Rien de tel pour se faire un peu de pognon que de kidnapper une môme pleine aux as ! En plus, lorsqu'une salade politique est orchestrée par des gars qui ne sont pas regardants sur le choix des moyens. Et vous pouvez croire qu'ils sont variés et drôlement gratinés. Malheureusement, il y a un tout petit ennui, provoqué par le « Privé » Clive Bix, lequel n'est guère moins épais qu'un camion citerne. En douce, qu'on se flingue pas mal dans ce truc, ce qui ne va pas sans dégâts, croyez-moi ! Et même que les souris dérouillent de toutes les façons... Pas marrant d'ailleurs.... pour elles !... Faites-vous une idée !

Tous des pourris !

Sur tous les fronts, la Guerre fait rage, Londres est bombardée nuit et jour et les armées du Reich déferlent sur l'Europe. La Guerre secrète par ailleurs se poursuit implacablement sournoise et atroce. James Oberley de l'Intelligence Service travaille dans une usine en Allemagne, avec une mission bien précise. Il manouvre impeccablement mais Lein Cartzaupt, hitlérienne convaincue et par ailleurs fille splendide, découvre son jeu. James la tue et emporte des documents de la plus haute importance. Il est aussitôt traqué par toutes les polices nazies et perd le contact. Elisabeth, autre agent secret, essaye de le rejoindre. C'est alors une course à la mort. JAMES SERA-T-IL SAUVE ? La lecture de ce roman, d'une hallucinante atrocité, vous l'apprendra.

Faut sauver James !

Le gars Rudy se trouve « embringué » dans une drôle d'histoire. C'est pas un type compliqué et il en voit de toutes les couleurs, d'autant plus qu'il n'a vraiment rien fait pour être mêlé à toutes ces salades. Alors, comme il trouve que c'est « un peu long » et qu'il n'a aucune envie de se laisser marcher sur les pieds, même par une jolie fille, il laisse la parole à son « feu ». Inutile de spécifier que le gars Rudy ne se sert pas d'un revolver à bouchons, ce qui fait qu'il laisse derrière lui quelques acrobates, qui n'ont plus rien à voir avec le commun des mortels. Vaut mieux être son ami que son ennemi, c'est plus sûr...

Un mec pas comme les autres

Deux "Plof"... deux morts ! Deux autres "Plof"... deux autres morts ! Quelle salade ! Tout ça pour une lettre... et une erreur ! Ça vaut bien sept cent mille francs seulement, l'erreur ! ça s'paie aussi ! Difficile de s'en tirer avec Rick, sans compter "Suny". Bien sûr, il y a toujours Berthe, ou Lily ! Ou encore Suzanne, avec son chassis qui colle au poil sur son moteur ! Très utile tout ça pour faire oublier le rat du terrain vague, ou la fille au couteau... Mais le temps passe ! Merci ! Le toubib ! Le métro ! Non ! non ! Rick ! Suny ! les flics ! Pour avoir ce gars là ! « Vous pouvez tous vous l'accrocher ! »

Vous pouvez tous vous l'accrocher...

La bombe "H" vient d'éclater dans le désert du Nevada. Les caméras automatiques ont enregistré les résultats de l'expérience. À Londres, une bonne a été assassinée dans la villa de miss Dorothée Mac Donald. L'Intelligence Service soupçonne un réseau d'espionnage atomique sur le sol des îles. Ces éléments divers mènent tous à l'île de Sarck, entre Jersey et Guernesey. Là, règne le Colonel. Puissance au service de l'horrible, le Colonel va se trouver soudain face à face avec la plus redoutable des contre-espionnes de l'après-guerre : Elly Powell ! Chacun d'eux veut la tête de l'autre ; mais un jour viendra peut-être où, tout au bout de la corde tendue, pendra la tête du Colonel !

La bombe H

Un pauvre type, au fond, cet étrange Monsieur Francis, qui porte des faux-cols bizarres et des vestons à la mode de 1920... Sans trop de scrupules, il a exercé un peu tous les métiers : secrétaire très particulier, agent secret, jusqu'au jour où, voulant satisfaire les exigences pécuniaires de sa femme, il imaginera une sordide combinaison destinée à le sortir de la médiocrité. Hélas ! les événements ne se déroulent nullement selon ses prévisions. Il se heurte à d'implacables adversaires : Micheline, une jolie fille sensuelle pour qui la vie des autres ne compte guère ; Pierre, un inquiétant gigolo échappé des boites de nuit montmartroises ; Félix, l'homme qui rit sans cesse, un « gros père » moins inoffensif peut-être qu'il ne paraît. Et le drame se déroulera, ponctué de coups de théâtre, dans une atmosphère oppressante où rodent la mort et la volupté pour se terminer par un dénouement véritablement inattendu et sinistrement logique.

Il était moins cinq

Deux étudiants, Couderc et Mareuil, se retrouvent. Couderc, retour d'Indo-Chine, narre ses mésaventures tragiques à Mareuil. Ils partent à la recherche de Freddy qui a dépouillé Couderc, blessé, de ses papiers d'identité et de sa bourse. Libéré, Freddy rentre en France où il fait des dupes sous le nom de Couderc, dont la tête est mise à prix comme déserteur et que la police recherche comme escroc. D'autre part, Mareuil, à la suite d'un reportage sensationnel sur un gang aux protections occultes, est limogé à la "Rubrique des Sports". Ils partent tous deux à la chasse de cette bande fort bien organisée. Dans des bagarres mouvementées, aux horions précis et variés, ils s'entre-choquent sévèrement. Jenny-la-rousse et sa sour, deux mignonnes d'une plastique impeccable, s'entremettent pour brouiller inlassablement les pistes, au profit du gang, lequel disparaît peu à peu sous les efforts conjugués des deux copains et de la police et Jenny-la-rousse s'abandonne à Mareuil qui la soustrait aux policiers.

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