Une affaire plutot originale, en effet, conclut le directeur de la Police. Mais Dallant ne s'avance-t-il pas un peu trop, sur ce coup-la ? - Tel que je le connais, repondit Gribovitch, il est deja dans son labo en train de depiauter le defibrillateur et de lancer l'analyse ADN. Quand il emet une hypothese, elle se verifie toujours. Ma main au micro-ondes que ces filles sont bien des jumelles..

Les Jumelles floues (Police des moeurs, #207)

Tout avait commence avec la mort mysterieuse de Fabienne Dommon, prostituee de haut vol retrouvee avec un pic a glace dans le dos dans cet appartement de Los Angeles... Cela avait continue avec deux nymphettes de quinze ans qui, enlevees en plein Cannes et droguees a mort, s'etaient reveillees ahuries dans un bordel a Beyrouth. Sur ces deux affaires sans lien apparent, allaient se greffer sucessivement une sombre histoire de tableaux voles et un chantage ignoble impliquant une femme du monde aux penchants pervers. C'est alors que Griffon, Gribovitch et Savary etaient entres dans la danse... De Paris a Abidja, des cotes californiennes aux rues chaudes de Hambourg, ils allaient cette fois encore affronter des situations plus que scabreuses. Mais quant on fait partie du commando special de la Police des moeurs, il faut savoir en cas de besoin payer de sa personne !

Les dames de compagnie (Police des moeurs, #21)

On l'appelle Belzebuth, Astaroth, Satan ou Demon. Pour les uns, c'est le Diable, pour d'autres, le Malin. Beaucoup le craignent encore, mais certains et certaines lui ont voue un culte pervers. Pour les satanistes, un petit clan de fanatiques franco-britannique, les devotions rendues au Maitre diabolique sont assez particulieres, car celui-ci exige non seulement des sacrifices charnels d'une totale impudeur, mais encore des holocaustes sanglants. C'est a la suite de la decouverte, a Paris, d'une lady anglaise, violee a mort, que le commissaire Griffon et son petit commando vont, avec la collaboration d'un superintendant de Scotland Yard plus britannique que nature, entreprendre une poursuite qui les menera du Londres de l'aristocratie a celui des bas-fonds. Dans ces conditions, ce serait bien le diable si Sophie Leclerc, Lionel Savary et Gribovitch, menes d'un train d'enfer par le commissaire Griffon et le superintendant Morrow, ne mettaient hors d'etat de nuire, apres une poursuite endiablee, leur demoniaque adversaire.

Les diablesses de Soho (Police des moeurs, #13)

" Tu veux finir ton whisky ? Moi, j'ai envie d'une cigarette." Le photographe acquiesca d'un simple battement de paupieres. Il regarda Alix enfiler son deshabille de soie. Ses yeux l'accompagnerent jusqu'a la porte de la chambre. Pour la derniere fois...

La soie, sans toi (Police des moeurs, #184)

Trois suicides en moins de quinze jours, annonça le capitaine Griffon. Des hommes plus que mûrs : presque quatre-vingts ans. - Le lien entre eux ? s'enquit le lieutenant Gribovitch. - Aucun depuis plus de trois décennies, a priori. Mais autrefois, dans la frénésie de mai 68, ils encadraient des groupes de jeunes portés sur les velléités de lutte armée avant l'heure. - On attaque par quel bout ? demanda Sophie Leclerc. - Par une jolie fille esseulée dans un vieux manoir. Tels que je vous connais tous les deux, c'est pile poil dans vos cordes.

Les malveillantes

Gatee, la belle flic Claire Montardon, pour ses debuts a Paris: Inspecteur a la Criminelle, elle doit faire equipe avec les Moeurs, les grands rivaux... Et le monde ou evolue la bande a Griffon n'est pas exactement son genre. Elle crane, mais l'apprentissage est rude: drogue, boites tres tres speciales, lesbiennes Impudiques, exhibos et voyeurs... rien ne manque. Pas meme la bizarre avalanche d'assassinats. Mais, de meme qu'un train, c'est bien connu, peut en cacher un autre, le monde de la deviance peut cacher une grosse arnaque. La jolie rousse devra surmonter ses repulsions et demeler, avec Savary, un sacre sac de noeuds... Et puis il y a Maxime, le copain de Lionel, qui est dans un beau merdier. Un peu tordu, ce jeune toubib, sans doute... mais est-ce que ca ne ferait pas partie de son charme ?

Voir Hong-Kong, ses gratte-ciel et ses marches de rue aux echoppes traditionnelles, voir Hong-Kong, ses casinos et ses salons de massage, voir Hong-Kong, fleuron du capitalisme triomphant, capitale du sexe et carrefour de tous les trafics, de la drogue a la prostitution internationale, voir Hong-Kong et mourir. Car Andre Choiseul, alias Fabrice Lelouch, lieutenant de police a la brigade des Moeurs en mission tres speciale a Hong-Kong ne devait jamais revoir Paris. Ainsi en avaient decide les plus hautes autorites de la tentaculaire mafia chinoise...

