Cet ouvrage couvre la période de 1945 à nos jours : des grands blocs des lendemains de la guerre (partie 1) aux enjeux et défis de la mondialisation et de la globalisation (partie 2).Cette cinquième édition, sans modifier le plan initial de l'ouvrage,intègre les données macro-économiques les plus récenteset introduit denouveaux développements notamment surle Brexit et la Crise actuelle du COVID 19. Elle complète et actualise différents points: élargissement européen et montée des populismes, Trump, Johnson et les PECO, sans oublier d'évoquer les «tensions» contemporaines entre multilatéralisme et protectionnisme.

Histoire des faits économiques et sociaux de 1945 à nos jours

L'étude de La Richesse des nations, du Capital et de la Théorie générale révèle les idées, toujours actuelles, respectivement de la nécessité de l'État ; de la capacité du capitalisme à surmonter ses contradictions ; de l'importance de la psychologie dans le comportement des hommes en société.

L'actualité des textes fondateurs - Adam Smith, Karl Marx et John Maynard Keynes

L'observation des crises financières et monétaires récentes, singulièrement celle de 2008-2009, témoigne du basculement d'un système régi par les gouvernements à un système mondialisé mû par les marchés internationaux de capitaux, soit la fin du « système de Bretton Woods » et l'avènement de la Globalisation financière. La première partie de cet ouvrage, qui couvre la période 1944-1973, concerne le Système Monétaire International puis son effondrement précipité par les chocs pétroliers. L'essor des « euromarchés de capitaux », dès la fin de cette période, constitue le premier temps de la globalisation financière. La seconde partie est consacrée à l'émergence de la « sphère financière », de 1974 au début de la décennie 1990, comme conséquence de la désintermédiation des financements, de la déréglementation et du décloisonnement des marchés. La globalisation financière se traduit, alors, par une accélération de la croissance des volumes des marchés financiers internationaux, second temps de la globalisation financière. La troisième partie renvoie à la période contemporaine, marquée par l'apparition des « marchés émergents » et les crises s'y rapportant. Durant les années 2000, l'origine de l'instabilité financière se déplace : elle n'émane plus des pays en développement ou émergents, mais des États-Unis, cour du système. C'est le troisième temps de la globalisation financière.

Histoire de la globalisation financière - Essor, crises et perspectives des marchés financiers internationaux

Le calcul des structures est un domaine de recherches et d'applications industrielles en perpétuel développement. Son objet est la modélisation et la simulation numérique des comportements, en espace et en temps, des structures interagissant avec un environnement passif ou actif. Du fait de la croissance rapide des performances des ordinateurs, des problèmes autrefois inabordables sont maintenant étudiés : variabilité, problèmes multiphysiques, multiéchelles. Le "Colloque de Giens" est un événement majeur, quasi incontournable pour la communauté académique et industrielle de la mécanique numérique, un lieu de rencontre et d'échanges privilégiés entre les chercheurs, jeunes et plus confirmés, et les ingénieurs de l'industrie. Ces actes en deux volumes rassemblent les communications retenues par le Comité Scientifique pour le Huitième colloque national en Calcul des structures organisé à Giens (Var) du 21 au 25 mai 2007 par le CSMA (Association Calcul des Structures et Modélisation).

Huitième colloque national en Calcul des structures - 21 - 25 mai 2007, Giens, Volume 2

Ce livre a un triple objectif : d'une part, exposer les principales théories des crises et des cycles économiques et financiers ; recenser et analyser, à l'aide de ces modèles théoriques, les crises et les cycles observés dans l'histoire longue du système capitaliste au cours des 19e et 20e siècles, tout en montrant que cette observation historique influe sur la constitution du paradigme des crises et des cycles économiques ; démontrer que les crises sont un stimulus nécessaire à la dynamique du capitalisme.Ce programme de recherche nécessite donc de mener de front deux types d'études coordonnées. La première concerne l'observation de la conjoncture et l'étude de l'histoire des crises, des premières crises industrielles du 19e siècle à la Grande crise de 1929 et aux crises monétaires et financières contemporaines qui affectent aussi bien les pays industrialisés que les pays émergents. La seconde renvoie à la compréhension et à l'explication théoriques des crises et des cycles, ceux qui s'inscrivent dans l'histoire structurale, ou de longue durée, comme ceux qui scandent l'histoire conjoncturelle.Les crises, en tant que contestation des théories par les faits, constituent alors autant de moments privilégiés pour un renouvellement des débats doctrinaux, particulièrement ceux qui caractérisent les trois dernières décennies : les années 1970, celles de la stagflation ; les années 1980 marquées par la persistance de déséquilibres importants (chômage, inflation, endettement souverain, déficits publics) ; les années 1990 qui voient la récurrence des crises monétaires et financières, dont la prévention et la gestion renvoient à l'instauration d'une nouvelle architecture financière internationale.Philippe Gilles, professeur agrégé des Universités, Directeur de recherches au CEFI (Centre d'Économie et de Finances Internationales, CNRS-Université de la Méditerranée), est Doyen de la Faculté des Sciences économiques et de gestion de l'Université de Toulon et du Var.
De l'analyse des crises à l'analyse des cycles. De la « Loi des débouchés » aux questions de l'équilibre, de la demande effective et des crises. De la récurrence des crises à l'analyse de la dynamique macroéconomique par les mouvements cycliques réguliers. Des crises générales et périodiques à la « grande crise » de 1929 et à la « révolution keynésienne ». Étude historique des cycles Kondratieff et des crises classiques dans les principales économies capitalistes (1815-1920). De la « Grande Crise » de 1929 à la « Révolution keynésienne ». Des « Trente Glorieuses » à la dépression contemporaine : le renouveau des analyses des crises et des cycles. De la phase longue de croissance (1945-1968/73) à la dépression longue actuelle. De la contestation des théories par les faits au renouvellement des débats doctrinaux : des relations chômage/inflation à la nouvelle architecture financière internationale.

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