Tel enfant s'ennuie en classe­ ou est en échec scolaire ? Il est forcément précoce. Tel autre ne fait que des bêtises­? Il est hyperactif !
  
Problèmes d'apprentissage, de comportement, de concentration... face à ces difficultés, enseignants, parents et médecins ont vite fait de poser un diagnostic.
Sans mâcher ses mots, le Dr Louis Vera démêle le vrai du faux et répond clairement aux questions des parents perdus et bien souvent culpabilisés.
S'appuyant sur de nombreux cas rencontrés dans sa pratique, il propose des pistes concrètes en termes d'éducation, de communication et d'hygiène de vie pour accompagner au mieux l'enfant sans lui coller d'emblée une étiquette.

Tous précoces, tous hyperactifs vraiment ? ; et si nous passions à côté des vrais problèmes de nos enfants ?

L'ouvrage traite des étapes conduisant de la suspicion de trouble déficitaire de l'attention avec ou sans hyperactivité à une prise en charge telle qu'elle est recommandée aujourd'hui par l'Evidence Based Medecine (médecine fondée sur les preuves). Le diagnostic est difficile pour les médecins qui n'ont pas une connaissance étendue du trouble, qui touche pourtant au moins 6 à 10% de la population. Les étapes du diagnostic, les pièges à éviter, les comorbidités (notamment le trouble anxieux qui en modifie la perception), les symptômes et enfin les divers traitements sont clairement exposés.

TDA/H chez l'enfant et l'adolescent - Trouble déficit de l'attention/hyperactivité

Pour utiliser efficacement sa mémoire et l'ensemble des mécanismes de réflexion du cerveau, l'esprit doit être capable de bloquer toute stimulation qui arrive de l'extérieur : c'est ce qu'on appelle la concentration.

Apprendre une poésie, construire une tour de kapla, préparer son cartable, ranger sa chambre....
Savoir se concentrer c'est pouvoir mener à terme les actes nécessaires pour réaliser de nombreuses tâches du quotidien, sans se laisser distraire par les événements, aussi insignifiants soient-ils. Pour les enfants, elle joue évidemment un rôle clé dans les apprentissages.
Mais se concentrer demande un effort ! Qui dit effort, dit mise en conditions. Avoir du mal à se concentrer n'est pas une fatalité, l'important est de déterminer les causes de ces difficultés. Ensuite, comme un muscle, la concentration demande stimulation et entraînement. Des bonnes habitudes à prendre et des méthodes à appliquer dès le plus jeune âge, pour offrir à son enfant des outils qui l'accompagneront tout au long de sa vie.

Au programme, avec le docteur Louis Vera, pédopsychiatre, spécialiste des troubles déficitaires de l'attention :

Cultiver un environnement serein favorable à la concentration. Créer un cadre familial rassurant ( calme, ordre, rythme régulier), chasser les facteurs perturbateurs( stress, écrans) et adopter une hygiène de vie équilibrée ( alimentation, activité physique, sommeil) pour offrir à son l'enfant le bien-être indispensable à son épanouissement.
Adopter les trois rituels quotidiens. Le  matin, pour démarrer la journée en toute sérénité et  arriver à l'école disposé à apprendre. Le retour à la maison, le moment de détente à ne pas zapper. Les devoirs, pour faire de cette obligation un moment de partage et d'échange.
La boîte à outils pour booster la concentration : les to do listes à établir, les routines de travail, les 10 clés pour bien se concentrer, les distractions à black-lister, les jeux et exercices à pratiquer, les objectifs à se fixer, les méthodes de mémorisation...

Ses oeuvres

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