La position du chapeau chinois (Police des moeurs, #142)

Dans le Paris de la vieille et de la nouvelle truanderie, Anelore, la call-girl, fuit a la fois le gang qui veut l'abattre et la police avec laquelle elle refuse de collaborer. Elle n'a qu'un seul atout: son corps. Et la mort joue a cache-cache, au milieu d'un foisonnement de personnages pittoresques ou dangereux: prostituees de tous poils, loubards de banlieue, gamines trop precoces, tauliers salaces, hotesses montantes ou non, collegiens vicieux, caids aux abois, joueurs decaves, clochards, indicateurs, escrocs, partouzards, tous evoluant comme des ombres dans un decor sordide de Cour des Miracles. Un moment deborde par cette faune, le commissaire Pierre Griffon, toujours soutenu par son "petit commando," aura besoin de toute son astuce, de tout son acharnement entete pour debrouiller le puzzle et tirer son epingle de ce jeu sanglant.

La Call-Girl des Halles (Police des moeurs, #28)

Bien sûr, ce petit extra n'était pas prévu au programme du braquage de la Société Parisienne de Transport de Fonds. Pourtant, dès qu'il avait vu la femme, une blonde superbe, aux hanches généreuses comme il les aimait, GB n'avait plus pensé qu'à "ça". À présent, pieds et poings liés, écrasée par le corps puissant de son violeur, la blonde avait cessé de se débattre. Mais, tout à son plaisir, GB n'y prêta pas attention. Pas plus qu'il n'entendit craquer ses vertèbres cervicales...

Alerte à la blonde

Un braquage de fourgon blinde tourne mal. L'epouse du patron de la societe de transfert de fonds est violee et tuee. Et si toute cette affaire n'etait qu'un coup monte par l'etrange Gamal, fils d'un diplomate africain, implique dans un trafic d'armes ?

Alerte à la blonde (Police des moeurs, #114)

" Et oui, s'enflamma Zoe en se resservant une dose de vodka, on ne va pas passer notre temps a gemir... Marie est morte, tuee par un salaud... Peut-etre le meme que celui qui a massacre Sophie. Caroline et Justine observerent leur amie dont le visage refletait un bouillonnement interieur intense. "Qu'est-ce que vous avez a me regarder comme ca ? s'ecria Zoe. C'est vrai, quoi ! Le Clan des polissonnes doit venger Marie et Sophie !

Le Clan des polissonnes (Police des moeurs, #204)

Quand Raymomd reprit ses esprits, Helene, appuyee sur un coude, le devisageait fixement; ses yeux n'exprimaient plus rien, ils etaient vides. Brusquement, elle se pencha hors du lit et se redressa d'un coup de reins, brandissant un automatique dans son poing droit. - Desolee, fit-elle d'une voix metallique, il n'y a rien de personnel, c'est seulement le travail. Encore a moitie engourdi par la jouissance qui venait de les submerger, Raymond la regarda sans comprendre. Son crane explosa en meme temps que lui parvint l'echo de la detonation.

L'Effaceuse (Police des moeurs, #124)

Avant de regagner sa chambre, l'aube pointait, elle m'avait serré contre elle, avec une sorte de fébrilité ; on aurait pu croire à de la passion, si les choses avaient été différentes, au départ... Murmure à bout d'haleine : "Je crains que tu ne sois bien seul". C'était mon idée aussi. Penser à tout cela me durcissait la courgette... Pas de taxi. En revanche, bagnoles de flics, jeeps à mitrailleuses, soldats à M 16, nerveux...

Le périscope rouge

Les marginaux, les julots casse-croûte, les loubards, les voyous... Ceux venus d'ici et ceux venus d'ailleurs, qui forment la lie foisonnante de la basse pègre des grandes villes. Ceux qui font peur. Ceux qui tuent pour cinq cents francs, ou pour une piquouse de shit, ou par bêtise, ou pour s'affirmer, ou pour rien.

Ce sont ceux-là, cette fois, que le commissaire Griffon et son équipe vont devoir affronter, dans leur quartier, dans leur repaire, au cours d'une de ces enquêtes "de routine" qui cascade subitement d'enlèvement en viols, de chantage en racket, de règlements de comptes en meurtres sauvages.

Dans ce milieu-là, rien au-dessus de la ceinture. Tout est bas, mesquin, sordide. La fange où pataugent les flics pour que les magistrats gardent les mains propres. Parce qu'il y a aussi un magistrat : mademoiselle le substitut Bordes... Béatrice.

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