, dans ce genre d'aventure...

Les Quiquoi

Aujourd'hui, c'est le concours de déguisements de l'école. Mais les costumes des Quiquoi sont tous plus ratés les uns que les autres... Heureusement, Olive l'artiste a une idée : dessiner un château fort pour que Pétole trouve le costume de princesse de ses rêves. Mais rien ne se passe comme prévu, surtout quand ils décident d'aider la princesse Clotilde à s'échapper et que son père, un terrible roi bête et méchant, se met à leur poursuite...

Revoici les joyeux copains Boulard, Mixo, Pamela, Pétole et Raoul embarqués dans une nouvelle aventure loufoque. C'est Olive l'artiste qui mène bien entendu la petite bande. Il se met à dessiner un sapin puis à peindre le ciel en gris. La neige tombe alors très fort et les Quiquoi décident de faire un bonhomme de neige. Mais le temps change, le soleil se lève, et le bonhomme risque de fondre... Comment le sauver ? Humour, situations cocasses, dialogues savoureux, trait vif et coloré, personnages attachants, tous les ingrédients réunis d'une série BD à succès.

L'apocalypse des homards

Voici à nouveau réunis les personnages inventés par Olivier Tallec. Imagination sans limite, situations cocasses et fous rires garantis. Pétole s’ennuie : si au moins elle avait un animal de compagnie ! Il se trouve justement que Pamela a “emprunté” son crayon à Olive. Mais n’est pas artiste qui veut. Pamela dessine maladroitement un chien à trois pattes, très peu ressemblant, et surtout incroyablement laid...La drôle de créature, baptisée Mochou, prend vie et c’est le début d’une nouvelle aventure loufoque pour la fameuse bande de copains. Les gags se succèdent à un rythme endiablé et on pourra compter sur le pontifiant Mixo pour tirer une conclusion de toute cette histoire...

Voici Olive l'artiste, Pétole la tête brûlée, Pamela l'indécise, Boulard le râleur, Raoul le trouillard et Mixo l'intello. Leur imagination est sans limites, mais ils sont souvent dépassés par leur propre création et finissent invariablement par effacer leurs dessins. Avant que l'aventure tourne à la catastrophe ! Dans ce premier épisode, lorsque Olive dessine une maison qui s'avère bien plus grande à l'intérieur qu'à l'extérieur, il y a de quoi se faire du souci.

Les Quiquoi et l'étrange maison qui n'en finit pas de grandir

Entre un auteur qui bataille pour tenir les rênes de son récit et ses personnages qui veulent prendre le pouvoir, s'installe une lutte sans pitié pour le bon déroulement du roman.Un homme – appelons-le l'auteur – se lance dans l'écriture d'un premier roman. Désargenté mais doué d'un sens très personnel de l'intrigue et de la grammaire, il fait preuve d'une grande abnégation et n'ambitionne pas moins que d'écrire un chef-d'œuvre, qui sera justement Albert et l'argent du beurre, l'histoire d'un trio enfermé dans une propriété perchée sur les hauteurs de Nice.Il y a là Albert, le serviteur, qui partage son temps entre les courses au village, la cuisson des sardines et le tricotage d'une chaussette géante ; le musculeux et vaniteux Bruce, qui entretient son corps afin de mieux assouvir sa soif de conquêtes féminines et s'entraîne en vue du championnat de mots croisés à genoux ; enfin Sophie, que l'on suppose être sa compagne. Mais l'intrigue piétine et l'ennui s'installe chez ces personnages qui, peu à peu, décident donc de prendre un peu d'indépendance – au grand dam bien sûr de l'auteur. Lequel finit par éliminer Sophie, qui s'acharne à saboter le livre en changeant de prénom de manière intempestive.Entre l'auteur qui bataille pour continuer à tenir les rênes et ses personnages soutenus par quelques protagonistes de passage (la remplaçante de Sophie, une crémière supersonique sosie d'Édouard Philippe, un médecin récent, un avocat médiatique ou encore Claude Lelouch), c'est le début d'une lutte sans pitié pour le bon déroulement du roman.

Albert et l'argent du beurre

Frédéric-Guillaume 1er, appelé aussi le « Roi-sergent », se mit en tête de moderniser l’armée prussienne, un des rares sujets qui semblât l’intéresser. Ce qu’il fit, comme le soulignent les auteurs en fin d’album, en incorporant aux troupes 40.000 mercenaires. Pour sa garde personnelle, il réforma le régiment des Grenadiers de Postdam, en intégrant, de gré ou de force, des géants pris aux quatre coins de l’Europe.

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