In una torrida estate madrilena Bennedith, giornalista svedese in cerca di ispirazione, incontra in un bar un uomo di nome Mercuro Cano. Quello che potrebbe sembrare il più tipico degli approcci si trasforma in una curiosa richiesta d'aiuto, quando Mercuro le dice che una suora gli ha distrutto la vita. Intrigata dalla situazione, Bennedith decide di ospitarlo e di farsi raccontare la sua storia. Nel frattempo l'incontro con un'anziana coppia formata da Miranda e Santiago, malato di Alzheimer, è come un segno del destino: Bennedith capisce che solo cogliendo l'opportunità di occuparsi del marito di Miranda potrà dare alla sua vita quella svolta che sta cercando. In modo del tutto inaspettato, la donna si immerge nelle esistenze dei due coniugi e in quella di Mercuro Cano, franata in un abisso di paura in seguito alla partecipazione a Il tempo della carne, un format dalle dinamiche perverse trasmesso solo su Internet e creato dalla misteriosa suor Lucia, che si dice aiuti le persone a morire. Nel suo nuovo romanzo, Lina Wolff racconta vite distanti e inconciliabili, che si intrecceranno in modo imprevedibile eppure inevitabile, come se da sempre fossero in attesa di incontrarsi e completarsi.

Il tempo della carne

Une femme d'origine nordique s'installe à Florence où tout lui semble étranger, beau en même temps que repoussant, jusqu'à l'homme qu'elle a rencontré. Lui saura réchauffer la terre gelée en elle, se dit-elle.

 La prise du diable est l'histoire de ces deux-là, de leurs corps et de leurs esprits, de l'emprise qu'ils exercent l'un sur l'autre.

 Figure irrévérencieuse de la littérature scandinave, Lina Wolff nous offre un récit féministe aussi loufoque que d'une véracité limpide. En enfermant le lecteur dans la perspective d'une victime qui sombre dans le gouffre d'une relation dangereuse, elle dépeint la folie déguisée en normalité de notre société.

 Un roman plein d'autodérision sur la misogynie profonde de notre époque - si intelligent, imprévisible, et surtout si vertigineusement drôle.

Née en Suède, Lina Wolff a vécu et travaillé en Italie et en Espagne en tant qu'interprète et traductrice. Son premier roman Bret Easton Ellis et les autres chiens (Gallimard, 2019) rencontre instantanément le succès. Avec son deuxième ouvrage, Les amants polyglottes (Gallimard, 2018), elle remporte en 2016 le plus prestigieux des prix littéraires suédois, le Prix August. La prise du diable (2022), son très attendu dernier roman, a été nommé de nouveau pour le Prix August.

La prise du diable

Ellinor, la trentaine bien entamée, sait charger un fusil et se battre au corps-à-corps. Autant dire que les hommes ne lui font pas peur. Pourtant, elle aimerait trouver l'amour. C'est sur un site de rencontres qu'elle fait la connaissance de Calisto, critique littéraire obèse et imprévisible. Il lui révèle avoir en sa possession un manuscrit - inédit, exceptionnel et rédigé par son auteur favori. Max, écrivain en panne, cherche lui aussi l'âme soeur, en même temps que l'inspiration. Selon ses critères, la femme idéale est polyglotte, comme lui, et dotée d'une forte poitrine, mais elle ne court pas les rues. Une réceptionniste rencontrée lors de ses errances littéraires le met sur la voie : il va écrire Les amants polyglottes, l'histoire familiale de Lucrezia, une aristocrate romaine ruinée. Le manuscrit, qui n'est autre que celui détenu par Calisto, va lier étroitement tous les personnages et leur faire subir les affres d'une fatalité semblant les observer en riant. Lina Wolff compose un roman singulier, loufoque et cruel, aux accents houellebecquiens assumés et transfigurés.

Les amants polyglottes

Dans un immeuble de Barcelone, Araceli, une jeune étudiante en traduction, fantasme la vie de sa voisine du dessous. À peine trente centimètres de poutre les séparent, pourtant il lui paraît bien difficile de percer le mystère d’Alba Cambó. Écrivaine, elle semble rayonner d’une aura magnétique, attirant dans sa toile tous ceux qu’elle rencontre.On croise, pêle-mêle, une femme de ménage meurtrière, Lucifer en cavale, ou encore un négociant cocu. Un peu dingue, débordant d’un humour caustique, voire cruel, ce roman foisonnant met en scène des personnages qui ne cessent de se faire maltraiter. Tous gravitent autour d’Alba Cambó, omniprésente et pourtant insaisissable, le cœur battant de ce tourbillon littéraire. En équilibre précaire, Araceli et les autres se meuvent dans ce monde grotesque et brutal qui questionne sans relâche la place des femmes dans les lettres.À travers une prose simple et incisive sous l’influence de la littérature sud-américaine, Lina Wolff secoue son lecteur, exposant au grand jour les rouages du système patriarcal. Écrit avant Les amants polyglottes, ce roman est celui de la liberté et de l’euphorie.

Bret Easton Ellis et les autres chiens

Dans un immeuble de Barcelone, Araceli, une jeune étudiante en traduction, fantasme la vie de sa voisine du dessous. À peine trente centimètres de poutre les séparent, pourtant il lui paraît bien diffcile de percer le mystère d'Alba Cambó. Écrivaine, elle semble rayonner d'une aura magnétique, attirant dans sa toile tous ceux qu'elle rencontre. 
On croise, pêle-mêle, une femme de ménage meurtrière, Lucifer en cavale, ou encore un négociant cocu. Un peu dingue, débordant d'un humour caustique, voire cruel, ce roman foisonnant met en scène des personnages qui ne cessent de se faire maltraiter. Tous gravitent autour d'Alba Cambó, omniprésente et pourtant insaisissable, le coeur battant de ce tourbillon littéraire. En équilibre précaire, Araceli et les autres se meuvent dans ce monde grotesque et brutal qui questionne sans relâche la place des femmes dans les lettres. 
À travers une prose simple et incisive sous l'influence de la littérature sud-américaine, Lina Wolff secoue son lecteur, exposant au grand jour les rouages du système patriarcal. Écrit avant Les amants polyglottes, ce roman est celui de la liberté et de l'euphorie.

Dans un immeuble de Barcelone, Araceli, une jeune étudiante en traduction, fantasme la vie de sa voisine du dessous. À peine trente centimètres de poutre les séparent, pourtant il lui paraît bien difficile de percer le mystère d'Alba Cambó. Écrivaine, elle semble rayonner d'une aura magnétique, attirant dans sa toile tous ceux qu'elle rencontre. 
On croise, pêle-mêle, une femme de ménage meurtrière, Lucifer en cavale, ou encore un négociant cocu. Un peu dingue, débordant d'un humour caustique, voire cruel, ce roman foisonnant met en scène des personnages qui ne cessent de se faire maltraiter. Tous gravitent autour d'Alba Cambó, omniprésente et pourtant insaisissable, le coeur battant de ce tourbillon littéraire. En équilibre précaire, Araceli et les autres se meuvent dans ce monde grotesque et brutal qui questionne sans relâche la place des femmes dans les lettres. 
À travers une prose simple et incisive sous l'influence de la littérature sud-américaine, Lina Wolff secoue son lecteur, exposant au grand jour les rouages du système patriarcal. Écrit avant Les amants polyglottes, ce roman est celui de la liberté et de l'euphorie.

Ellinor, la trentaine bien entamée, sait charger un fusil et se battre au corps-à-corps. Autant dire que les hommes ne lui font pas peur. Pourtant, elle aimerait trouver l’amour. C’est sur un site de rencontres qu’elle fait la connaissance de Calisto, critique littéraire obèse et imprévisible. Il lui révèle avoir en sa possession un manuscrit – inédit, exceptionnel et rédigé par son auteur favori. Max, écrivain en panne, cherche lui aussi l’âme sœur, en même temps que l’inspiration. Selon ses critères, la femme idéale est polyglotte, comme lui, et dotée d’une forte poitrine, mais elle ne court pas les rues. Une réceptionniste rencontrée lors de ses errances littéraires le met sur la voie : il va écrire Les amants polyglottes, l’histoire familiale de Lucrezia, une aristocrate romaine ruinée. Le manuscrit, qui n'est autre que celui détenu par Calisto, va lier étroitement tous les personnages et leur faire subir les affres d’une fatalité semblant les observer en riant. Lina Wolff compose un roman singulier, loufoque et cruel, aux accents houellebecquiens assumés et transfigurés.

Les Amants polyglottes

Ellinor ha trentasei anni, frequenta una specie di fight club locale ed è appena uscita da una relazione tormentata. Online conosce Calisto Rondas, un bizzarro e misterioso critico letterario svedese che possiede l'unica copia dell'ultimo libro di Max Lamas, un manoscritto che Ellinor però darà alle fiamme dopo una notte a dir poco movimentata. Lamas è uno scrittore alla deriva, personale e professionale. Ama le lingue straniere e le donne, ed è alla ricerca dell'anima gemella, l'amante perfetta, ma come Ellinor non riesce a sfuggire alla propria solitudine. Le sue peregrinazioni letterarie lo porteranno in Italia, dove sedurrà la nonna di Lucrezia Larini Stemmi, giovane e disincantata rampolla di una famiglia aristocratica in rovina e terza voce narrante degli Amanti poliglotti. Il ritratto di Matilde Larini, l'« ultima marchesa italiana », che viene commissionato a Lamas da un noto quotidiano italiano, diventerà un libro che alla fine unirà in modo imprevedibile i destini sconnessi dei personaggi di questo romanzo di Lina Wolff.

Gli amanti poliglotti

Dans un immeuble de Barcelone, Araceli, une jeune étudiante en traduction, fantasme la vie de sa voisine du dessous. À peine trente centimètres de poutre les séparent, pourtant il lui paraît bien difficile de percer le mystère d'Alba Cambó. Écrivaine, elle semble rayonner d'une aura magnétique, attirant dans sa toile tous ceux qu'elle rencontre. 

On croise, pêle-mêle, une femme de ménage meurtrière, Lucifer en cavale, ou encore un négociant cocu. Un peu dingue, débordant d'un humour caustique, voire cruel, ce roman foisonnant met en scène des personnages qui ne cessent de se faire maltraiter. Tous gravitent autour d'Alba Cambó, omniprésente et pourtant insaisissable, le cour battant de ce tourbillon littéraire. En équilibre précaire, Araceli et les autres se meuvent dans ce monde grotesque et brutal qui questionne sans relâche la place des femmes dans les lettres. 

À travers une prose simple et incisive sous l'influence de la littérature sud-américaine, Lina Wolff secoue son lecteur, exposant au grand jour les rouages du système patriarcal. Écrit avant Les amants polyglottes, ce roman est celui de la liberté et de l'euphorie.

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